Les Veuves d'Eastwick — Wikipédia
Les Veuves d'Eastwick | ||||||||
Auteur | John Updike | |||||||
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Pays | États-Unis | |||||||
Genre | Roman | |||||||
Version originale | ||||||||
Langue | Anglais américain | |||||||
Titre | The Widows of Eastwick | |||||||
Éditeur | Alfred A. Knopf | |||||||
Lieu de parution | New York | |||||||
Date de parution | ||||||||
ISBN | 0-307-26960-4 | |||||||
Version française | ||||||||
Traducteur | Claude et Jean Demanuelli | |||||||
Éditeur | Seuil | |||||||
Collection | Cadre vert | |||||||
Date de parution | ||||||||
Nombre de pages | 360 | |||||||
ISBN | 9782020993234 | |||||||
Chronologie | ||||||||
Série | Cycle « Eastwick » | |||||||
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Les Veuves d'Eastwick (titre original en anglais The Widows of Eastwick) est un roman de l'écrivain américain John Updike publié originellement le aux États-Unis et en français le aux éditions du Seuil. Dernier roman de l'écrivain qui mourra l'année suivant sa parution, il s'agit de la suite des Sorcières d'Eastwick paru aux États-Unis en 1984.
Écriture du roman
[modifier | modifier le code]Résumé
[modifier | modifier le code]Réception critique
[modifier | modifier le code]À la parution du roman aux États-Unis, les critiques du New York Times sont très profondément partagées : Michiko Kakutani prononce un jugement assez négatif sur le roman[1] tandis que Sam Tanenhaus est particulièrement enthousiaste[2]. Au Royaume-Uni, The Guardian a également un avis réservé et partagé sur cette séquelle, jugée nettement plus faible que le premier tome paru vingt-cinq ans auparavant[3],[4] mais tout de même intéressante et amusante[5].
La traduction parue en français reçoit un bon accueil dans Le Figaro qui considère que John Updike, « qui fut l'un des plus grands romanciers américains de son siècle, prouve une fois de plus l'étendue de sa palette » avec ce « roman mélancolique, voire crépusculaire » à la « tonalité poignante »[6] tandis que L'Express juge que ce dernier roman « prend la valeur d'un testament voltairien » de la part d'« un redoutable chroniqueur de son époque et un moraliste capable de sonder l'âme de son pays en l'observant par le trou de la serrure »[7].
Éditions
[modifier | modifier le code]- (en) The Widows of Eastwick, Alfred A. Knopf Publishers, 2008 (ISBN 0-307-26960-4), 320 p.
- (en) The Widows of Eastwick, Random House, 2009 (ISBN 9780345506979), 320 p.
- Les Veuves d'Eastwick, éditions du Seuil, 2010 (ISBN 9782020993234), 360 p.[8]
- Les Veuves d'Eastwick, Points, 2011 (ISBN 978-2-7578-2374-3), 416 p.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) Michiko Kakutani, « Old Black Magic Is Old, and So Are These Witches », The New York Times, 19 octobre 2008.
- (en) Sam Tanenhaus, « Mr. Wizard », The New York Times, 24 octobre 2008.
- (en) Adam Mars-Jones, « Withered witches on the wane », The Guardian, 2 novembre 2008.
- (en) John Crace, « The Widows of Eastwick by John Updike », The Guardian, 18 octobre 2008.
- (en) Christopher Tayler, « Every witch way », The Guardian, 25 octobre 2008.
- Christophe Mercier, « Les pétroleuses ont les cheveux blancs », Le Figaro, 17 juin 2010.
- André Clavel, « Les sorcières d'Eastwick ont perdu leurs maris », L'Express, 16 juin 2010.
- Les Veuves d'Eastwick, éditions du Seuil, consulté le 11 août 2021.