Lespugue — Wikipédia
Lespugue | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges | ||||
Maire Mandat | Jean-François Foix 2020-2026 | ||||
Code postal | 31350 | ||||
Code commune | 31295 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lespuguais | ||||
Population municipale | 79 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 16 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 14′ 00″ nord, 0° 40′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 281 m Max. 446 m | ||||
Superficie | 4,91 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Gaudens (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Gaudens | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative) | |||||
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Lespugue est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, la Seygouade et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lespugue est une commune rurale qui compte 79 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 353 habitants en 1821. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens. Ses habitants sont appelés les Lespuguais ou Lespuguaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : les grottes, classées en 1972.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Lespugue se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 75 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 15 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Charlas (2,3 km), Montmaurin (2,6 km), Sarremezan (2,8 km), Blajan (3,6 km), Cardeilhac (4,1 km), Saman (4,3 km), Saint-Pé-Delbosc (4,7 km), Montgaillard-sur-Save (5,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Lespugue fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[4].
Lespugue est limitrophe de quatre autres communes. Les communes limitrophes sont Blajan, Charlas, Montmaurin et Sarremezan.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 491 hectares ; son altitude varie de 281 à 446 mètres[5].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Save, la Seygouade, le ruisseau de la Fontaine, le ruisseau de Pouret, le ruisseau du Badet, le ruisseau du Bernet et le ruisseau du Cange, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[7],[Carte 1].
La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan (65) et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 46 communes[8].
La Seygouade, d'une longueur totale de 16,7 km, prend sa source dans la commune de Cazaril-Tambourès et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle se jette dans La Save sur le territoire communal, après avoir traversé 6 communes[9].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 958 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Clarac à 15 km à vol d'oiseau[12], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 804,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[16] : les « gorges de la Save et vallée de la Seygouade » (280 ha), couvrant 3 communes du département[17].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lespugue est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,4 %), forêts (37,2 %), prairies (18,4 %), terres arables (5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Accès par la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Lespugue est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Seygouade. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[21],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 51 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 51 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Habitée depuis la Préhistoire, la grotte des Rideaux située sous le château médiéval et dans les gorges de la Save a livré une statuette en ivoire de mammouth, appelée la Vénus de Lespugue.
Les diverses grottes de la Save situées dans les gorges de cette rivière et alentour ont été fouillées par René de Saint-Périer[24],[25] et autres passionnés d'archéologie, et ont livré de nombreux vestiges de la Préhistoire. La grotte de Marie est nommée d'après une stalactite qui rappelle la silhouette de la Vierge. La grotte du Chien tient son nom des nombreux ossements qui y ont été découverts.[réf. nécessaire]
La grotte des Harpons[25] est, avec la grotte de Plantade à Bruniquel, l'une des deux seules grottes connues au nord des Pyrénées dont les couches archéologiques datées du Tardiglaciaire aient livré des restes de marmotte[26].
Antiquité
[modifier | modifier le code]Le bois de Saint-Martin a révélé un village gaulois[27] sur plusieurs hectares[28], à côté d'un camp fortifié gaulois. Il est marqué par plus de 50 fonds de cabanes et plusieurs tumuli[27]. L'abbé Couret, voyant la grande surface couverte par l'ensemble, y voit une civitas ou cité gauloise - en tout cas un centre important[29]. Il précise que les fonds de cabane, comblés, ne se reconnaissent qu'aux blocs de pierre poreuse qui ne sont pas une roche locale et dont la légèreté permettait, estime-t-il[30], de fixer « solidement les pièces de la toiture des enceintes, ménageait les murailles peu solides, l'argile y tenant lieu de mortier et de ciment ». Le lieu de ces enceintes, appelé Las Salles[29], se trouve tout près des ruines de la chapelle Notre-Dame de la Hillère sur Montmaurin[30]. Selon lui, l'importance de cette cité gauloise aurait justifié l'installation de l'important camp romain à immédiate proximité[31].
Fouet (1956) signale aussi au bois de l'Aliot à 4,3 km plus au sud (commune de Cardeilhac, un tumulus est accompagné de petites levées de terre, vestiges de deux bâtiments de 26 × 12 m[27],[32].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au-dessus des gorges de la Save, le château médiéval, place forte de Gaston Fébus comte de Foix, permettait de communiquer avec le château de Montmaurin à l'ouest et le château de Mondilhan vers le nord.
Selon les chroniqueurs, Gaston Fébus serait l'auteur du chant occitan devenu hymne régional Se Canta[33].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Ici aussi comme dans toute la région, aujourd’hui le robinier planté à l'origine à Paris a envahi les anciens jardins.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[34],[35].
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Lespugue faisait partie de l'ex-canton de Boulogne-sur-Gesse et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du Boulonnais).
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2022, la commune comptait 79 habitants[Note 4], en évolution de −1,25 % par rapport à 2016 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[40] | 1975[40] | 1982[40] | 1990[40] | 1999[40] | 2006[41] | 2009[42] | 2013[43] |
Rang de la commune dans le département | 423 | 394 | 462 | 478 | 491 | 507 | 519 | 511 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Lespugue fait partie de l'académie de Toulouse.
Activités sportives
[modifier | modifier le code]Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 4,3 % | 4,8 % | 9,3 % |
Département[I 6] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 44 personnes, parmi lesquelles on compte 79,1 % d'actifs (69,8 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs) et 20,9 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 8]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 7 en 2013 et 9 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 31, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,7 %[I 9].
Sur ces 31 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 93,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,2 % les transports en commun et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]3 établissements[Note 6] sont implantés à Lespugue au [I 12]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 66,7 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 3 entreprises implantées à Lespugue), contre 12 % au niveau départemental[I 13].
Agriculture
[modifier | modifier le code]1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 16 | 11 | 9 | 8 |
SAU[Note 7] (ha) | 434 | 375 | 364 | 444 |
La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d'un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 444 ha[46],[Carte 6],[Carte 7].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Gorges de la Save
- Vénus de Lespugue
- Grotte des Rideaux
- Église Saint-Macaire dont le clocher est séparé de la nef.
- Ruines du château médiéval
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Lespugue » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Notes sur la démographie
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Lespugue ».
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Gaudens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lespugue » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lespugue » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lespugue » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Lespugue et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Lespugue et Saint-Gaudens », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Lespugue », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- « Répertoire géographique des communes »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Institut national de l'information géographique et forestière.
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Lespugue », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « la Save »
- Sandre, « la Seygouade »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lespugue et Clarac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Clarac » (commune de Clarac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Clarac » (commune de Clarac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Lespugue », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges de la Save et vallée de la Seygouade » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Lespugue », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lespugue », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Jean-Marc Pétillon, « Historique des fouilles de R. de Saint-Périer dans les sites paléolithiques des gorges de la Save (Lespugue, Haute-Garonne) », Préhistoire du Sud-Ouest (Association Préhistoire quercinoise et du Sud-Ouest), vol. 20, no 2, , p. 213-219 (lire en ligne [sur halshs.archives-ouvertes.fr], consulté le ).
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- « Atlas des mammifères sauvages de Midi-Pyrénées », TAIS (Bulletin de liaison des mammalogistes de Midi-Pyrénées), no 4(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur baznat.net, (consulté le ), p. 79.
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- Fouet 1956, p. 88.
- [Couret 1891] Jean-Marie Couret (abbé), « Recherches archéologiques sur la haute vallée de la Save - ère préhistorique » (section II : « Les enceintes de Lespugue », p. 299-302), Revue de Comminges, t. 6, , p. 296-302 (lire en ligne [sur gallica], consulté le ), p. 300.
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- Couret 1891, p. 301.
- « Bois de l'Aliot, carte IGN interactive » sur Géoportail..
- « Se Canta », texte.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lespugue - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).