Lesseux — Wikipédia
Lesseux | |
La mairie. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Saint-Dié-des-Vosges |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges |
Maire Mandat | Raoul Partage 2020-2026 |
Code postal | 88490 |
Code commune | 88268 |
Démographie | |
Population municipale | 139 hab. (2021 ) |
Densité | 47 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 17′ 09″ nord, 7° 05′ 01″ est |
Altitude | Min. 382 m Max. 660 m |
Superficie | 2,94 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Saint-Dié-des-Vosges (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Dié-des-Vosges-2 |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Lesseux est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Lesseux est située en Déodatie dans le bassin versant de la Fave. C'est une des 201 communes du parc naturel régional des Ballons des Vosges, réparties sur quatre départements : les Vosges, le Haut-Rhin, le Territoire de Belfort et la Haute-Saône[1].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune fait partie de la Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges. Le village occupe une vallée en cul-de-sac, orientée est-ouest, s'ouvrant perpendiculairement sur la vallée de la Fave. Les Poilus durant la Grande Guerre l’avaient surnommé d’un joli nom : « Le Val de la Demi-Lune » en raison de sa forme caractéristique.
Le ruisseau de Lesseux est aussi dénommé Goutte Morelle (lieu où il prend sa source).
Sismicité
[modifier | modifier le code]Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la goutte Morel[3],[Carte 1].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 182 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 10,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 027,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lesseux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,6 %), prairies (31,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Un ancien camp romain aurait été établi sur la crête entre Combrimont et Lesseux (en lien avec le Camp de la Bure occupé par les Leuques). Le point de vue sur la Vallée de la Fave est en effet intéressant pour contrôler le passage dans la vallée débouchant sur celle de le Meurthe.
Le village s'est construit sur des terrains défrichés par les moines de Saint-Dié à l'instar des autres villages de la vallée.
La commune est en effet toujours rattachée l’Église Saint-Jacques[16] et à la Grande Paroisse de Bertrimoutier (appelée ainsi car elle dépend directement du pape, qui compte aujourd’hui sept Communes). Ce lien avec Bertrimoutier est très ancien et à l’origine du village. Le nom de Bertrimoutier provient d’un prieuré puis d’un monastère (moutier) fondé par un moine nommé Bertherus en 1171 dépendant des chanoines du monastère de Saint-Dié[17]. L’origine du village de Bertrimoutier remonte à la venue dans les Vosges de St Déodat qui construisit un monastère dans le « Val de Galilée » territoire possession du clergé et des chanoines de Saint-Dié. Cette paroisse fut le siège des 18 colonies agricoles établies par les moines de Saint Déodat dès le VIIe siècle. Selon Ruyr, «une forme de prieuré ou monastère » apparaît, créé et régi par un moine disciple de Saint Déodat (Dié) nommé BERTERIUS duquel, l’église et le village ont reçu le nom de Bertrimoutier. Le village était ainsi rattaché vers le Xéme siècle au Château du Spitzemberg résidence du Duc de Lorraine[18].
Le village est probablement lié du moins par son nom à la forteresse féodale de Lusse[19] construite au XIIIe siècle par Thiébaut de Jussey vassal du Duc de Lorraine afin d’améliorer le contrôle du passage dans la vallée de la Fave. Ce château qui est en ruine à la fin XVIe siècle, à la suite de la Guerre de Trente Ans, devient la propriété de la famille de Bazelaire chargé par Le Duc de Lorraine de la reconstruction de Saint-Dié. A cette occasion, la famille originaire de Bâle et Montmédy prend le titre « de Lesseux ».
La commune de Lesseux, créée en 1790, conserve après la Révolution Française des biens communs avec celle de Lusse. Vers 1830 ces biens indivis (forêt communales) ont été partagés entre les deux villages (parcelles de bois situées au dessus des Trois Maisons (lieux-dits « Raingoutte » qui font partie des forêts communales de Lesseux).
À la fin du XIXe siècle, après 1870, le village était quasiment frontalier de l'Allemagne (par les Chaumes de Lusse). Le village vivait de l'agriculture, de l'élevage et du bois. Il y avait d'importantes cultures de pomme de terre qui fournissaient des féculeries situées dans la vallée, notamment à Frapelle (pour la fabrication de fécule de pomme de terre destinée à fabriquer de la colle et utilisée dans le textile). Les Vosges étaient d’ailleurs l’un des premiers départements dans la culture des pommes de terre.
Lesseux fut le siège de combats importants durant la Première Guerre mondiale (côte 607), il était sur la ligne de front (entre 1914 et 1918). Les troupes se sont stabilisées sur les deux hauteurs du village (les Allemands au nord-est (côte 607) et les Français (Le Chapis) au sud-ouest). On retrouve de nombreux vestiges signe d’intenses combats sur les deux flancs de la vallée (il n’est pas rare de trouver des balles, des éclats d’obus, des chiques de shrapnels au sol dans le village, les anciens du village, enfants lors des événements, relataient qu’ils entendaient les soldats crier d’effrois et de douleur appelant leur mère durant les combats sur les deux coteaux). Les anciennes fermes ont d’ailleurs été en grande partie détruites à la suite des combats. On reconnaît les fermes reconstruites après la guerre (les linteaux sont droits parfois avec une poutre en acier, elles n’ont plus la forme voûtée en grès rose). La commune a été décorée de la croix de guerre 1914-1918 le [20].
L'école communale, à classe unique, comptait jusqu'à une trentaine d'élèves en 1900. L’école gérait une petite pépinière scolaire qui se situait en face de l’ancienne Mairie, ceci jusqu’entre les deux Guerres. Les élèves effectuaient les semis et allaient repiquer les arbres dans les forêts communales (sur le Communal). L’école fut fermée en 1980 (avec 6 élèves la dernière année). Un regroupement scolaire avec Provenchères-sur-Fave dura de 1981 à 2001. Durant quelques années une annexe de classe maternelle de ce regroupement fut installée dans l’ancienne école communales. Aujourd'hui le village fait partie du Syndicat Intercommunal des Écoles de Lusse.
Le paysage a été profondément modifié à la suite de la tempête Lothar 1999. Les crêtes boisées d’épicéas à la fin de XXe siècle sont aujourd’hui partiellement dénudées et ont retrouvé en partie durant quelques années leur visage de la fin du XIXe siècle où les champs dominaient.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[21] :
- total des produits de fonctionnement : 114 000 €, soit 758 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 90 000 €, soit 601 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 144 000 €, soit 959 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 8 000 €, soit 51 € par habitant.
- endettement : 132 000 €, soit 877 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 24,81 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 36,58 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 17,82 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 400 €[22].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2021, la commune comptait 139 habitants[Note 3], en évolution de −18,71 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[27] :
- Écoles maternelles et primaires à Lusse, Provenchères-et-Colroy, Raves, Ban-de-Laveline, Coinches.
- Collèges à Provenchères-et-Colroy, Sainte-Marie-aux-Mines, Saint-Dié-des-Vosges.
- Lycées à Sainte-Marie-aux-Mines, Saint-Dié-des-Vosges.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[28] :
- Médecins à Le Beulay, Provenchères-sur-Fave, Ban-de-Laveline.
- Pharmacies à Provenchères-sur-Fave, Ban-de-Laveline, Sainte-Marie-aux-Mines .
- Hôpitaux à Sainte-Marie-aux-Mines, Fraize, Le Bonhomme.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Notre-Dame-des-Sources[29], Diocèse de Saint-Dié.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Sylviculture et autres activités forestières.
- Élevage de vaches laitières.
- Élevage d'autres animaux.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hébergements et restauration à Gemaingoutte, Ban-de-Laveline, Frapelle Saint-Dié-des-Vosges, Senones,.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité à Saales, Sainte-Marguerite, Bertrimoutier.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le village dispose comme les villages voisins de nombreux calvaires et fermes bien rénovées typiques de l'habitat rural vosgien (parements en grès rose, linteaux de porte avec inscription en latin).
- Il dispose également d’une ancienne distillerie municipale avec alambic (utilisée pour la fabrication de « la goutte » eau de vie locale).
- Le village dispose de beaux points de vue sur la vallée de la Fave et le massif de l’Ormont. On retrouve de nombreux vestiges de la Première Guerre mondiale.
- Un ancien camp romain aurait été implanté sur la crête sud entre Lesseux et Combrimont[31].
- Monuments aux morts de Bertrimoutier. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 - 1939-1945 - AFN-Algérie (1954-1962)[32].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Dominique Cauvé, artiste visuel, rattaché à l’Art Brut, l’Art Singulier, est né à Lesseux, le . Il vit et travaille à Troyes. Plus de deux cents collectionneurs de France et de l’étranger sont en possession de ses œuvres[33].
- Florent-Joseph Ier Bazelaire (1652 - 1724), prévôt royal, lieutenant-général au bailliage de Saint-Dié.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Archives de la commune de Lesseux
- Le circuit de mémoire de la « cote 766 »
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Lesseux sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Lesseux » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
- Informations sur les risques naturels et technologiques
- « Fiche communale de Lesseux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lesseux et Ban-de-Sapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lesseux ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Annexe de la cure à Bertrimoutier
- Bertrimoutier dans le Val de Galilée : berceau des Rovel et terre d'adoption des Masson
- Guy Lecomte, « Châteaux-forts, abbayes, monuments antiques et personnages historiques de Lorraine et d'Alsace: CHÂTEAU DE SPITZEMBERG », sur Châteaux-forts, abbayes, monuments antiques et personnages historiques de Lorraine et d'Alsace, (consulté le ).
- forteresse féodale de Lusse
- Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Notre-Dame-des-Sources
- Cité par Claude Gérard, La maison rurale en Lorraine, CREER, Nonette, 1990, p. 136
- Les routes romaines d'après A. Fournier : Route de Saint-Dié à Sainte-Marguerite et Sainte-Marie-aux-Mines
- Monuments commémoratifs intercommunaux de Bertrimoutier : Aux Morts des 7 communes de la Grande Paroisse - Bertrimoutier, Combrimont, Frapelle, Lesseux, Neuvillers-sur-Fave, Pair-et-Grandrupt, Raves
- Buiographie Dominique Cauvé