Liste des espèces du genre Armillaria — Wikipédia

Armillaria mellea, espèce-type du genre Armillaria.

Armillaria est un genre de champignons communément appelé « armillaires ».

D'abord traité par Elias Magnus Fries en 1821, et plus tard assigné au rang générique par Friedrich Staude en 1857[1], le genre Armillaria est classé dans la famille des Physalacriaceae, de l'ordre des Agaricales, les champignons lamellés[2]. La plupart des espèces d'Armillaria sont saprophytes et vivent principalement dans le bois mort, mais certaines sont des parasites qui peuvent provoquer des pourridiés chez plus de 600 espèces de plantes ligneuses[3]. Certaines espèces d'Armillaria forment des mycorhizes avec les orchidées[4]. D'autres, telles qu'Armillaria gallica, Armillaria mellea et Armillaria tabescens, sont bioluminescentes[5].

Les espèces d'Armillaria forment des sporophores charnus, à spores blanches, avec un voile cotonneux ou membraneux qui forme généralement un anneau distinct sur le pied. Ces champignons à port cespiteux apparaissent généralement à l'automne en touffes nombreuses sur le bois à la base des troncs ou sur les racines. Les espèces d'Armillaria produisent des rhizomorphes (pseudoracines constituées d'agrégations d'hyphes), qui peuvent former des réseaux souterrains massifs et durables. La croissance des réseaux de rhizomorphes permet la propagation du champignon d'arbre en arbre, même si un contact direct entre plantes malades et plantes saines est impossible[6].

Le genre a servi un temps de taxon poubelle pour de nombreux champignons agarics caractérisés par une sporée blanche, des lames adhérentes au stipe et la présence d'un anneau. Du fait d'interprétations divergentes sur les limites du genre, plus de 270 espèces et variétés ont été placées dans le genre Armillaria ou son synonyme, Armillariella. Une étude globale de Tom Volk et Harold Burdsall a évalué en 1995 tous les épithètes qui ont été utilisées dans les genres Armillaria ou Armillariella. Elle a montré qu'environ 40 espèces appartiennent au genre Armillaria stricto sensu (au sens strict) ; les noms restants appartiennent à des espèces qui sont réparties dans 43 autres genres fongiques modernes[7].

De nombreuses espèces sont difficiles ou impossibles à distinguer les unes des autres en utilisant les caractéristiques observables ; des tests d'incompatibilité en laboratoire sont souvent utilisés sur des cultures pures afin de déterminer les espèces de manière fiable. En raison des difficultés posées par l'identification de routine des espèces, le recours au séquençage de l'ADN et à des approches phylogénétiques est devenu une méthode standard pour aider à clarifier les relations entre espèces. Celles-ci diffèrent par leur répartition géographique et leur position écologique, par leur spécificité d'hôte, par leurs caractéristiques microscopiques et macroscopiques, et aussi par leur agressivité dans la colonisation du bois des hôtes ligneux.

La liste des espèces d'Armillaria présentée ci-dessous est basée sur les présentations taxinomiques établies par Volk et Burdsall en 1995[8], David Pegler en 2000[9] et sur des rapports d'espèces nouvelles publiés depuis lors[10],[11],[12].

Légende du tableau des espèces ci-dessous
Nom Nom binomial de l'espèce d'Armillaria.
Auteur Nom de l'auteur (le cas échéant sous forme d'abréviation normalisée) qui a publié la première description de l'espèce en utilisant un nom scientifique disponible, éventuellement combiné avec le nom de celui qui l'a rattachée au genre Armillaria ,
Année Année au cours de laquelle l'espèce a été nommée ou rattachée au genre Armillaria. Lorsque l'année de publication effective (telle que définie selon le principe de priorité) diffère de la date indiquée dans la source, cette dernière date est donnée entre guillemets.
Distribution Aire de répartition de l'espèce ; sauf indication contraire, cette information provient de Volk et Burdsall (1995) et de Pegler (2000).
Armillaria borealis.
Armillaria cepistipes.
Armillaria gallica.
Armillaria hinnulea.
Armillaria luteobubalina.
Armillaria puiggarii.
Armillaria tabescens.
Nom Auteur  Année Distribution
Armillaria affinis (Singer) T.J.Volk & Burds[13]. 1995 Antilles / Amérique centrale
Armillaria altimontana Brazee, B.Ortiz, Banik & D.L.Lindner[12]. 2012 Ouest de l'Amérique du Nord
Armillaria apalosclera (Berk.) A.Chandra & Watl[14]. 1982
(1981)
Asie
Armillaria borealis Marxm. & Korhonen[15] 1982 Eurasie[16]
Armillaria calvescens Bérubé & Dessur[17]. 1989 Est de l'Amérique du Nord
Armillaria camerunensis (Henn.) Courtec[18]. 1995 Afrique
Armillaria cepistipes[N 1] Velen.[19] 1920 Eurasie / Amérique du Nord[20]
Armillaria duplicata (Berk.) Sacc.[21] 1887 Inde
Armillaria ectypa (Fr.) Lamoure[22] 1965 Europe
Armillaria fellea (Hongo) Kile & Watling[23] 1983 Australie
Armillaria fumosa Kile & Watling[23] 1983 Australie
Armillaria fuscipes Petch[24] 1909 Afrique / Asie[25]
Armillaria gallica Marxm. & Romagn.[26] 1987 Afrique / Europe / Japon / Amérique du Nord[16],[20]
Armillaria gemina Bérubé & Dessur[17]. 1989 Est de l'Amérique du Nord[17]
Armillaria griseomellea (Singer) Kile & Watling[23] 1983 Amérique du Nord et du Sud[27]
Armillaria heimii[N 2]. Pegler[31] 1977 Afrique
Armillaria hinnulea Kile & Watling[23] 1983 Australasie
Armillaria jezoensis J.Y.Cha & Igarashi[32] 1994 Japon
Armillaria limonea (G.Stev.) Boesew[33]. 1977 Australasie / Amérique du Sud
Armillaria luteobubalina[N 3]. Watling & Kile[34] 1978 Australasie / Amérique du Sud[35]
Armillaria mellea (Vahl) P.Kumm.[36] 1871 Eurasie / Amérique du Nord[16]
Armillaria melleorubens (Berk. & M.A.Curtis) Sacc.[21] 1887 Amérique du Nord et Amérique centrale
Armillaria montagnei[N 3] (Singer) Herink[37] 1973 Europe / Amérique du Sud
Armillaria nabsnona T.J.Volk & Burds[38]. 1996 Asie / Ouest de l'Amérique du Nord[20]
Armillaria novae-zelandiae (G.Stev.) Boesew[33]. 1973 Australie / Nouvelle-Guinée /Nouvelle-Zélande / Amérique du Sud
Armillaria omnituens (Berk.) Sacc.[21] 1887 Inde
Armillaria pallidula Kile & Watling[39] 1988 Australie
Armillaria paulensis Capelari[10] 2008 Amérique du Sud[10]
Armillaria pelliculata Beeli[29] 1927 Afrique
Armillaria procera Speg.[40] 1889 Amérique du Sud
Armillaria puiggarii Speg.[40] 1889 Amérique du Sud
Armillaria sinapina Bérubé & Dessur[41]. 1988 Asie / Amérique du Nord[16],[20]
Armillaria singula J.Y.Cha & Igarashi[32] 1994 Japon / Amérique du Nord
Armillaria socialis (DC.) Fayod[42] 1889 Eurasie / Amérique du Nord[43]
Armillaria solidipes[N 4]. Peck[45] 1900 Eurasie / Amérique du Nord[16],[20]
Armillaria sparrei (Singer) Herink[37] 1973 Amérique du Nord et du Sud
Armillaria tabescens (Scop.) Emel[46] 1921 Eurasie / Amérique du Nord[16]
Armillaria tigrensis (Singer) T.J.Volk & Burds[47]. 1983 Amérique du Sud
Armillaria umbrinobrunnea (Singer) Pildain & Rajchenb[11]. 2010 Amérique du Sud
Armillaria viridiflava (Singer) T.J.Volk & Burds[48]. 1995 Europe (?) / Amérique du Sud
Armillaria yungensis (Singer) Herink[37] 1973 Amérique du Sud
  1. L'orthographe originale du nom de l'espèce était cepaestipes[19].
  2. C'était un nomen novum pour le Clitocybe elegans de Robert Heim[28], décrit en 1927 par Maurice Beeli sous le nom d'Armillaria elegans[29] (cette espèce est désormais rattachée au genre Cystodermella)[30]
  3. a et b Armillaria montagnei et Armillaria luteobubalina peuvent représenter la même espèce. Si c'est le cas, l'épithète correcte serait montagnei[11]
  4. Cette espèce était connue sous le nom dArmillaria ostoyae jusqu'à ce qu'une publication de 2008 révèle que Charles Horton Peck avait décrit le taxon sous un nom différent en 1900[44]

Références

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  1. Volk et Burdsall (1995), p. 8.
  2. (en) Kirk PM, Cannon PF, Minter DW, Stalpers JA., Dictionary of the Fungi, Wallingford, UK, CABI, , 771 p. (ISBN 978-0-85199-826-8, lire en ligne), p. 49
  3. (en) Tainter FH, Baker FA., Principles of Forest Pathology, Chichester, Wiley, , 832 p. (ISBN 978-0-471-12952-3, lire en ligne), p. 424
  4. (en) Cha JY, Igarashi T., « Armillaria species associated with Gastrodia elata in Japan », European Journal of Forest Pathology, vol. 25, nos 6–7,‎ , p. 319–26 (DOI 10.1111/j.1439-0329.1995.tb01347.x)
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  6. (en) Mihai JD, Bruhn JN., « Foraging behaviour of Armillaria rhizomorph systems », Mycological Research, vol. 109, no 11,‎ , p. 1195–207 (DOI 10.1017/S0953756205003606)
  7. Volk et Burdsall (1995), p. 6.
  8. Volk et Burdsall (1995).
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Bibliographie

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