Louargat — Wikipédia
Louargat | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Guingamp-Paimpol Agglomération | ||||
Maire Mandat | Hervé L’Hévéder 2020-2026 | ||||
Code postal | 22540 | ||||
Code commune | 22135 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Louargatais, Louargataise | ||||
Population municipale | 2 393 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 42 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 33′ 59″ nord, 3° 20′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 301 m | ||||
Superficie | 57,23 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Callac | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative) | |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel de Louargat | ||||
modifier |
Louargat [lwaʁɡat] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.
Géographie
[modifier | modifier le code]Très étendue, la commune de Louargat englobe, au nord, le bourg de Saint-Eloi. Au sud, elle descend jusqu'aux forêts de Coat an Noz et Coat an Hay[1]. À l'est, elle est en bordure du Menez Bré, sommet du Trégor, où le Guindy prend sa source et sépare la commune de celle de Pédernec.
Climat
[modifier | modifier le code]Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1987 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 3,2 | 3 | 4 | 4,6 | 7,6 | 9,9 | 12 | 11,9 | 9,8 | 8,1 | 5,1 | 3,1 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 6,1 | 6,3 | 7,9 | 9,1 | 12,4 | 14,9 | 16,8 | 17 | 14,7 | 12 | 8,5 | 6,1 | 11 |
Température maximale moyenne (°C) | 9 | 9,7 | 11,9 | 13,6 | 17,2 | 19,9 | 21,6 | 22,1 | 19,6 | 15,8 | 11,8 | 9,1 | 15,1 |
Record de froid (°C) date du record | −11,1 02.01.1997 | −9,3 12.02.1991 | −8,1 01.03.04 | −5 05.04.1990 | −2,9 13.05.10 | −0,3 04.06.1991 | 2,9 16.07.01 | 2,3 29.08.1993 | 0,2 14.09.1996 | −4,7 29.10.1997 | −6,9 29.11.10 | −8,8 11.12.1991 | −11,1 1997 |
Record de chaleur (°C) date du record | 16,5 24.01.16 | 19,4 14.02.1998 | 23,1 19.03.05 | 27,8 15.04.15 | 29,5 20.05.1989 | 33,2 30.06.15 | 36,1 19.07.16 | 38,4 09.08.03 | 30,9 04.09.13 | 29,1 02.10.11 | 20,9 01.11.15 | 17,8 19.12.15 | 38,4 2003 |
Précipitations (mm) | 117,4 | 104,8 | 79,6 | 86,4 | 66,7 | 50,5 | 52,3 | 50,5 | 65,3 | 103,8 | 113,9 | 122,1 | 1 013,3 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Louargat est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,6 %), terres arables (23,4 %), forêts (13,1 %), zones urbanisées (3,9 %), prairies (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestée sous les formes Louergat en 1160, Loeargal en 1170 puis Louargat dès 1330[14].
Le nom de Louargat dérive du saint breton Ergat (Boscat, Ouergat, Gouergat ou Wergat)[15] (cf. Tréouergat, Tréogat et Pouldergat)[16]. Louargat pourrait aussi dériver de l'ancien breton loer ou loar (lune) et cat (combat) ; ou de loc ar goat (lieu du bois) ; ou encore loar goat (lune du bois), en raison de la situation de la commune au milieu de la forêt de Coat-an-Hay[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les Hospitaliers
[modifier | modifier le code]L'église Notre-Dame-des-Neiges est l'église primitive de Louargat avec pour fondateurs les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[réf. nécessaire]. Comme toute la paroisse, Louargat dépendait de la commanderie de Palacret. C'est le elemosina de Louargat de la Charte de 1170[réf. nécessaire].
L'ancienne église ayant besoin d'être restaurée et agrandie, les plans de ces travaux furent dressés en 1858 par M. Eugène Dar, architecte à Guingamp, marié à Eugénie Troussel, mais ne furent pas approuvés par l'architecte diocésain qui fit dresser de nouveaux plans par M. Guépin. Devant les lenteurs administratives, les paroissiens démolirent leur église sans autorisation, en 1866, à l'exception de la tour avec ses gargouilles et ses fonts baptismaux qui datent du XVIe siècle, sur une base du XVe siècle. Une nef neuve remplace l'ancienne qui avait des débris des XIVe siècle, XVe siècle et XVIe siècle, elle conserve quatre enfeus aux armes des familles de Guébriant, Raison du Cleuziou et du Largez[réf. nécessaire]. L'édifice actuel a été terminé en 1869, il abrite une statue de saint Isidore datée du XXe siècle[réf. nécessaire].
Le XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]- Combat de Louargat, le entre les Chouans et les Républicains.
Le XIXe siècle
[modifier | modifier le code]- Soniou (chanson traditionnelle en breton) Coat an Noz ha Coat an De recueillie par François-Marie Luzel en 1890.
Le XXe siècle
[modifier | modifier le code]La Belle Époque
[modifier | modifier le code]L'inventaire des biens d'église fut effectué à Louargat le sans incident notable[18].
La Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le monument aux morts porte les noms de 182 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale[19].
La Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le monument aux morts de Louargat porte les noms de 21 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale[19].
L'après Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Un soldat originaire de Louargat est mort pour la France pendant la guerre d'Indochine et trois durant la guerre d'Algérie[19].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Sources : état-civil, archives départementales des Côtes d'Armor et mairie de Louargat[26].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2022, la commune comptait 2 393 habitants[Note 4], en évolution de +1,61 % par rapport à 2016 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Langue bretonne
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune en breton est Louergad.
L’adhésion à la charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le . Le a été remis à la commune le label Ya d'ar brezhoneg de niveau 1.
À la rentrée 2021, 61 élèves étaient scolarisés dans les filières bilingues publiques (soit 28,5 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[31].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Hauteurs
[modifier | modifier le code]- Menez Bré, haut de 302 m. Au sommet, chapelle Saint-Hervé siège de foires renommées (chevaux).
- Méné Hoguené, haut de 304 m : « Lande Supplice », lieu de haute et basse justice et d’exécutions (les suppliciés étaient pendus sur ce point culminant).
Architecture religieuse
[modifier | modifier le code]- Préhistoire
- Menhirs de Pergat : deux menhirs érigés en fond de vallée.
- An Dossen, tumulus classé au titre des monuments historiques en 1946[32].
- Stèle gauloise Saint-Michel (âge du fer).
- Stèle de Cre'ch Even (percée de trous).
- Édifices chrétiens
- Église Notre-Dame-des-Neiges[33].
- Église Saint-Éloi (bourg de Saint-Eloi)/
- Chapelles Saint-Jean et Saint-Fiacre (XVIIe siècle),
- Chapelle Saint-Paul (XVIIIe siècle),
- Chapelle Saint-Sylvestre (XVIIIe siècle),
- Chapelle Saint-Hervé sur le Menez-Bré.
- Chapelle Sainte-Marguerite (XIIIe siècle[34]), dans le parc du manoir du Cleuziou.
Architecture civile
[modifier | modifier le code]- Monument aux Morts[35]
- Motte féodale de Pen Ar Stang, dite « tumulus An Dossen », 114 m de haut.
- Manoir du Cleuziou. Construit entre le XIIIe siècle et le XVIIIe siècle[34]. C'est la famille du Cleuziou qui en est initialement propriétaire, puis la famille Raison après le mariage de Gillette du Cleuziou[réf. nécessaire]. Le bâtiment et ses 7 hectares sert d'hôtel et de restaurant, jusqu'à sa mise aux enchères début décembre 2022[34].
- Manoir de Plouserf.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Forêt de Coat An Hay.
- Lande Supplice.
Équipements de proximité
[modifier | modifier le code]La ville de Louargat est équipée d'un terrain multisports en aluminium depuis [36].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Événements liés à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Description de la forêt sur le site de l'Office du Tourisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le ).
- « Fiche du Poste 22135001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1049.
- Google Books - Page 52 Malo-Joseph de Garaby - Vie des bienheureux et des saints de Bretagne, pour tous les jours de l'année - 1839
- J. de La Passardière, "Topologie des paroisses du Léon", Revue de Bretagne de Vendée & d'Anjou, janvier-février 1911, volumes 45 à 46, pages 179-180, consultable https://books.google.fr/books?id=uJAVAAAAYAAJ et Joseph Loth, Les noms de saints bretons", "Revue celtique", 1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6573818q/f302.image.r=Tr%C3%A9ogat?rk=1416316;0
- Le patrimoine des communes des Cotes-d'Armor, t. 2, Charenton-le-Pont, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », (ISBN 978-2842340308).
- « L'agitation catholique. Dans les Côtes-du-Nord », Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
- Notice LALES Louis par Christian Bougeard, version mise en ligne le 10 octobre 2010, dernière modification le 20 avril 2022
- « Nécrologie. M. Robert Cozanet, maire de Louargat », Ouest-France (archives du journal),
- Notice LE MOIL Henri par Alain Prigent, version mise en ligne le 17 décembre 2011, dernière modification le 17 décembre 2011
- [1]
- « Municipales à Louargat. L’écharpe tricolore pour Hervé L’Hévéder », Ouest-France, (lire en ligne).
- Extrait de la fiche de M. Hervé L'HEVEDER, sur LesBiographies.com
- pour en savoir plus sur les maires de Louargat
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- (en) « Opab Oplb : le blog de la formation et du développement personnel », sur opab-oplb (consulté le ).
- « Tumulus dit An Dossen », notice no PA00089317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Selon Jean-Claude Even, l'appellation proviendrait d'une traduction erronée du breton Itron-Varia an Nec'h qui signifie Notre-Dame-du-Mont ou de la Hauteur. La plaque descriptive apposée sur l'église indique cependant bien « Itron-Varia an Erc'h ».
- Rémi Charrondière, « Bretagne : 35 pièces, 24 chambres, 7 hectares... Un manoir bientôt en vente aux enchères » , sur actu.fr, (consulté le ).
- http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?act=view&insee=22135&pays=France&dpt=22&idsource=29538&table=bp&lettre=&fusxx=&debut=100
- « Louargat, le terrain multisports prend forme »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur 3R Playground, (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes des Côtes-d'Armor
- Liste des communes du Trégor
- Guingamp-Paimpol Agglomération
- Gare de Belle-Isle - Bégard (gare ferroviaire située sur la commune)
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Louargat sur le site de l'Institut géographique national