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DeutschLouis Malécot — Wikipédia
Cet article est une ébauche concernant une personnalité française et l’aéronautique.
Pour les articles homonymes, voir Malécot.
| Naissance | |
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| Décès | |
| Noms de naissance | Hypolite Louis Malécot, Hippolyte Louis Malécot |
| Nationalité | |
| Domicile | |
| Activités |
| Taille | 1,72 m |
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| Cheveux | |
| Yeux |
Louis Malécot, né le à Arles[1], est un pionnier français de l'aviation.
Biographie
[modifier | modifier le code]Louis Malécot effectue son service militaire de 1892 à 1893 au 146e régiment d'infanterie[2]. Le , il épouse Marie Louise Gondrand à Paris. Il est alors domicilié 158 rue Saint-Maur à Paris[3].
Employé au Bazar de l'Hôtel de Ville, il habite 65 rue du Faubourg-du-Temple à Paris[4] à partir de 1901.
Il fait en septembre 1907 à Meaux des essais d'un dirigeable de 33 m. À la troisième ascension, le 23 septembre, il se jette dans les arbres et le ballon est déchiré.
Il refait différents essais en août et septembre 1908 à Issy-les-Moulineaux. Le 23 novembre, une tempête détruit le hangar qui abritait le moteur et l'appareil aéroplane du dirigeable[5].
En 1909, le gouvernement français ouvre un concours pour la construction d'un croiseur aérien. Cent quarante projets sont présentés. Le vainqueur serait le dirigeable Malécot[6].
La Société d'encouragement au progrès lui décerne sa grande médaille de vermeil en 1910[7].
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Première sortie de l'aéronef Malécot, . -
Première sortie de l'aéronef Malécot, .
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Publications
[modifier | modifier le code]- L'aviation et l'aérostation appliquées à la navigation aérienne, Paris, .
Notes et références
[modifier | modifier le code]- ↑ « État civil de Arles », sur Archives et bibliothèque départementales Gaston Defferre, (consulté le ).
- ↑ Archives de Paris, D4R1669, fiche matricule no 1767.
- ↑ Archives de Paris, V4E 10681, acte no 736.
- ↑ Paris-Adresses, Paris, 1907, p. 647.
- ↑ « Aérostation. Le hangar du "Malécot" détruit par la tempête », Journal de Rouen, , p. 4
- ↑ « Le "Malécot" », Journal de Rouen, , p. 3
- ↑ La Petite République, 8 juin 1910, p. 6.
