Malika Hachid — Wikipédia
Malika Hachid, née à Alger en , est une historienne algérienne, spécialiste de la préhistoire.
Biographie
[modifier | modifier le code]Malika Hachid poursuit des études d'archéologie à l'université de Provence dans la spécialité Préhistoire et Protohistoire pré-sahariennes et sahariennes. Chercheuse au Centre national de préhistoire et d'anthropologie à Alger, elle est ensuite directrice du Parc culturel national du Tassili des Ajjer. Elle regagne le centre de recherches précédemment cité à Alger dans les années 1990, devenu Centre national de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH) où elle exerce actuellement[Quand ?] en qualité de directrice de recherches.
Elle est membre fondateur et a été vice-présidente de la Fondation Sonatrach-Tassili[1].
Elle a écrit des articles dont quelques-uns téléchargeables sur Academia.edu et Researchgate et trois ouvrages sur l'art rupestre, l'archéologie et l'origine des populations nord-africaines en particulier.
Elle date l'apparition de la première écriture libyque entre -1500 et -1000[2].
Publications
[modifier | modifier le code]- El-Hadjra el-Mektouba. Les pierres écrites de l'Atlas saharien, 1992
- Le Tassili des Ajjer. Aux sources de l'Afrique 50 siècles avant les pyramides,1998 (ISBN 2-84272-052-0)
- Les Premiers Berbères entre Méditerranée, Tassili et Nil, Ed. Edisud, 2001, (ISBN 2-7449-0227-6)
- elle a participé à l'ouvrage collectif Sahara, Ed. La Martinière, 2004, (ISBN 978-2-7324-3122-2)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Achour Cheurfi, L'encyclopédie maghrébine, Casbah éditions, 2007, p. 478
- Malika Hachid, Les Premiers Berbères. Entre Méditerranée, Tassili et Nil, Aix en Provence, Ina-Yas. Edisud, , 317 p. (ISBN 2744902276)