Man Is the Bastard — Wikipédia
Pays d'origine | États-Unis |
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Genre musical | Powerviolence, punk hardcore, noise rock, sludge metal |
Années actives | 1990–1997 |
Labels | Gravity Records, Vermiform Records, Deep Six Records, Slap-a-Ham Records |
Anciens membres | Henry Barnes Andy Beattie Joel Connell Aaron Kenyon Isreal Lawrence Bill Nelson Eric Wood |
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Man Is the Bastard est un groupe de punk hardcore américain, originaire de Claremont, en Californie. Le groupe existe entre 1990 et 1997, publiant en particulier splits vinyles, EP, et albums sur différents labels à l'international. En 1997, le groupe se sépare alors que les membres se consacrent à d'autres projets comme le groupe Bastard Noise, qui devait être un projet parallèle lié à Man Is the Bastard. Ils sont considérés comme pionniers du mouvement powerviolence des années 1990[1].
Style musical
[modifier | modifier le code]Man Is the Bastard est catégorisé dans les genres powerviolence (un terme crédité par Matt Domino, membre du groupe Pissed Happy Children)[1],[2], punk hardcore[3], noise rock[3], et sludge metal. Le groupe est connu pour son usage excessif de bruits, et vont encore plus loin avec le projet parallèle Bastard Noise. L'idée d'incorporer du bruit émane de Henry Barnes, technicien du groupe[2]. Barnes lancera ses propres instruments électroniques grâce au scratch[4]. Man Is the Bastard est fidèlement lo-fi en matière de production.
Postérité
[modifier | modifier le code]Le groupe est désormais considéré comme l'un des piliers du mouvement powerviolence californien[4]. Le bassiste de Spazz et opérateur de Slap-a-Ham Records Chris Dodge considère le groupe « unique »[5]. Le groupe folk indie Andrew Jackson Jihad cite le groupe sur son morceau Do Re and Me de l'album Christmas Island (2014)[6].
Membres
[modifier | modifier le code]Membres originaux
[modifier | modifier le code]- Eric Wood - chant, basse
- Joel Connell - batterie
- Henry Barnes - guitare, électronique
- Aaron Kenyon - chant, basse
Autres membres
[modifier | modifier le code]- Bill Nelson - électronique
- Andrew Beattie - chant
- Israel Lawrence - chant, électronique
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) James Knight, « Eric Wood From Man Is The Bastard », sur www.vice.com, Vice (consulté le )
- (en) n/a, « An Oral History of Powerviolence (Interview with Eric Wood) », sur lioncitydiy.blogspot.com, Lion City DIY (consulté le )
- (en) Bradley Torreano, « Man Is the Bastard Biography », sur allmusic.com, AllMusic (consulté le )
- n/a (2010-11-08), « Exclusive Interview with Eric Wood from Man Is The Bastard », sur zannmusic.com.ar, Zann's Music (consulté le )
- (en) Brandon Ivers (2008-03-20), « What Is It?: Powerviolence », sur xlr8r.com, XLR8R (consulté le )
- (en) Robin Smith (2014-05-29), « Getting Naked, Playing With Guns: Interview With Andrew Jackson Jihad », sur popmatters.com, PopMatters (consulté le ).