Marguerite Stern — Wikipédia

Marguerite Stern
Marguerite Stern à la sortie du tribunal de Paris en 2013.
Biographie
Naissance
Pseudonyme
Marguerite SternVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Activité
militante féministe, essayiste, polémiste
Autres informations
Membre de
Femen (-)Voir et modifier les données sur Wikidata

Marguerite Stern, née le , est une polémiste et ancienne militante féministe française.

Ancienne FEMEN, elle est la fondatrice du mouvement des collages contre les féminicides.

Critiquée pour ses actions jugées transphobes par une partie des féministes, elle est exclue du mouvement qu'elle a lancé, plusieurs mois après l'avoir déjà quitté. Elle se rapproche progressivement de Dora Moutot, et exprime des positions de plus en plus proches de l'extrême droite.

Biographie

Fille d'un agent immobilier immigré portugais[1] et d'une agente de laboratoire, Marguerite Stern grandit dans un village en Auvergne[2]. Après son bac littéraire, elle quitte l'Auvergne pour Paris, où elle entame des études d'arts plastiques à Paris-VIII-Saint-Denis, qu'elle ne terminera jamais[3], puis des études d'architecture à Bruxelles[4].

Activisme FEMEN

À son retour à Paris en 2012, Marguerite Stern arrête ses études[4] et commence son engagement féministe au sein des FEMEN[D 1],[5]. Fin , elle présente « ses excuses » à l’Église catholique pour ses actions passées lors des manifestations contre l'opposition de l'Église au mariage pour tous et affirme avoir évolué après avoir « enquêté sur l'idéologie transgenre » et ses « conséquences néfastes »[6].

Manifestation contre le mouvement Civitas

Le , elle participe à une action du mouvement Femen lors d'une manifestation Civitas contre le mariage pour tous et subit des violences de membres du parti politique. Accusée d'injure publique envers les catholiques intégristes, elle est relaxée en [7].

Il lui est également reproché d'avoir utilisé avec six autres Femen des extincteurs en tant qu'« arme par destination ». Elle obtient alors un premier non lieu en . Elle est de nouveau relaxée des faits le [7].

Prison en Tunisie

Le , elle participe en Tunisie avec deux autres activistes à la première action FEMEN dans un pays arabe en soutien à Amina Sboui. Elles sont interpellées et détenues durant un mois à la prison de Manouba[8]. Le 12 juin 2013, elles sont condamnées à 4 mois et un jour de prison ferme pour atteinte aux bonnes mœurs et à la pudeur[9].

Au Maroc contre l'homophobie

Le , elle fait partie de la première action de FEMEN au Maroc, devant la tour Hassan à Rabat, où elle embrasse seins nus une autre activiste. Selon un communiqué, cette action a pour but de « célébrer les droits LGBT et dénoncer l’injustice faite à la communauté homosexuelle au Maroc ». Sept heures après l'action, elles sont arrêtées, interrogées durant six heures, puis expulsées du territoire[10].

Engagement pour l'accueil des personnes réfugiées

De 2015 à 2016, elle donne des cours de français dans la jungle de Calais[11].

Collages contre les féminicides

En , elle initie en France des collages contre les féminicides sous forme de brefs slogans[12], notamment à Paris et Marseille. Ses collages sont composés de lettres noires peintes une à une sur des feuilles blanches. Son premier slogan collé est « Depuis que j'ai 13 ans, des hommes commentent mon apparence physique dans la rue »[5],[2],[13].

Premier collage utilisant l'esthétique composée de feuilles A4.

Le , elle initie un collage collectif contre les féminicides[14]. Elle gère le fonctionnement du groupe de Paris et le lancement du mouvement à l'échelle nationale durant un mois, avant de s'en écarter. Elle continue à coller seule[2].

De par la simplicité du mode d'action et l'augmentation du nombre de féminicides en France, des groupes de collages se forment dans les villes[15], mais également à l'international[16]. Les médias, en France et à l'étranger, s'intéressent au phénomène[2]. Ces collages affichent des slogans qui ont pour but de sensibiliser et de dénoncer l'inaction des pouvoirs publics à agir efficacement contre les violences faites aux femmes[17]. Les messages rendent hommage aux victimes de féminicides. Ils affichent des phrases courtes qui décrivent les circonstances des meurtres ou qui portent une visée générale[18].

En , elle ouvre un squat féministe, dans le 12e arrondissement de Paris, « L'amazone », QG pour les collages, et lieu de création pour femmes, à l'exception notable des femmes trans, qu'elle refuse[19]. Il est évacué un mois plus tard.

Vie privée

Le , au lendemain d'altercations avec des hommes de son quartier, un tir de balle de 9 mm frappe la fenêtre de son appartement marseillais en pleine nuit[11],[20].

Prises de positions et polémiques

Prises de positions contre le port du voile, la prostitution

Représentant un féminisme « universaliste », par opposition au féminisme « essentialiste », elle déclare notamment que le voile, comme la prostitution, ne relève pas du libre arbitre[2].

Prises de positions sur la transidentité, accusations de transphobie et rapprochement vers l'extrême droite

Le , après un collage dans la ville de Montpellier appelant à l'inclusion des femmes trans dans le mouvement féministe avec le slogan « des sisters pas des cisTERF » (jeu de mots construit sur « cis » (cisgenre) et « TERF » signifiant « Trans-exclusionary radical feminist » ou « féministe radicale excluant les personnes trans », et slogan pouvant être traduit par « des alliées, pas des transphobes »), elle prend position contre la place devenue trop importante selon elle du militantisme trans dans le mouvement des collages et au sein du féminisme, via Twitter[21]. Elle y affirme notamment qu'être une femme est une question de biologie et que le militantisme des femmes trans, consistant selon elle à réduire les femmes à un ensemble de stéréotypes patriarcaux tels que le maquillage ou les vêtements, est insultant pour ces dernières[22]. Elle nie la qualité de femmes aux personnes assignées hommes à la naissance, affirmant notamment : « De tout temps, les hommes ont tenté de silencier les femmes en faisant taire leurs révoltes. Aujourd'hui, ils le font de l'intérieur en infiltrant nos luttes »[2]. Elle refuse les appellations telles « personnes à vulve »[11]. Ses positions lui valent d'être considérée comme « TERF » par les féministes intersectionnelles[22].

À la suite de ces déclarations, le compte Instagram Collages Féminicides Paris se désolidarise de ses propos : « Les discriminations ont toujours été condamnées […]. On est sur l'exclusion d'une partie des femmes de la lutte, la transphobie n'est pas un débat. » Elle est exclue du mouvement qu'elle a co-créé, plusieurs mois après l'avoir déjà quitté[21],[23]. Elle est l'objet de nombreuses insultes sur les réseaux sociaux, si bien que le collectif réagit et précise refuser toute « rhétorique de mise à mort »[2].

En , Marguerite Stern cosigne, aux côtés de Christine Delphy et de Fatiha Agag-Boudjahlat, une tribune rédigée par Pauline Arrighi intitulée « Trans : suffit-il de s'autoproclamer femme pour pouvoir exiger d'être considéré comme telle ? »[24]. Cette tribune, initialement publiée sur le Huffington Post, puis dépubliée par la rédaction qui la qualifie de transphobe[25], est republiée par Marianne. Le , plusieurs personnalités et associations signent dans Libération deux tribunes intitulées « Féminisme : le débat sur la place des femmes trans n'a pas lieu d'être »[26] et « À toi ma sœur, mon frère, mon adelphe »[27]. Ces différentes prises de positions cristallisent les dissensions au sein des collages contre les féminicides[22]. Marguerite Stern est harcelée pour ses positions, harcèlement allant jusqu'à des menaces de mort[28],[29] et entraînant une hospitalisation en psychiatrie pour un trouble anxieux généralisé. De son côté, elle continue les attaques envers les personnes trans sur les réseaux sociaux, allant jusqu'à inventer des troubles[pas clair][30].

En , sept autrices se retirent d’un salon du livre féministe car elles refusent de participer avec Marguerite Stern et Dora Moutot qu'elles jugent transphobes[31].

En , elle cosigne avec Dora Moutot une tribune publiée dans Marianne adressée à Élisabeth Borne, dans laquelle elles s'opposent à une affiche du Planning familial représentant un homme enceint, jugeant qu'« elle reprend un vocabulaire utilisé par les militants transactivistes »[32]. Selon Mediapart, le texte est « très majoritairement relayé par des militant·es, organes de presse ou personnalités d’extrême droite »[33].

Le site Arrêt sur images rapporte alors que le femellisme, mouvement lancé par Dora Moutot et Marguerite Stern, est rejeté par de nombreuses féministes « pour sa transphobie », mais aussi parce que beaucoup de femmes ne se revendiquent pas comme femelles. Une rhétorique employée par Marguerite Stern. Selon la journaliste, le mouvement adhère à la théorie du complot sur le « financement du lobby trans » et reste proche d'une idéologie ultraconservatrice ou d'extrême droite. Les deux militantes rejettent dans un droit de réponse toute accusation de transphobie et de rapprochement avec l'extrême droite ou le fascisme. Elles précisent que selon elles, le femellisme est avant tout une lutte « contre les oppressions que subissent les femmes en raison de leur sexe »[34]. Libération reproche aux deux militantes des passerelles idéologiques et des obsessions communes avec les militants de La Manif pour tous et l'extrême droite[35]. Pour autant, quelques mois plus tard, Marguerite Stern apporte son soutien à une figure bien connue de l'extrême droite : Julien Rochedy, masculiniste et ancien directeur national du Front national de la jeunesse entre 2012 et 2014[30]. En , elle donne une conférence à l'Institut de sciences sociales économiques et politiques fondé par Marion Maréchal, personnalité politique d'extrême droite[36].

Dora Moutot et Marguerite Stern sont reçues peu après par les députées LREM Caroline Yadan et Aurore Bergé, ce qui entraîne les protestations de deux autres élus LREM, Pierre Karleskind et Raphaël Gérard, ce dernier dénonçant de la part de Caroline Yadan un « vocabulaire qui fait écho aux discours haineux entendus en Pologne ou en Hongrie »[32]. Peu après cette rencontre, Aurore Bergé dépose un amendement pour interdire aux hommes trans d'avoir accès à l'IVG[37].

Interrogée en par Libération, Marguerite Stern se défend d'être transphobe, expliquant : « Je ne suis pas transphobe parce que je dis qu'une femme trans est un homme et je ne combats pas les trans mais l'idéologie trans. De la même manière que je ne suis pas islamophobe parce que je dis que l’islam c’est de la merde, ni antisémite parce que je dis que la religion juive c’est de la merde, ni “communistophobe” parce que je dis que le communisme c’est de la merde »[35].

En , sa venue à Nantes, au colloque annuel organisé par Comité Laïcité République Pays de la Loire au château des ducs de Bretagne, pour une conférence intitulée « Cinq ans après #MeToo, où en est le féminisme ? » est annulée du fait de menaces[38]. Le colloque sera finalement reprogrammé dans une salle du Sénat, et sa venue sera finalement maintenue[39].

En , Marguerite Stern s'oppose à l'amendement de LFI proposant qu'une femme transgenre puisse être incarcérée dans une prison pour femmes[40],[41].

Polémique autour du livre Transmania

En , la mairie de Paris s'oppose à la promotion sur des panneaux publicitaires d'un livre qu'elle a écrit avec Dora Moutot, Transmania. Selon le premier adjoint, Emmanuel Grégoire, l'ouvrage propage un « discours de haine » envers les personnes transgenres, qui « va à l’encontre des valeurs portées par la Ville de Paris ». Dora Moutot dénonce « un acte de censure » après que JCDecaux retire la publicité[42],[43],[44].

Le , SOS Homophobie annonce porter plainte contre Dora Moutot et Marguerite Stern pour leur livre Transmania, l’association dénonçant « la haine contre les personnes trans »[45].

Une conférence sur le livre à l'université Paris-Panthéon-Assas à l'initiative de la Cocarde étudiante est annoncée pour le lundi , provoquant la polémique, des associations étudiantes de gauche et le sénateur communiste de Paris Ian Brossat[46] demandant son annulation. Elle se tient finalement sous protection policière dans un centre annexe, alors qu'une contre-manifestation de 150 personnes se déroule en face[47].

Elle participe à l'université d'été 2024 du parti d'extrême droite Reconquête dirigé par Éric Zemmour[48].

Rejet du féminisme

En , elle exprime son rejet du féminisme en raison des évolutions des luttes féministes qu'elle estime négatives. Elle se définit désormais comme « femelle » et se rapproche du militant masculiniste d'extrême droite Julien Rochedy, dont elle dit partager les positions[49].

Œuvres

Essais

Podcasts

  • Conversations avec Marie, mars 2019
  • Héroïnes de la rue, avril 2019[51]
  • Le dernier homme, avril 2021
  • Écoutez les survivantes, juin 2021
  • Ma fortune, mars 2022
  • Au peuple des femmes, mai 2022

Notes et références

Références

  1. Le nouvel Economiste, « Marguerite Stern : "En politique, il faudrait virer tous les hommes" », sur Le nouvel Economiste, (consulté le )
  2. a b c d e f et g Aurélie Jacques, « La nuit des colleuses », Vanity Fair n°87, mars 2021, p. 62-69.
  3. Louis-Valentin Lopez, « Marguerite Stern, 29 ans, féministe : des collages immédiats », sur France Inter, (consulté le )
  4. a et b « Rencontre avec Marguerite Stern, initiatrice des collages anti-féminicides - Autour de Paris-Le nouveau guide du Grand Paris », sur Autour de Paris (consulté le )
  5. a et b Louis-Valentin Lopez, « Marguerite Stern, 29 ans, féministe : des collages immédiats », sur franceinter.fr, (consulté le )
  6. « «Je veux m’excuser auprès des catholiques» : l’ex-Femen Marguerite Stern revient sur son ancien militantisme contre la religion », sur Le Figaro, (consulté le )
  7. a et b Sascha Garcia, « Sept ex-Femen relaxées pour des incidents lors d’une «Manif pour tous» : «Pendant douze ans, on a discuté du sexe des anges» », sur Libération (consulté le )
  8. Marie Desnos, « Femen françaises - "Etre une prisonnière en Tunisie" », sur parismatch.com,
  9. « Prison ferme pour des Femen en Tunisie », sur Libération.fr, (consulté le )
  10. « La Femen Marguerite Stern: «Il n’est pas exclu que nous revenions au Maroc» », sur Telquel.ma (consulté le )
  11. a b et c Violaine Epitalon, « Marguerite Stern : La Femme révoltée », Technikart,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. « Rencontre avec Marguerite Stern, initiatrice des collages anti-féminicides », sur Autour de Paris (consulté le )
  13. « 5 choses à savoir sur le mouvement Collages Féminicides », sur lesinrocks.com (consulté le )
  14. Delphine Evenou, « "Aux femmes assassinées, la patrie indifférente" : des affiches pour interpeller sur les féminicides », sur franceinter.fr, (consulté le )
  15. « « Aux femmes assassinées, la patrie indifférente » : les « colleuses » d’affiches veulent rendre visibles les victimes de féminicides », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  16. Eva-Luna Tholance, « Les collages contre les féminicides s’exportent à l’étranger », sur Libération.fr, (consulté le )
  17. « Marguerite Stern, féministe de combats », sur lemonde.fr,
  18. « Féminicides : à Paris, des phrases chocs sur les murs pour "interpeller les passants" », sur LExpress.fr, (consulté le )
  19. Élise Viniacourt, « Paris : dans les coulisses des collages contre les féminicides », sur leparisien.fr, (consulté le )
  20. Claire Digiacomi, « Cette ex-Femen a reçu une balle dans sa fenêtre, elle témoigne : "Je ne me résignerai jamais" », HuffPost,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. a et b Service Checknews, « Quel est le point de départ de la polémique sur la place des trans dans le féminisme ? », sur Libération.fr, (consulté le )
  22. a b et c « Le mouvement Collages féminicides se déchire sur la question trans », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. « "Papa, il a tué maman" : un an après, les collages anti-féminicides perdurent à Paris », sur Marie Claire (consulté le )
  24. « Trans : suffit-il de s’autoproclamer femme pour pouvoir exiger d’être considéré comme telle ? », sur Marianne, (consulté le )
  25. « Pourquoi nous avons dépublié la tribune "Question trans: les colleuses contre les féminicides se divisent et toutes les femmes sont menacées" », sur Le HuffPost, (consulté le )
  26. un collectif de femmes féministes, trans ou cis, « Le débat sur la place des femmes trans n’a pas lieu d’être », sur Libération.fr, (consulté le )
  27. un collectif d'associations et d'universitaires, « A toi ma sœur, mon frère, mon adelphe », sur Libération.fr, (consulté le )
  28. « Enquête - Quand les féministes et les activistes trans s’affrontent sur les réseaux sociaux », sur Charlie Hebdo, (consulté le )
  29. « Entre "TERF" et "transactivistes", féministes et militants LGBT se déchirent sur la question trans », sur Marianne, (consulté le )
  30. a et b « Dans les médias, « une fenêtre s’est ouverte sur les discours antitrans » », sur Les Jours, (consulté le )
  31. Anna Cuxac, « Salon du livre féministe : annulations en cascade sur fond de tensions entre féministes radicales et alliées à la cause trans » Accès libre, sur Causette, (consulté le ).
  32. a et b Étienne Baldit, « Grosses tensions entre élus LREM sur fond de transphobie » Accès payant, sur Libération, (consulté le )
  33. Sarah Benichou, « Affiche du Planning familial : « Ce n’est pas une question de genre, c’est une question de droit » » Accès payant, sur Mediapart, (consulté le )
  34. Pauline Bock, « Planning familial : les anti-trans, "cautions progressistes" des réacs - », sur arretsurimages.net (consulté le )
  35. a et b Maxime Macé, Pierre Plottu et Johanna Luyssen, « Entre féministes Terf et extrême droite, des passerelles idéologiques pour un même combat antitrans » Accès payant, sur Libération, (consulté le ).
  36. « A Lyon, tensions autour de la venue de la militante Marguerite Stern et de sa conférence sur « les dérives de l’idéologie trans » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  37. Maëlle Le Corre, « La députée Aurore Bergé veut exclure les hommes trans de la protection du droit à l’IVG », sur Madmoizelle, (consulté le )
  38. Laurène Trillard, « La venue de Marguerite Stern, féministe engagée contre l'idéologie transgenre, annulée à Nantes après des menaces », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  39. « Marguerite Stern à Nantes : après la polémique, le colloque aura finalement lieu à Paris », sur Le Figaro, (consulté le )
  40. Le Point magazine, « Quand LFI défend le droit des trans en prison », sur Le Point, (consulté le )
  41. « La France insoumise veut rendre les prisons "mixtes", par Dora Moutot et Marguerite Stern », sur L'Express, (consulté le )
  42. Nicolas Scheffer, « Publicité d'un livre transphobe et complotiste : JCDecaux retire les affiches », Têtu,‎ (lire en ligne)
  43. Juliette Moreau Alvarez, « "La transphobie est un délit": la mairie de Paris demande le retrait d'une publicité », BFM TV,‎ (lire en ligne)
  44. « Des affiches publicitaires pour un livre « transphobe » retirées des rues de Paris », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. Eugénie Boilait, « «Transmania»: SOS Homophobie annonce porter plainte contre Dora Moutot et Marguerite Stern pour leur livre », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  46. Elie Julien et Elsa Mari, « Polémique « Transmania » : pourquoi le président d’Assas maintient la conférence des autrices décriées », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le )
  47. « Transmania : rassemblement contre la transphobie à Paris avant une conférence », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  48. Youmni Kezzouf, « Zemmour fait sa rentrée dans une ambiance groupusculaire », Mediapart,‎ (lire en ligne)
  49. Élodie Hervé, « Dans les médias, « une fenêtre s’est ouverte sur les discours antitrans » » Accès payant, sur Les Jours, (consulté le )
  50. a et b « Marguerite Stern (auteur de Héroïnes de la rue) », sur Babelio (consulté le )
  51. Marguerite Stern, « Héroïnes de la rue - prologue », sur Ausha, (consulté le )

Extraits d'ouvrages autobiographiques

  • Certaines informations sont issues directement des ouvrages de Marguerite Stern :
  1. Marguerite Stern, « FEMEN », dans Marguerite Stern, Héroïnes de la rue, p. 76.

Liens externes