Moussey (Vosges) — Wikipédia
Moussey | |
Le Rabodeau entre le col de Prayé et Moussey. | |
Blason | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Saint-Dié-des-Vosges |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges |
Maire Mandat | Bertrand Klein 2020-2026 |
Code postal | 88210 |
Code commune | 88317 |
Démographie | |
Gentilé | Mousséen(ne)s |
Population municipale | 556 hab. (2021 ) |
Densité | 19 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 25′ 51″ nord, 7° 01′ 25″ est |
Altitude | 380 m Min. 360 m Max. 933 m |
Superficie | 29,2 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Raon-l'Étape |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Moussey est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.
Ses habitants sont appelés les Mousséens.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Moussey est l'une des communes ayant appartenu à l'abbaye de Senones, puis à la principauté de Salm jusqu'à la Révolution française.
Le nom de Moussey viendrait de Monticellus, petit mont. Le village est en effet sur une petite éminence au pied de laquelle coule un ruisseau dont le cours très rapide mérite bien le nom de Rabodeau (en latin, rapidus aqua)[réf. nécessaire].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le village de Moussey est le dernier lieu habité de la vallée et par lui on accède au col de Prayé, menant au Donon et à l'Alsace. On peut aussi rejoindre le col du Hantz en suivant la vallée du Fosse, affluent gauche du Rabodeau.
La forêt occupe une part importante du territoire communal, notamment dans les pentes abruptes qui bordent les vallées. Vers l'est, au-dessus de 900 mètres d'altitude, elle laisse la place à des chaumes.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Rabodeau, le ruisseau le Fosse, le ruisseau Basse de la Courbe Ligne, le ruisseau Basse de Liemont, le ruisseau Basse des Chavons et le ruisseau de la Basse des Loges[1],[Carte 1].
Le Rabodeau, d'une longueur totale de 25,7 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Meurthe à Moyenmoutier, face à Étival-Clairefontaine, après avoir traversé quatre communes[2].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 261 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 10,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 027,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Moussey est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,1 %), prairies (3,9 %), zones urbanisées (2,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Histoire
[modifier | modifier le code]Moussey fait partie de l'ancienne principauté de Salm, rattachée à la France en 1793. De nombreux documents, archivés à la mairie, témoignent de cette époque où les princes de Salm cohabitaient avec les religieux, dont le plus connu est dom Calmet.
La cité doit sa notoriété à l'industrie textile ; une première filature fut construite en 1836. Un château attenant est édifié entre 1858 et 1863. Depuis le , plusieurs de ses éléments sont protégés par les Monuments historiques : façades et toitures du château et de la glacière ainsi que le bassin ; façades et toitures du bâtiment crênelé dit Atelier[15].
Jusqu'en 1964, année de fin de l'activité textile, trois grandes familles d'industriels – Charlot, Lung et Laederich (dont Georges Laederich) – se succèdent.
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]De 1940 à 1944, la Résistance s'organise[16] ; notamment à compter de l'été 1944 dans le cadre de l'Opération Loyton, mais la conséquence en fut une déportation massive, en plusieurs vagues[17], des hommes de la vallée du Rabodeau[18]. Ainsi à Moussey, une première rafle a lieu le . Un peu plus tard, le , 187 personnes furent encore arrêtées et déportées ; 144 d'entre elles ne revinrent pas[18].
Deux odonymes locaux (« rue du 18-Août » et « rue du 24-Septembre ») rappellent ces événements. Parmi les victimes figure le maire de Moussey depuis 1917 et directeur général des établissements Laederich, Jules Py, mort à Dachau le [Note 2].
La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[19].
- Vue générale.
- L'église.
- La filature Laederich.
- Le pont des Chavons.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[20] :
- total des produits de fonctionnement : 475 000 €, soit 832 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 354 000 €, soit 619 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 258 000 €, soit 452 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 198 000 €, soit 346 € par habitant ;
- endettement : 1 000 €, soit 3 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 20,45 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 38,88 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 29,58 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 570 €[21].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2021, la commune comptait 556 habitants[Note 3], en évolution de −12,99 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]- Établissements d'enseignements[27] :
- Écoles maternelles et primaires à Moussey, Le Saulcy, Allarmont, La Petite-Raon, Plaine, Belval, Raon-sur-Plaine.
- Collèges à Senones, La Broque, Schirmeck.
- Lycées à Schirmeck, Raon-l'Étape, Saint-Dié-des-Vosges
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[28] :
- Médecins à La Petite-Raon, Senones, Celles-sur-Plaine, Moyenmoutier.
- Pharmacies à La Petite-Raon, Senones, Celles-sur-Plaine, Moyenmoutier.
- Hôpitaux à Senones, Badonviller, Raon-l'Étape, Rothau, La Broque, Schirmeck.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Saint-Maurice-du-Rabodeau[29], Diocèse de Saint-Dié.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Sylviculture et autres activités forestières.
- Élevage de volailles.
- Élevage d'autres animaux.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hébergements et restauration à Belval, Senones, Grandrupt, Denipaire, La Voivre.
Commerces
[modifier | modifier le code]Les ressources locales sont traditionnellement liées à l'exploitation de la forêt (sapins, épicéas, hêtres) et à l'industrie du bois (importante scierie), auxquelles se sont ajoutées la plasturgie et la métallurgie.
- Commerces et services de proximité.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Vue sur l'église.
- Église Saint-Valentin.
- Le château de l'ancienne filature.
- Église néogothique de la Trinité, construite en 1851,
- Le château de l'ancienne filature, la glacière, le bassin ainsi que la bâtiment crénelé dit Atelier sont inscrits sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [34].
- La scierie hydraulique dite du Fossé[35].
- La ferme marcairie[36] de la Haute Loge[37].
- Monuments commémoratifs[38].
Gastronomie
[modifier | modifier le code]- Spécialité locale : la « vaute » est un beignet râpé de pommes de terre cuit à l’huile. Cette spécialité est à l'honneur lors de la foire annuelle du 1er mai.
- Produits du terroir : lard paysan, miel.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Henri Martin (? - ?) poète du pays de Salm[39].
- Eugène Charlot[40] (1802 - 1876) industriel, maire et conseiller général. Né le à Strasbourg, il devient propriétaire en 1840 de la filature Bazin de Moussey, qu'il complète d'un nouveau tissage. Le , il est élu maire de la commune en remplacement de Pierre Provensensal. Le curé Dette précise alors dans son « Histoire de la paroisse de Moussey » qu’Eugène Charlot allait devenir « l’homme de Moussey ». Ayant revendu ses usines en 1861, il meurt en 1876. Sous sa férule débute une période prospère pour le village. Il s’est occupé de l’entretien, de l’amélioration et de la création de voies de communication. Il était pourtant qualifié d’économe et de libéral, libéral envers les personnes dans le besoin et envers ses amis qu’il accueillait toujours avec générosité. Il fait construire à ses frais l’église de Moussey après avoir tenté d’obtenir une aide de la préfecture. À cette époque-là, l’église du village était devenue trop petite pour accueillir les fidèles. La population est en effet passée de 700 en 1830 à près de 1500 en 1850. Cette église fut consacrée par l’évêque de Saint-Dié, Louis-Marie Caverot, le .
- Georges Baptizet, (1908 - 1974) pilote et as de la Seconde Guerre mondiale, né le à Moussey et décédé le à Besançon[41].
- Joël Mangeat, (1947 - 2014) linguiste et botaniste célèbre dans les Comores (son nom est attaché à un cap de l'île d'Anjouan)[42]. Auteur de méthodes de "didactique des langues étrangères" pour l'enseignement du français langue étrangère. Né à Moussey le .
- Marcel Herriot, (1934 - 2017) évêque émérite de Soissons et de Verdun.
- Georges Laederich, (1898 - 1969) industriel textile.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | De gueules à deux saumons adossés d'or accompagnés de quatre croisettes du même[43]. | |
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Détails | le blason communal rappelle, par les deux saumons qu'il arbore, l'ancienne appartenance du village à la principauté de Salm. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Fonds Christian Lung : 1.Jean-Baptiste Charlot (1766-1827) ; 2.Eugène Charlot (1802-1875); 3.Albert Lung (1835-1900) et Émile Lung (1828-1883).
- Jean Louis Boithias et Marc Brignon, Les scieries et les anciens sagards des Vosges : bûcherons, schlitteurs, voituriers et voileurs, Éditions CREER, 1985, 254 p. (ISBN 9782902894253)
- Marc Brignon, « Une affaire judiciaire à Moussey en 1739 », L'Essor, no 116
- Marc Brignon, « Les débuts de l'industrie textile à Moussey (1835-1850) », L'Essor, no 143
- Marc Brignon, « Le rattachement à la France », L'Essor, no 158
- Jean Pierre Houel, Moussey, 1940-1944, J.P. Houel, 1992, 176 p.
- Christian Laganier, « De La Broque à Moussey avec Hubert Ledig, passeur », L'Essor, no 130
- Alain Mercy, « L'enfer des innocents, 1940-Moussey-Mühldorf-1945 », L'Essor, no 195
- Jean-Michel Adenot « Un village vosgien et deux déportations : Moussey 1944 » Editions Jardin David (2018)
- INSEE, « Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- INPN, « Inventaire du patrimoine naturel de la commune », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes des Vosges
- Gare de Moussey (Vosges)
- Opération Loyton
- Liste des nécropoles militaires en Lorraine
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site personnel sur Moussey
- Moussey, les années folles (site personnel)
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- Né le 16 avril 1883, fils d'un directeur d'une usine textile, Jules Py est sous-directeur de tissage à Epinal puis directeur des filatures et tissages des Ets Flageollet à Vagney. Il entre aux Ets Laederich en 1911 à Moussey. Il est directeur général du groupe des usines de la vallée du Rabodeau en 1912 puis directeur général de la société dans l'entre-deux-guerres, alors présidée par Georges Laederich. Ancien combattant de la Grande Guerre, deux fois blessé, titulaire de la croix de guerre, sous-lieutenant en 1914, capitaine en 1918, lieutenant-colonel de réserve dans les années 1930. Il est président d'honneur des sous-officiers de réserve du canton de Senones, des anciens combattants de Petite-raon, des anciens combattants de Moussey et de la 341e section des médaillés militaires. Il est membre du bureau fédéral de la Légion vosgienne à la fin des années 1930. Il est conseiller général du canton de Senones de 1930 à 1937. Il est membre des Croix-de-feu dès 1934, président d'honneur du Front national de Saint-Dié en 1934-35, proche sinon membre du Parti social français et du Rassemblement national lorrain. Il est mobilisé en 1939, fait prisonnier en 1940 et libéré quelques mois plus tard. Il est membre du conseil départemental, nommé par Vichy. Mais il aide les évadés des camps de prisonniers et les maquisards de Moussey. Il est arrêté le 24 septembre 1944, rendu responsable des actes de résistance commis sur la commune de Moussey et déporté à Dachau. Cf. Jean-François Colas, « Les droites nationales en Lorraine dans les années 1930 : acteurs, organisations, réseaux », thèse de doctorat, Université de Paris X-Nanterre, 2002
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Moussey » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Moussey », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le Rabodeau »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Moussey et Ban-de-Sapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Moussey ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Filature (ancienne) inscrite par arrêté du 17 mai 1988 », notice no PA00107209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Résistance et Déportation dans la vallée du Rabodeau.
- Liste non limitative de 82 personnes, nées à Moussey, mortes en déportation.
- resistance-deportation.org La réaction allemande.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- La commune de Moussey (88317) : les chiffres-clés
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint-Maurice-du-Rabodeau
- « orgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue », notice no PM10001318, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Les facteurs d'orgues vosgiens : Jean-Nicolas Jeanpierre
- Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 403 à 405 Présentation de l'orgue de l’église de la Trinité sur la commune de Moussey
- Orgue de l'église
- « Filature (ancienne) », notice no PA00107209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « scierie hydraulique à cadre avec logement dite du Fossé », notice no IA88001778, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- marcairie de la Haute-Loge.
- « ferme : marcairie de la Haute-Loge », notice no IA88001175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges).
- Monuments commémoratifs
- Murmures des bois sauvages en Salm; poèmes de Henri Martin
- Eugène Jean François Charlot, Dictionnaire des Vosgiens célèbres
- Biographie de Georges Baptizet
- L'Archipel des Comores.
- Blason