Muséum d'histoire naturelle de Nîmes — Wikipédia
Type | musée municipal |
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Ouverture | 1895 |
Visiteurs par an | 37 294 (2014)35 716 (2015)39 595 (2016)[1] |
Site web |
Collections |
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Pays | France |
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Commune | |
Adresse | 13 boulevard Amiral-Courbet 30000 Nîmes |
Coordonnées |
Le muséum d'histoire naturelle de Nîmes est un musée de la ville de Nîmes, dans le département du Gard et la région Occitanie. Il s'agit de l'un des deux muséums du Languedoc. Il se classe au sixième rang national pour la richesse de ses collections.
Historique
[modifier | modifier le code]Inauguré en 1895 et installé autour d'un cloître et d'une chapelle classée du XVIIe siècle, il couvre tous les domaines des sciences de l'homme et de la nature. Quatre thématiques sont présentées au public : la préhistoire, la géologie, l'ethnographie et la zoologie.
Aujourd'hui, le muséum d'histoire naturelle de Nîmes regroupe trois entités : le muséum d'histoire naturelle, le planétarium et l'École de l'ADN. Les expositions temporaires et les nombreux ateliers pédagogiques et scientifiques font du site nîmois un haut lieu de la culture scientifique régionale.
Collections
[modifier | modifier le code]Le muséum de Nîmes possède des collections de zoologie (mammifères, oiseaux, poissons, arthropodes), de préhistoire locale (du Moustérien à l'âge du bronze), de l'ethnologie, et de géologie. Ces collections ont été fondées à partir des collections de savants locaux des XVIIIe et XIXe siècles comme J.F Séguier, Émilien Dumas, Jean Crespon, etc. Les objets d'ethnologie ont été rapportés entre la fin du XIXe siècle et les années 1930. Ils couvrent l'Afrique, l'Océanie et l'Asie (non exposée).
La salle d'ethnologie a été ouverte dans ces années 1930 et la volonté des conservateurs successifs a été de garder la salle comme un musée dans le musée. Il y a aussi quelques objets d'ethnologie locale. Les salles de zoologie et de Préhistoire ont été rénovées ; celle de zoologie présente les animaux de la salle selon la phylogénie. La salle de Préhistoire (au RdC) a été rénovée en 2016.
Enfin, les expositions temporaires se déroulent dans une galerie voisine sur le boulevard Amiral-Courbet, la galerie Jules-Salles ; elles sont payantes (gratuites sous conditions). Elles abordent des thèmes variés et actuels (la biodiversité, l'homme de Néandertal, prochainement "Préhistoire l'enquête") et sont l'occasion pour l'équipe du Muséum de sortir des éléments des réserves.
Fréquentation
[modifier | modifier le code]2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 |
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32 266 | 29 212 | 24 376 | 26 995 | 36 281 | 45 341 | 60 504 | 50 329 | 58 591 | 65 417 | 49 958 | 45 784 | 53 809 | 37 294 | 35 716 | 39 595 |
Conservateurs
[modifier | modifier le code]Identité | Période | Durée | |
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Début | Fin | ||
Stanislas Clément (d)[2] | 7 ans | ||
Galien Mingaud (d) ( - ) | 10 ans | ||
Gustave Cabanès (d)[3] ( - ) | 11 ans | ||
Emmanuel Passemard ( - ) | 4 ans | ||
Paul Marcelin (d) ( - ) | 15 ans | ||
Jacqueline Jeantet (d) | 2 ans | ||
Luc Gomel (d) | 7 ans | ||
Adeline Rouilly (d) |
La Société d'étude des sciences naturelles de Nîmes et du Gard
[modifier | modifier le code]Fondation |
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Sigle | SESNNG |
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Type | |
Domaine d'activité | |
Siège | Muséum d'histoire naturelle de Nîmes (depuis ) |
Pays |
Fondateurs | |
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Président | Daniel Kania (d) (depuis les années 2020) |
Publication | |
Site web |
RNA |
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Le muséum abrite le siège de la Société d'étude des sciences naturelles de Nîmes et du Gard[4] (SESNNG), fondée le par Gabriel Féminier[5]. Elle publie depuis 1873 un Bulletin[6]. Elle est à l'origine du muséum en 1895[5].
Ses présidents sont successivement :
- Pompeu Rahola,
- Adeline Tardieu-Rouilly,
- Marie-Anne Gayraud[Depuis quand ?].
- Daniel Kania
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Fréquentation sur la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture et de la Communication
- « http://www.nemausensis.com/Nimes/musee/MuseumMarcellin.pdf »
- « Mémoire de Janaïne Golonka »
- « Entreprise.data.gouv.fr », sur gouv.fr (consulté le ).
- Anthony Maurin, « NÎMES SESNNG, l’acronyme au cœur des sciences », sur objectifgard.com, (consulté le ).
- BNF 34387270.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « La société d'étude des sciences naturelles de Nîmes », Revue d'histoire moderne et contemporaine de Nîmes et du Gard, SHNG, no 17, , p. 94-95 (ISSN 1763-4946, BNF 39081996)..
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressource relative au tourisme :
- L'école de L'ADN
- Site de la SESNNG