Nien Cheng — Wikipédia
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Vie et mort à Shanghaï (d) |
Nien Cheng est une écrivaine chinoise née à Pékin le et décédée le à Washington.
Biographie
[modifier | modifier le code]Nien Cheng née sous le nom Yao Nien Yua en 1915. Elle est fille d'un grand propriétaire fonciers[1].
En 1953, elle étudie à la London School of Economics où elle y rencontre son futur mari Kang-chi Cheng[1],[2].
En 1957, son mari meurt à la suite d'un cancer[1].
Au début de la Révolution culturelle en 1966, elle est arrêtée et passe six années et demi en prison dans la maison d'arrêt numéro 1 de Shanghai. En sortant de prison en 1973, elle apprend que sa fille Meiping est morte, officiellement elle se serait suicidée en 1967[3],[1]. Elle découvre ensuite que sa fille aurait été tuée la Garde rouge[1].
En 1980 elle quitte la Chine pour le Canada puis en 1983 elle se rend à Washington aux États-Unis[4].
Elle décède le 2 novembre 2009 à l'âge de 94 ans[5].
Œuvre
[modifier | modifier le code]- Vie et mort à Shanghaï (Life and Death in Shanghai (en))
Références
[modifier | modifier le code]- (en-GB) Kerry Brown, « Nien Cheng obituary », The Guardian, (ISSN 0261-3077, lire en ligne , consulté le )
- Écrivains en prison Human rights, 1997
- Nien Cheng, victime de la Révolution culturelle chinoise Le Monde, 16 novembre 2009
- Nien Cheng : Chinese dissident and memoirist Encyclopédie Britannica
- (en) « Nien Cheng » , sur The Telegraph, (consulté le )