Ambazac — Wikipédia
Ambazac | |||||
Mairie d’Ambazac. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Haute-Vienne | ||||
Arrondissement | Limoges | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature (siège) | ||||
Maire Mandat | Peggy Bariat 2022-2026 | ||||
Code postal | 87240 | ||||
Code commune | 87002 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ambazacois | ||||
Population municipale | 5 558 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 96 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 57′ 30″ nord, 1° 24′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 243 m Max. 666 m | ||||
Superficie | 57,83 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Ambazac (ville isolée) | ||||
Aire d'attraction | Limoges (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ambazac (bureau centralisateur) | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine | |||||
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Ambazac est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Ambazac est un bourg rural situé dans les monts d'Ambazac à 18 km de Laurière, à 19 km de Saint-Léonard-de-Noblat, à 21 km de Limoges et à 25 km de Nantiat.
Ambazac se trouve au nord-est de Limoges, près de la limite du département de la Creuse.
Le territoire de la commune se situe sur le piémont méridional des monts d'Ambazac, et touche en son extrémité sud le Taurion, affluent de la Vienne. Le bourg se trouve sur le plateau d'où partent plusieurs cours d'eau qui ont creusé des vallées dans les roches métamorphiques (gneiss). Une plage de galets suspendue, vestige d'une ancienne rivière datant de l'Eocène, comporte un gisement de kaolin et est encore visible au sud de la commune. Ce site a été étudié par des chercheurs de l'université de Nancy entre 1965 et 1970.
La commune est arrosée par le « Beuvreix » dit aussi le « Parleur », affluent du Taurion ainsi que par la Cane, affluent de la Vienne.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Bonnac-la-Côte, Rilhac-Rancon, Saint-Laurent-les-Églises, Saint-Léger-la-Montagne, Saint-Martin-Terressus, Saint-Priest-Taurion et Saint-Sylvestre.
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-la-Montagne à 8,17 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 371,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ambazac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ambazac[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,7 %), prairies (18,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), zones urbanisées (7,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %), terres arables (0,5 %), eaux continentales[Note 3] (0,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Ambazac est desservie par la gare d'Ambazac où s'arrêtent des trains TER Nouvelle-Aquitaine allant de Limoges-Bénédictins vers Vierzon et vers Montluçon-Ville.
L'accès à l'A20 est à 8 km en direction de Châteauroux et à 9 km en direction de Limoges. Ambazac et accessible par l'A20 par la sortie 27 Ambazac-Bonnac-la-Côte. La ville d'Ambazac est traversée par la RN 714 déclassée en RD 914 qui relie Limoges à Guéret.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Ambazac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 43,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[18].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque technologique
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, un ouvrage de classe A[Note 5]et de Saint-Marc en Haute-Vienne, classé B, surclassé en A. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Ambazac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune découle d'un domaine de l'époque celtique ; le nom est composé d'un patronyme, Ambaciaco, et d'un suffixe habituel, -acum, marque d'une propriété en langue gauloise. Ambasiacum castrum est relevé au XIe siècle, Ambasacus au XIVe siècle[22]. Ce nom deviendra Embasac [ɛ̃baˈza] en occitan limousin.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le nom du bourg apparaît pour la première fois sur une monnaie mérovingienne au VIIe siècle, sous la forme Ambaciaco. La ville est située à une dizaine de kilomètres au sud du site de l'abbaye de Grandmont, située sur le territoire de la commune de Saint-Sylvestre.
Le dalmatique et la châsse-reliquaire dite « de Saint Étienne de Muret », ou aussi châsse d'Ambazac, sont des œuvres importantes pour l'époque médiévale. Ces pièces ont été restaurées et installées dans l'église d'Ambazac à laquelle elles avaient été données sous la Révolution après la dissolution de l'Ordre.
Au VIe siècle devait exister à proximité un monastère, qui avait été acquis, vers 1086, par Pierre le Grammairien, abbé de Saint-Augustin-lès-Limoges. La congrégation était placée dès cette époque sous la protection de saint Antoine. L'église paroissiale a été construite peu après mais il ne subsiste rien de ce qui avait été construit au XIIe siècle.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Depuis 1945, huit maires se sont succédé :
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[28].
Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont appelés les Ambazacois[29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 5 558 habitants[Note 6], en évolution de −1,44 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Sur l'origine du choix de l'appellation des établissements scolaires, voir l'onglet "discussion"
- Groupe scolaire Jacques-Prévert
- Groupe scolaire Paul-Cézanne
- Collège Jean- Moulin
- École maternelle Charles-Perrault
Sports
[modifier | modifier le code]- Course trail Les gendarmes et les voleurs du temps.
- La Granit Montana
- Ambazac Savate Boxe Française
- Ambazac Rugby Club
- Elan Cycliste d'Ambazac
- Sprinter club d'Ambazac
Média
[modifier | modifier le code]- Radio locale « Radio Open FM 98.9 », la radio FM des monts d'Ambazac et Val du Taurion.
Économie
[modifier | modifier le code]L'économie traditionnelle de la région d'Ambazac - polyculture et élevage - a été modifiée par la découverte, en 1948, d'un gisement d'uranium à très forte teneur. Ce gisement, aujourd'hui épuisé, a été le point de départ d'une prospection systématique de la région. De nouveaux gisements ont été découverts et sont exploités par carrière ou par mine. L'uranium limousin a contribué, de façon notable, à l'alimentation en combustible de l'industrie nucléaire française.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église Saint-Antoine d'Ambazac.
- Châsse-reliquaire dite de saint Étienne de Muret dans l'église Saint-Antoine.
- La chapelle de la Libération.
- La chapelle de Puy de la Garde.
- L'église Saint-Antoine du XIVe siècle contient le trésor d'Ambazac dont les deux pièces proviennent de l'abbaye de Grandmont près de Saint-Sylvestre, la châsse-reliquaire (châsse d'Ambazac)[34] dite de Saint-Étienne-de-Muret (fondateur de l'ordre de Grandmont) et la dalmatique de saint Étienne de Muret ;
- Dolmen du Bois de la Lieue[35] ;
- Château de Montméry, (XIXe siècle)[36].
- Demeure construite par le porcelainier Théodore Haviland dans les années 1885-1890 devenue propriété d'un ancien coureur automobile ;
- Moulins médiévaux de Nouaillas ;
- Oppidum celte dit « camp de César » ;
- Étangs des moines de Grandmont dit du Grand Jonas et du Petit Jonas ;
- Chapelle Saint-Psalmet ;
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Libération ;
- La gare d'Ambazac.
Le Musée de la minéralogie comprend un espace consacré au photographe Izis[37].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Ambazac est concernée par plusieurs zones d'intérêt écologique, faunistique et floristique dites ZNIEFF : Monts d'Ambazac - Bois et caves de la zone centrale ; cette ZNIEFF est une zone de type I contenue dans la zone de type II intitulée "Monts d'Ambazac et vallée de la Couze" ; une autre ZNIEFF de type II qui couvre la vallée du Taurion concerne marginalement la commune. Elle bénéficie également de deux sites Natura 2000 : mine de Chabannes et souterrains des monts d'Ambazac (zone spéciale de conservation) et vallée du Taurion et affluents (zone spéciale de conservation) par arrêté du . Le territoire communal possède encore de nombreuses zones humides : étangs, ruisseaux et prairies organiques ou paratourbeuses. Plusieurs sont remarquables (prairies inondables du Beuvreix, marais de Coqui, Ganne de Jumeau...). Ces habitats remarquables sont activement menacés par le drainage, le remblaiement et l'urbanisation anarchique. Heureusement la présence de communautés végétales relevant de la directive Habitats (aulnaies, bas-marais, prairies maigres de fauche...) et la présence d'espèces végétales protégées (Sibthorpie d'Europe) constituent les meilleurs garants de leur nécessaire préservation.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean Clément, (1879-1941), Pharmacien Industriel, officier de la Légion d’Honneur, porteur de La Croix de Guerre 14-18, né à Ambazac, a fondé l’Orphéon Limousin renommé « Société des Chanteurs Limousins » après la Grande Guerre. Une plaque commémorative lui rend hommage au 9 de l’avenue du Général de Gaulle.
- Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, comédien et auteur (1622-1673), c'est à Ambazac qu'il aurait eu l'idée d'écrire Monsieur de Pourceaugnac ;
- Le chanoine Landon, épigraphiste et latiniste, curé d'Ambazac ;
- Raymond de Sèze (1748-1828), avocat et membre de l'Académie française, défenseur de Louis XVI ;
- Charles Gounod (1818-1893), compositeur : aurait composé Faust dans la propriété de Trasforêt ;
- Arsène Lejeune, (1866-1938), architecte et urbaniste ;
- Richard Morris Hunt, (1827-1895), architecte américain, auteur du château de Montméry ;
- Haviland, Théodore Haviland (1842-1919), fut le fondateur du domaine de Montméry ;
- Édouard André (1840-1911), jardinier et paysagiste français Le parc de Montméry fut dessiné ;
- Gilbert Ballet (1853-1916), médecin neurologue et aliéniste, né à Ambazac, membre de l'académie des Sciences;
- Albert Besson (1896-1965), médecin et hygiéniste, membre de l'Académie de Médecine : c'est à Ambazac qu'il rédigea son principal ouvrage ;
- Jean Tricart (1915-2000) est un homme politique français. Agriculteur, résistant (officier FFI), né le à Ambazac ;
- Maurice Boitel, (1919-2007), artiste peintre, a peint à Ambazac entre 1947 et 1996 ;
- Izis (1911-1980), photographe fut réfugié pendant la dernière guerre à Ambazac avec sa famille. Un espace lui est consacré au sein du Musée de la minéralogie ;
- Catherine Cesarsky, astrophysicienne française, née le à Ambazac : directrice des Sciences de la Matière au CEA (1994 – 1999), directrice générale de l'Observatoire européen austral (1999 à 2007), présidente de l'Union astronomique internationale (UAI) (août 2006) et Haut-Commissaire du Commissariat à l'énergie atomique du à .
- Gérard Braye, adjoint au maire d'Ambazac qui fut aussi le mécanicien de Jacques Anquetil ;
- Maxime Méderel (1980-), coureur cycliste est un habitant ici ;
- Thierry Fabre (1982-), ancien international Français de judo, est professeur à l'Olympique Judo Ambazac.
- José Gregorio, ancien Champion international de Boxe Française, aujourd'hui producteur d'huile d'olive et professeur de Boxe (Ambazac Savate Boxe Française)[38].
Les armoiries de Ambazac se blasonnent ainsi : |
Le blason, dessiné par M. Pierre Faure, a été approuvé par le conseil municipal dans sa séance du [39].
- Le Tau, ou croix de Saint-Antoine, rappelle que l'église Saint-Antoine a été fondée près d'un monastère acquis, vers 1086, par Pierre le Grammairien, abbé de Saint-Augustin de Limoges. La congrégation a été, à cette époque, placée sous protection de saint Antoine.
- L'aigle placée dans la partie supérieure rappelle les figures d'aigles d'or qui décorent la dalmatique de saint Étienne de Muret faisant partie du trésor d'Ambazac et se trouvant dans l'église Saint-Antoine d'Ambazac.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Francis Lagrange et Solange Lagrange-Dardant, Histoire d'Ambazac, Limoges, F. Lagrange, , 409 p. (ISBN 2-9505589-0-9, BNF 35419518, SUDOC 06052734X). Consultable à la Bibliothèque municipale de Limoges.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Site de l'Office de Tourisme des monts d'Ambazac et du Val du Taurion
- Ministère de la Culture
- « AMBAZAC aujourlejour »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Blogspot.com (consulté le )
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Carte IGN sur Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Ambazac et Saint-Léger-la-Montagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Leger la Montagne_sapc » (commune de Saint-Léger-la-Montagne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Leger la Montagne_sapc » (commune de Saint-Léger-la-Montagne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Ambazac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Ambazac », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Yves Lavalade, Dictionnaire toponymique de la Haute-Vienne, Lucien Souny, , 664 p. (ISBN 9782911551406), p. 6.
- « Liste des maires de la commune », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « La démission de Josette Libert validée par la préfecture », Le Populaire du Centre, (lire en ligne).
- « Stéphane Ché (TDG) élu maire d'Ambazac », Le Populaire du Centre, (lire en ligne).
- « Stéphane Ché quitte son fauteuil de maire d'Ambazac », sur lepopulaire.fr, (consulté le ).
- « Le conseil municipal d’Ambazac renouvelé », sur mairie-ambazac.fr, (consulté le ).
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Châsse Ambazac », sur Centre de la Culture du Limousin Médiéval (consulté le ).
- « Dolmen », notice no PA00100234, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Domaine de Montméry », notice no PA00100235, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Vanessa Monteil, « À Ambazac, Izis ne se cache plus... », Le Populaire du Centre, 14 mars 2011, p. 3
- Centre France, « La belle histoire - Du Portugal à la Haute-Vienne, José Gregorio a sauvé les oliveraies de sa famille », sur lepopulaire.fr, (consulté le ).
- Ordre des Antonins : Ambazac, église et blason