Noyant-la-Plaine — Wikipédia
Noyant-la-Plaine | |||||
L'église. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Commune | Tuffalun | ||||
Statut | commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat | François Marton 2023-2026 | ||||
Code postal | 49700 | ||||
Code commune | 49230 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Noyantais | ||||
Population | 352 hab. (2013) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 16′ 33″ nord, 0° 21′ 33″ ouest | ||||
Altitude | 76 m Min. 57 m Max. 87 m | ||||
Superficie | 4,99 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Doué-la-Fontaine | ||||
Historique | |||||
Fusion | 1er janvier 2016 | ||||
Commune(s) d'intégration | Tuffalun | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire | |||||
modifier |
Noyant-la-Plaine est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Tuffalun[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Commune angevine du Saumurois, Noyant-la-Plaine se situe au sud-est de Luigné, sur la route D 761, Saulgé-l'Hôpital - Louresse-Rochemenier[2].
Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Administration actuelle
[modifier | modifier le code]Depuis le Noyant-la-Plaine constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Tuffalun et dispose d'un maire délégué[1].
Administration ancienne
[modifier | modifier le code]En février 2014, à la suite de la démission de tous les élus et du maire, une délégation spéciale, présidée par Gilles Lefevre qui fait office de maire, est installée jusqu'aux élections municipales suivantes[8].
Ancienne situation administrative
[modifier | modifier le code]Jusqu'en 2015 la commune est membre de la communauté de communes du Gennois[10], elle-même membre du syndicat mixte Pays de Loire en Layon.
Population et société
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[12],[Note 1].
En 2013, la commune comptait 352 habitants, en évolution de +15,41 % par rapport à 2008 (Maine-et-Loire : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,9 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 47,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 26,3 %, 15 à 29 ans = 16,5 %, 30 à 44 ans = 26,3 %, 45 à 59 ans = 15,8 %, plus de 60 ans = 15 %) ;
- 52,7 % de femmes (0 à 14 ans = 28,4 %, 15 à 29 ans = 14,2 %, 30 à 44 ans = 22,3 %, 45 à 59 ans = 15,5 %, plus de 60 ans = 19,6 %).
Vie locale
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Sur 17 établissements présents sur la commune à fin 2010, 18 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 59 % de celui du commerce et des services et 12 % du secteur de l'administration et de la santé[17].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Sainte-Madeleine.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : N-R, t. 3, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 40869771), p. 41-42.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
[modifier | modifier le code]- Arrêté DRCL/BCL n° 2015-92 du 17 décembre 2015, création de la commune nouvelle de Tuffalun, pages 17-18, consulté le 21 décembre 2015.
- IGN et BRGM, Géoportail Noyant-la-Plaine (49), consulté le 7 octobre 2012.
- « Françoise Silvestre de Sacy élue maire de Tuffalun », Le Kiosque info, édition de Saumur, (lire en ligne).
- « Sophie Métayer est la nouvelle maire de Tuffalun », sur Mairie de Tuffalun, (consulté le ).
- « Tuffalun. Les nouveaux maires sont élus », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Célestin Port 1989, p. 41, liste des maires jusqu'en 1989.
- Roland Gauron, « Un maire présente sa démission faute de moyens suffisants : Le maire de Noyant-la-Plaine entend protester contre les contraintes qui pèsent sur cette commune de 330 habitants. Il a refusé de mettre en place la semaine de 4 jours et demi à l'école », Le Figaro, (lire en ligne).
- « Noyant-la-Plaine. Un triumvirat pour gérer la commune jusqu’aux élections », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- « Nicolas Ogereau, le plus jeune des maires », Le Courrier de l'Ouest, (lire en ligne).
- Insee, Composition de l'EPCI du Gennois (244900767), consulté le 7 septembre 2013.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
- « Évolution et structure de la population à Noyant-la-Plaine en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- Insee, Statistiques locales du territoire de Noyant-la-Plaine (49), consultées le 5 mai 2013.