Pébrac — Wikipédia

Pébrac
Pébrac
Vue du village et d'une partie de l'abbaye de Pébrac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Brioude
Intercommunalité Communauté de communes des Rives du Haut Allier
Maire
Mandat
Alain Cussac
2020-2026
Code postal 43300
Code commune 43149
Démographie
Gentilé Pipéraçois(es)
Population
municipale
116 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 6,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 01′ 57″ nord, 3° 30′ 36″ est
Altitude Min. 560 m
Max. 1 071 m
Superficie 17,85 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Pébrac
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Pébrac

Pébrac est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune de Pébrac s’étend de la vallée de la Desges aux contreforts de la Margeride.

Géographie

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Située à 675 mètres d'altitude, la commune bénéficie d'un climat tempéré avec des influences continentales, montagnardes (avec la présence du Massif central) et parfois la remontée d'air méditerranéen. La commune s'étend sur 17,9 km2[1].

Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Pébrac se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 41 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, à 41 km de Brioude[3], sous-préfecture, et à 12 km de Langeac[4], bureau centralisateur du canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Chazelles (2,1 km), Tailhac (4,2 km), Charraix (4,7 km), Desges (4,8 km), Chanteuges (4,9 km), Saint-Arcons-d'Allier (5,2 km), Venteuges (5,3 km), Saint-Julien-des-Chazes (6,0 km).

Communes limitrophes de Pébrac
Langeac Chanteuges
Chazelles Pébrac Charraix
Venteuges

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saugues-Sa », sur la commune de Saugues à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 8,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 785,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Au , Pébrac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), prairies (37,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 148, alors qu'il était de 144 en 2013 et de 136 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 38,4 % étaient des résidences principales, 48,9 % des résidences secondaires et 12,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Pébrac en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (48,9 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Pébrac en 2018.
Typologie Pébrac[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 38,4 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 48,9 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 12,7 12,4 8,2

Attesté en Piperaco en 1072.

D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du nom d'homme latin Piper et du suffixe latin -iacum, comme Pibrac et Poivres[16].

À la fin du Moyen Âge, vers 1340, la compagnie du capitaine Louis d’Anjony tenta d’investir le village mais les habitants le repoussèrent[17]. Néanmoins, les mercenaires brûlèrent les alentours du village et le château de Ganillon.

Plus tard, l’arrêt des relations entre l’abbaye et ses prieurés entraîna le déclin du village. En 1438, Armand de Flaghac[18] permit d’enrayer la crise et reconstruisit l’église et les bâtiments abbatiaux, il instaura les foires et transforma le village en fortifiant le quartier haut. Le village retrouva ainsi une certaine prospérité. Au XVIIIe siècle, le village, saturé, s’étendit le long d’une calade empierrée.

L'histoire du village de Pébrac est très liée à l'histoire de son abbaye. Une première communauté religieuse est créée en 1062 par Pierre de Chavanon. Cette communauté prend le statut d'abbaye en 1097 sur décision du pape Urbain II.

Pendant la guerre de Cent Ans, l'abbaye est en grande partie détruite sous la menace des routiers que l'on appelle encore Anglais ou écorcheurs. Ce sont d'anciens mercenaires qui, sans solde depuis le traité de Brétigny en 1360 entre la France et l'Angleterre, se livrent au pillage. À la fin de la guerre, les Flaghac vont remettre l'abbaye sur pied, mais en 1525, l'abbaye tombe en commende. Les abbés sont nommés par le Roi. Ils ne résident pas sur place mais tirent d'importants revenus des terres de Pébrac et des prieurés qui y sont rattachés.

Époque moderne

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Au XVIIe siècle, l'abbé Jean-Jacques Olier, fils d'un important conseiller du Roi de France, va ainsi accroître sa fortune déjà grande grâce aux revenus de l'abbaye et de ses nombreux prieurés. Mais, il aimait l'endroit et y séjournait souvent. Il rêvait aussi de mettre sa fortune au service d'une grande cause. Un échevin de la ville de La Flèche, Jérôme Le Royer de La Dauversière, va le convaincre de créer au nouveau Monde une cité qui soit un exemple d'humanité[19]. Ensemble, ils créent une société qui permettra à un brillant officier Paul de Chomedey de Maisonneuve de débarquer sur une île du fleuve Saint-Laurent le . Il y fonda Ville-Marie qui prendra plus tard le nom de Montréal. Ce comptoir deviendra l'importante et dynamique métropole du Québec que nous connaissons aujourd'hui.

Époque contemporaine

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Enfin, la révolution industrielle du XIXe siècle ouvrit de nouveaux horizons. Le niveau de vie s’éleva grâce à l’offre d’un travail rémunéré lié à l’exploitation du charbon, de l’antimoine puis du spath. Les maisons se transformèrent et arborèrent fièrement des linteaux de porte sculptés. En 1860, après l’arrivée du chemin de fer, la commune comptait cinq écoles et de nombreux commerçants. La Première Guerre mondiale emporta plus d’une quarantaine de jeunes adultes, ce qui porta un coup fatal à cet enthousiasme.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Pébrac est membre de la communauté de communes des Rives du Haut Allier[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Langeac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[21].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Rachelle Merle    
2008 En cours
(au 28 août 2014)
Alain Cussac[22]    

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 116 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8345997296517216636397541 097
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0921 010982986994979897873813
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
781769749660603526478444381
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
300263233201178136125126124
2015 2020 2021 - - - - - -
116117116------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 41,8 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 60 hommes pour 55 femmes, soit un taux de 52,17 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
1,8 
13,1 
75-89 ans
16,1 
26,2 
60-74 ans
25,0 
18,0 
45-59 ans
17,9 
16,4 
30-44 ans
17,9 
16,4 
15-29 ans
7,1 
8,2 
0-14 ans
14,3 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 
Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 9] 6,8 % 5,7 % 7,4 %
Département[I 10] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 67 personnes, parmi lesquelles on compte 73,5 % d'actifs (66,2 % ayant un emploi et 7,4 % de chômeurs) et 26,5 % d'inactifs[Note 4],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 12]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 30 en 2013 et 22 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 47, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51 %[I 13].

Sur ces 47 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 20 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 70,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 20,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Abbaye de Pébrac.
  • Abbaye Notre-Dame de Pébrac, romane, dominant la vallée de la Desges : monastère fondé en 1062 par saint Pierre de Chavanon, archiprêtre de Langeac.
  • Chapelle Saint-Andéol de Ganillon.
Pour mémoire
  • Château de Digons, dominant la Desges, près du hameau éponyme, possession au XIe siècle d'Ithier de Mandulphe[27].

Personnalités liées à la commune

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  • Saint Pierre de Chavanon : né à Langeac vers 1003, Pierre de Chavanon s'orienta tout jeune vers le sacerdoce. Il se retira dans la solitude à Pébrac, où l'évêque de Clermont l'engagea à fonder en 1077 l'abbaye de Saint-Amable, un monastère de chanoines réguliers qui connut un grand rayonnement, le seul vestige visible aujourd'hui de ce monastère est l'église abbatiale connue sous le nom de basilique Saint-Amable de Riom (63). Il mourut un vers 1080.
  • Jean-Jacques Olier de Verneuil, fondateur de l'ordre de Saint-Sulpice, fut abbé commendataire cette abbaye de Pébrac au XVIIe siècle.
  • Félix Vialart de Herse, évêque-comte de Châlons-sur-Marne, pair de France, succède à Jean-Jacques Olier comme abbé commendataire de Pébrac, de 1646 à 1649 il introduit la réforme dans l'abbaye et la réunit à la Congrégation de France[28].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Pébrac ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Pébrac » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Pébrac - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Pébrac - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pébrac (43149) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Pébrac » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Pébrac » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. « Pebrac, Haute-Loire (code postal 43... », sur linternaute.com (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Pébrac et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Pébrac et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Pébrac et Langeac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Pébrac », sur villorama.com (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Pébrac et Saugues », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saugues-Sa », sur la commune de Saugues - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Saugues-Sa », sur la commune de Saugues - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 521.
  17. Revue d'Auvergne, Typ. et lithog. G. Mont-Louis, (lire en ligne)
  18. Noël Dursapt, « Armand de Flaghac, abbé de Pebrac (1438-1471) », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  19. Maximilien Bibaud, Le Panthéon canadien (choix de biographie).: Dans lequel on a introduit les hommes plus célèbres des autres colonies britanniques, Cérat et Bourguignon, (lire en ligne)
  20. « communauté de communes des Rives du Haut Allier - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  21. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  22. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Marc Mègemont, « Chanteuges une fondation issue du renouveau bénédictin », Moyen Âge, no 131,‎ novembre-décembre 2022, janvier 2023, p. 77 (ISSN 1276-4159).
  28. Alain Romeuf, L’abbaye de Pébrac et Félix Vialart de Herse, abbé commendataire (1646-1649) : in Cahiers de la Haute-Loire 2009, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, .

Bibliographie

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  • Arsène Bonnefoi, « L'abbaye de Pébrac », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  • Louis Bréhier, « La chape de Pébrac », Almanach de Brioude, Brioude,‎ (présentation en ligne)
  • Noël Dursapt, « Armand de Flaghac, abbé de Pebrac (1438-1471) », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  • Jean-Pierre Reuillard et Jean-Paul Gallard, « L’abbaye de Pébrac, dossier architectural, plans et relevés des bâtiments conventuels et du logis abbatial (XVe siècle - XVIIIe siècle) », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,‎ (lire en ligne)
  • Jean Chevassus, « Le testament de Jean de Langhac (Langeac), évêque de Limoges et abbé de Pébrac », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,‎ (lire en ligne)
  • Alain Romeuf, « L’abbaye de Pébrac et Félix Vialart de Herse, abbé commendataire (1646-1649) », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,‎
  • Luc Olivier (sous la direction de Christelle Brindel), Le jardin de l'abbaye de Pébrac, du beau et du bien-être : in Trésors en Haute-Loire, les jardins, Vals-près-le-Puy, Hauteur d'Homme, , 184 p. (ISBN 979-1090634428), p. 130-133

Articles connexes

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Liens externes

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