Passage Doisy — Wikipédia

17e arrt
Passage Doisy
Voir la photo.
Vue du passage.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 17e
Quartier Ternes
Début 55, avenue des Ternes
Fin 18 bis, rue d'Armaillé
Morphologie
Longueur 135 m
Largeur m
Historique
Création 1875
Dénomination 1875
Géocodification
Ville de Paris 2906
DGI 2882
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Passage Doisy
Géolocalisation sur la carte : 17e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 17e arrondissement de Paris)
Passage Doisy
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Le passage Doisy est une voie située dans le quartier des Ternes le 17e arrondissement de Paris, en France.

Situation et accès

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Le passage Doisy est desservi par la ligne 2 à la station Ternes.

Origine du nom

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La rue porte le nom du propriétaire du terrain sur lequel elle a été ouverte.

Ce passage est ouvert sous sa dénomination actuelle vers 1875. Il est classé dans la voirie parisienne par arrêté municipal du .

Plusieurs immeubles ont été construits entre 1877 et 1928[1].

Le nom du passage Doisy a été mis en lumière en 1960 lors de l'enlèvement du petit Peugeot. C'est en effet à l'extrémité de ce passage, au niveau du 55, avenue des Ternes que Roland Peugeot remit au ravisseur la somme de 50 millions de francs, en billets, le , le surlendemain du rapt de son fils Éric[2],[3].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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Le cinéaste Claude Sautet y fait résider au no 5 le personnage d'Éric Stark (joué par Jean-Paul Belmondo) qui cache son ami en cavale, Abel Davos (interprété par Lino Ventura), dans le film Classe tous risques, sorti en 1960. Une scène du film est tournée à l'entrée du passage[2].

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. « Paris 1876-1939 : les permis de construire », sur parisenconstruction.blogspot.fr, (consulté le ).
  2. a et b « Le rapt d'Éric Peugeot », sur philippepoisson-hotmail.com.over-blog.com, (consulté le ).
  3. Pierre Bellemare et Jean-François Nahmias, Kidnappings. 25 rendez-vous avec l'angoisse, Albin Michel, 2010, 384 p. (ISBN 9782226214669) [lire en ligne].