Persquen — Wikipédia

Persquen
Persquen
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Communauté de communes Roi Morvan Communauté
Maire
Mandat
Myriam Chenais
2020-2026
Code postal 56160
Code commune 56156
Démographie
Gentilé Persquennois, Persquennoise
Population
municipale
352 hab. (2021 en évolution de +5,07 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Population
agglomération
25 412 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 50″ nord, 3° 11′ 43″ ouest
Altitude 140 m
Min. 107 m
Max. 173 m
Superficie 19,96 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gourin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Persquen
Liens
Site web www.persquen.bzh

Persquen [pɛʁskɛn] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie

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Localisation

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Le bourg de Persquen, légèrement excentré au nord de la commune, est situé à vol d'oiseau à 18 km à l'ouest de Pontivy, à 34 km au nord de Lorient et à 53 km au nord-ouest de Vannes. La commune de Persquen appartient sur le plan administratif à la communauté de communes du Pays du Roi Morvan et à l'arrondissement de Pontivy. Elle appartient par ses traditions au Pays Pourlet et à la Basse-Bretagne. Elle appartient sur le plan historique au Broërec.

Communes limitrophes de Persquen
Lignol Locmalo
Persquen
Inguiniel Bubry

Hydrographie

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La commune de Persquen est arrosée par le Scorff, dont le cours matérialise la frontière avec Lignol et par les ruisseaux de Saint Vincent et du Chapelain, affluents du Scorff.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 041 mm, avec 16 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Plouay à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 149,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Persquen est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Terres arables hors périmètres d'irrigation 34,0 % 682
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 18,3 % 367
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 17,2 % 346
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,7 % 34
Forêts de feuillus 20,9 % 419
Forêts mélangées 7,9 % 158
Source : Corine Land Cover[12]

Morphologie urbaine

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La commune possède un habitat dispersé. Outre le bourg, qui constitue l'agglomération principale, on dénombre 41 lieux-dits ou écarts, le plus souvent constitués de deux ou trois maisons. Le village de Pénéty, au sud de la commune, constitue une importante agglomération secondaire. Il y avait autrefois des commerces et une école.

Origines de la paroisse

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Persquen est, semble-t-il, issu d’un démembrement de l'ancienne paroisse primitive de Plousquen[réf. souhaitée] (aujourd'hui disparue) à 1 500 m à l'ouest du bourg. Le lieu-dit Plousquen témoigne probablement d'un déplacement du bourg concomitant à ce démembrement lié à l'érection en paroisse de Locmalo, sinon l'ancien bourg aurait abandonné son nom au nouveau et serait devenu Koh-Plousken. Persquen est citée comme paroisse en 1387 et est placée sous le titre de Saint Adrien[14].

Le manoir de Penvern fut vendu, l'an 1370, par Jean sire de Longueval et Jeanne de Beaumetz, son épouse, à Jean, vicomte de Rohan. Cette terre est une juveignerie de la principauté de Guémené. Elle a haute, moyenne et basse justice. En 1430, on voyait aussi les maisons nobles de Kergueson et Boteren à Alain Le Picot, le manoir de Hoarivoa à Charles Le Pervez, le manoir de Sullaido à Charles Le Guellec, et celui de Kerveno à Hervé Coëteven[15]. La terre et seigneurie de Plousquen sont possédées en 1507 par Vincent II de Plœuc et son épouse Jeanne de Rosmadec[16].

À l’époque féodale et sous l'Ancien Régime, la paroisse de Persquen relève de la seigneurie de Guémené (ou Kemenet-Guegant), érigée en principauté en par le roi Charles IX, et de la sénéchaussée d'Hennebont.

XVIIIe siècle

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Le géographe Jean-Baptiste Ogée écrit au sujet de la paroisse de Persquen à la fin du XVIIIe siècle : Cette paroisse ressortit à Hennebont et compte alors 900 communiants[Note 1]. La cure est à l'alternative. « Ce territoire est un pays couvert [de bocage], plein de coteaux, de vallons et coupé de ruisseaux qui arrosent des prairies et vont se jeter dans les rivières de Blavet et du Scorff. Les terres produisent du grain et du cidre, mais elles ne sont pas exactement cultivées car on y voit des landes très étendues »[17].

Le XIXe siècle

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La première école de Persquen, tenue par les religieux, a été ouverte en 1865. C'est une école mixte. En 1867, l'inspecteur de l'education nationale constate le sol en terre battue, humide et malsain de la salle de classe qu'il invite à planchéier. 42 élèves sont inscrits en 1868. Le même inspecteur note en 1868 qu'à Persquen, le curé, chose rare en Bretagne, est ami de l'instruction et insiste fréquemment en chaire pour que les parents envoient leurs enfants à l'école. En 1877, la salle de classe où se presse 48 élèves ne mesure que 48 m2 (9,60 mètres sur 5 mètres). Il a fallu attendre 1899 pour que soit appliqué à Persquen la loi de laïcisation du 26 mars 1882 et qu'une école publique soit créée[18].

Le XXe siècle

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La Première Guerre mondiale

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L'arrestation du maire de Persquen en janvier 1916 en raison de sa tentative d'échapper à la mobilisation (Journal La Dépêche de Brest et de l'Ouest du ).

Le monument aux morts de Persquen porte les noms de 53 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[19].

L'Entre-deux-guerres

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Joseph Le Sciellour, né à Persquen en 1890, soldat du Bataillon mixte de Chine, est mort en Mandchourie le et L.-M. Le Hyaric, lui aussi soldat, est mort au Maroc le [19].

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Persquen porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[19].

L'Après Seconde Guerre mondiale

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Armand Le Gallo, soldat originaire de Persquen, est mort pour la France pendant la Guerre d'Algérie[19].

Son nom breton est Perken, prononcé [pɛʁˈcən].

L'étymologie du toponyme Persquen est discutée (grammatici certant). Il pourrait venir du vieux breton « perth ken » (belle haie) ou du breton « perchen » pouvant signifier perche, voire du breton « perzh », part, partie, suivi de Sken, un hagionyme[20].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 352 habitants[Note 2], en évolution de +5,07 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9969558809831 0281 0749631 0601 038
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0021 0281 0469249661 0099671 016982
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9671 0301 010918905817835837683
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
619623544531399352335329329
2018 2021 - - - - - - -
351352-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
  1916 Le Nézet   Arrêté en janvier 1916 pour tentative de se soustraire à ses obligations militaires.
         
? 1978
(décès)
Joseph Jan    
novembre 1978 mars 1983[réf. nécessaire] Joseph Rio    
mars 1983 mars 2001 Raymond Rivallain    
mars 2001 avril 2014 Robert Le Fourner   Retraité de la gendarmerie
avril 2014 3 juillet 2020 Michel Le Gallo    
3 juillet 2020 En cours Myriam Chenais[25]    
Les données manquantes sont à compléter.

Lieux et monuments

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Église et chapelles

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Église Saint-Adrien (XVe, XVIIe et XIXe siècles)

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L'église a été reconstruite en grande partie au commencement du XVIe siècle, sur l'emplacement et les ruines d'un édifice roman.

L'église Saint-Adrien.

Chapelle Notre-Dame de Pénéty

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La légende rapporte que la Vierge apparut sur le site au cultivateur René Guillemot, lui demandant de reconstruire sa chapelle ruinée. En tout cas l'édifice fut bâti vers 1600 (date sur la porte ouest) et le nom breton Peneti désigne un ancien ermitage. La chapelle est partiellement réédifiée en 1722 et restaurée aux siècles suivant. La fontaine (1686), la sacristie et un presbytère (1828) complète cet ensemble autour duquel se développe un village avec commerces et école. Notre-Dame de Pénety devient un pèlerinage fort couru dans le diocèse de Vannes. Dans le choeur, lambrissé et délimité par une clôture en fer forgé, le décor illustre la vie de la Vierge et ses bienfaits en ces lieux tels les ex-voto peints.La statue de Notre-Dame de Pénety (fin XVIIe siècle) côtoie Notre-Dame de Vrai Secours (XVIIe siècle), saint Gervais (XVIIe siècle) , saint Cornély (XIXe siècle) et sainte Marguerite (fin XVIIIe siècle).

Façade sud de la chapelle de Pénéty.

Châteaux et manoirs

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  • le château de Kerohel (XVe-XVIe, XVIIIe-XIXe siècles). La seigneurie de Kerohel ou Ker-Hoël appartenait à Jeanne Huby en 1633. Il semble que ce château ait remplacé un manoir du XIe siècle. Le duc Hoël III, qui régnait en Bretagne de 1066 à 1084, serait venu en 1080 rendre visite au seigneur du lieu, lequel aurait par la suite baptisé le lieu du nom du duc. La fameuse Marion du Faouët s'y serait réfugiée vers 1735-1740. Le château actuel est édifié au XVIIIe siècle et au XIXe siècle (la tour carrée est achevée en 1902) reconstruit au milieu du XVIIIe siècle à l'emplacement d’un édifice primitif du XIVe siècle. L'édifice primitif est vendu en 1377 par Jehan, sire de Longueval, au vicomte de Rohan ;
  • le château de Penvern ;
  • le manoir du Hoariva date du XVIIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[26].
  • le manoir du Sulliado date du XVIe siècle, il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[27].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Persquen Blason
Tiercé en pairle renversé: au 1er d'argent à trois mouchetures d'hermine de sable, au 2e d'azur à la cotice ondée en barre d'argent, alésée en pointe et accompagnée de trois poires feuillées d'or, deux à dextre rangées en barre, une à senestre, au 3e de sinople au lion d'or couché sur un glaive d'argent, posé en fasce, la garde d'or à dextre[28].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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  1. Personnes en âge de communier.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Persquen et Plouay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Plouay-sa » (commune de Plouay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Plouay-sa » (commune de Plouay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune de Persquen ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  13. « 56Persquen », sur centre généalogique et historique du Poher (consulté le ).
  14. Erwan Vallerie, Communes bretonnes et paroisses d'Armorique, Beltan, , p. 38.
  15. Continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, tome 2, page 269
  16. Léon Maître, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790. Loire-Inférieure. : Tome Ier, Archives civiles. Série B, Nantes, (lire en ligne), page 371.
  17. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, vol. 3, Nantes, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), page 341.
  18. panneau informatif à l'attention des visiteurs situé près de la mairie
  19. a b c et d « Persquen. Monument aux Morts (Relevé n° 37527) », sur memorialgenweb, (consulté le ).
  20. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Éditions Jean-Paul Gisserot, , p. 58.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Persquen. Myriam Chenais, première femme élue maire », sur Maville.com, (consulté le ).
  26. « Manoir du Hoariva », notice no IA00008361, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. « Manoir du Sulliado », notice no IA00008362, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  28. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

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Articles connexes

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Liens externes

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