Plédran — Wikipédia

Plédran
Plédran
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
Blason de Plédran
Blason
Plédran
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Brieuc Armor Agglomération
Maire
Mandat
Stéphane Briend
2020-2026
Code postal 22960
Code commune 22176
Démographie
Gentilé Plédranais
Population
municipale
6 909 hab. (2022 en évolution de +5,14 % par rapport à 2016)
Densité 199 hab./km2
Population
agglomération
170 779 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 48″ nord, 2° 44′ 41″ ouest
Altitude Min. 41 m
Max. 198 m
Superficie 34,71 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Plédran
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Brieuc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploufragan
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Plédran
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Plédran
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Voir sur la carte topographique des Côtes-d'Armor
Plédran
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
Voir sur la carte administrative de Bretagne (région administrative)
Plédran
Liens
Site web https://www.pledran.bzh/

Plédran [pledʁɑ̃] est une commune française située près de Saint-Brieuc dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne. La commune se situe dans le pays historique du Penthièvre.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Commune de l'agglomération de Saint-Brieuc, Plédran possède des particularités très attractives : un bois aménagé et une campagne dont le charme incite aux découvertes de son patrimoine historique riche et varié[1] : mégalithes et légendes, époque gallo-romaine, viking, manoirs et château, époque de la Révolution et de la chouannerie, etc.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 796 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Plœuc-L'Hermitage à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Plédran est reliée au reste de l'agglomération du lundi au samedi grâce à la ligne 70 des Transports urbains briochins (TUB).

Au , Plédran est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Plédran, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,2 %), terres arables (34,8 %), forêts (8,2 %), prairies (7 %), zones urbanisées (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]

La ville regroupe au centre la majeure partie de la population. Plusieurs hameaux sont dispersés dans la campagne.

En 2011 et 2012, le quartier des Coteaux a été réhabilité.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Ploidran en 1233, Parrochia de Pludran en 1304, Pledran en 1307, Pleudrain en 1311, Ecclesia de Pledran vers 1330 et en 1353, Pledren et Ploedran en 1371[15].
L'orthographe Plédran est officialisée par le décret du .

Plédran vient du breton ploe (paroisse) et de saint Audren ou saint Auchen, moine quasiment inconnu[15].

Préhistoire

[modifier | modifier le code]

L'édification de plusieurs allées couvertes et menhirs sur le territoire de la commune atteste l'occupation humaine dès le Néolithique.

Les Romains sont passés par la commune. Ils auraient construit le pont Chéra.

Durant le Moyen Âge, plusieurs chapelles et manoirs seront construits. Le camp de Péran est incendié.

Les Templiers et les Hospitaliers

[modifier | modifier le code]

La chapelle du Créhac'h est une possession des Templiers depuis 1182, restaurée au XVIIe siècle, et récemment. Elle est revenue aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple.

XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Guerres du XXe siècle

[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms de 180 soldats morts pour la Patrie[16] :

Jean-Marie Térin, né en 1889 à Plédran, soldat au 168e régiment d'infanterie, fut fusillé pour l'exemple le à Saint-Maurice-sur-Mortagne (Vosges) pour « homicide, violences à mains armées »[17].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

En 2011 et 2012, le quartier des Coteaux sera pratiquement rasé dans le cadre d'un projet de réhabilitation du quartier.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
novembre 1793   François Bidan    
Les données manquantes sont à compléter.
Avant 1800 1832 François LE NOUVEL    
1832 1836 Yves LE GUEN    
1836 1848 Toussaint LE GALLAIS    
1848 1867 Louis LABBE    
1867 1874 Pierre PRUAL    
1874 1878 Jean Louis GOUPILLIERE    
1878 1899 Jean CORLAY    
1899 1935 Jacques Rioust de Largentaye
(1863-1946)
  Conseiller général des Côtes-du-Nord
1935 1941 Jean-Louis Collin    
1941 1944 Gilles Le Maréchal    
1944 1945 Jean-Louis Collin    
1945 1952
(décès)
Yves Redon    
1952 1962 Aristide Lorent   Ancien conseiller d'arrondissement (1928 → 1940)
21 janvier 1963 3 février 1970
(décès)
François Le Bellego[19]   Cultivateur
29 mars 1970[20] mars 1971 Joseph Ballay (1910-1981)   Charpentier, ancien adjoint
mars 1971 mars 1989 Daniel Ballay PCF Cultivateur
mars 1989 mars 2001 Patrice Melscoët RPR Médecin généraliste
mars 2001 29 mars 2014 Maryse Raoult PS Cadre soignante retraitée
29 mars 2014[21] En cours
(au 13 juin 2020)
Stéphane Briend DVD[22] Ingénieur commercial
Réélu pour le mandat 2020-2026[23]

Finances locales

[modifier | modifier le code]

Cette sous-section présente la situation des finances communales de Plédran[Note 2].

Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Plédran s'établit à 10 191 000  en dépenses et 11 563 000  en recettes[A2 1] :

En 2013, la section de fonctionnement[Note 3] se répartit en 5 022 000  de charges (816  par habitant) pour 5 781 000  de produits (940  par habitant), soit un solde de 759 000  (123  par habitant)[A2 1],[A2 2] :

  • le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 4] pour 2 403 000  (48 %), soit 391  par habitant, ratio inférieur de 24 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (513  par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio augmente de façon continue de 351  à 391  par habitant ;
  • la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 5] pour une valeur totale de 2 305 000  (40 %), soit 375  par habitant, ratio inférieur de 16 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (448  par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio augmente de façon continue de 323  à 375  par habitant.

Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Plédran[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :

La section investissement[Note 6] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

  • des dépenses d'équipement[Note 7] pour une somme de 1 798 000  (35 %), soit 292  par habitant, ratio inférieur de 24 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (385  par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 292  par habitant en 2013 et un maximum de 996  par habitant en 2011 ;
  • des remboursements d'emprunts[Note 8] pour une valeur de 388 000  (8 %), soit 63  par habitant, ratio inférieur de 20 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (79  par habitant).

Les ressources en investissement de Plédran se répartissent principalement en[A2 4] :

  • subventions reçues pour un montant de 626 000  (11 %), soit 102  par habitant, ratio supérieur de 46 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (70  par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 28  par habitant en 2009 et un maximum de 157  par habitant en 2012 ;
  • fonds de Compensation pour la TVA pour une valeur de 418 000  (7 %), soit 68  par habitant, ratio supérieur de 66 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (41  par habitant).

L'endettement de Plédran au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 9], l'annuité de la dette[Note 10] et sa capacité de désendettement[Note 11] :

  • l'encours de la dette pour une valeur totale de 6 857 000 , soit 1 115  par habitant, ratio supérieur de 27 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (881  par habitant). Pour la période allant de 2009 à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 414  par habitant en 2010 et un maximum de 1 274  par habitant en 2011[A2 5] ;
  • l'annuité de la dette pour une valeur de 624 000 , soit 102  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio augmente de façon continue de 40  à 102  par habitant[A2 5] ;
  • la capacité d'autofinancement (CAF) pour une valeur totale de 1 151 000 , soit 187  par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 187  par habitant en 2013 et un maximum de 212  par habitant en 2011[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 5 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum de moins d'un an en 2004 et un maximum d'environ 6 années en 2012.

Démographie

[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Plédranais.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2022, la commune comptait 6 909 habitants[Note 12], en évolution de +5,14 % par rapport à 2016 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 1402 5242 5283 3923 5783 6753 7743 8083 703
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 6043 5713 4843 4783 4523 3883 3903 3743 292
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 2743 1922 9992 7562 7682 7702 7642 6722 567
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 6493 1724 5225 0435 3955 7505 5775 5906 018
2014 2019 2022 - - - - - -
6 4806 8396 909------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

Activités économiques

[modifier | modifier le code]

Plédran n'accueille que peu d'activités économiques localisées en centre-ville (une trentaine de commerces) et dans le parc commercial et artisanal du Challonge. Ce dernier est le lieu d'implantation d'un supermarché Carrefour Market[28].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine mégalithique

[modifier | modifier le code]

Autres lieux

[modifier | modifier le code]
  • Chapelle Saint-Nicolas de Craffault : XVIe siècle, très belle porte sculptée représentant des armoiries des Seigneurs Craffault et racontant la légende de saint-Nicolas ; située en bordure de route (Plédran-Saint-Julien).
  • Manoir de Belleville : du XVIe siècle au XVIIIe siècle (privé). Manoir à tourelle
  • Manoir du Pesle Châtel : du XVe siècle au XVIIe siècle. Manoir à tourelle entouré de murets, lucarnes à frontons décorés de coquilles. Visible de la route Plédran-Piruit (privé).
  • Manoir de La Ville Guinvray : XVIIe siècle, belles lucarnes à frontons, élégante cheminée. Visible de la route : les Prés Bernard - Ville Guinvray (privé).
  • Manoir de La Fontaine Menet : XVIIe siècle, lucarnes à frontons et belle corniche en pierre de taille. Visible du chemin communal à droite sur la route le Rocher - Quertaux (privé).
  • Chapelle du Hirel : petit édifice du XVe siècle, restauré.
  • Croix Saint-Maurice : emplacement de la chapelle (1655), théâtre d'un événement sanglant durant la chouannerie.
  • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
  • La Salle Horizon, salle de spectacle où se produisent des artistes de renommée locale et nationale.


Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason Blasonnement :
D'or aux sept macles d'azur, posées 3, 3, 1.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa Logo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Plédran. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
  3. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
  4. Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.
  5. Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
  6. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
  7. Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
  8. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
  9. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
  10. L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
  11. La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Plédran.
  12. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes

[modifier | modifier le code]
  1. a et b « Les comptes des communes - Plédran : chiffres clés » (consulté le ).
  2. « Les comptes des communes - Plédran : opérations de fonctionnement » (consulté le ).
  3. a et b « Les comptes des communes - Plédran : fiche détaillée » (consulté le ).
  4. a et b « Les comptes des communes - Plédran : opérations d'investissement » (consulté le ).
  5. a et b « Les comptes des communes - Plédran : endettement » (consulté le ).
  6. « Les comptes des communes - Plédran : autofinancement » (consulté le ).
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Plédran des origines à nos jours, P. Giauffret
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Plédran et Plœuc-L'Hermitage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ploeuc-sur-Lie » (commune de Plœuc-L'Hermitage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ploeuc-sur-Lie » (commune de Plœuc-L'Hermitage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Plédran », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Brieuc », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Motreff ».
  16. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  17. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
  18. [1]
  19. « Nécrologie. M. Le Bellego maire de Plédran », Ouest-France (archives du journal),‎
  20. « M. Joseph Ballay, nouveau maire de Plédran », Ouest-France (archives du journal),‎
  21. « Conseil. Stéphane Briend élu maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  22. [2], Ministère de l'Intérieur
  23. « Municipales à Plédran. Stéphane Briend est réélu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  28. Iwan Le Clec'h, Entre conservatisme et modernité de l'appareil commercial : en territoires périurbains et ruraux à l'ombre d'une ville moyenne - Saint-Brieuc, Brest, UBO, , 505 p. (lire en ligne).
  29. « Allée couverte dite La Roche Cadio », notice no PA00089398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Menhir dit de la Touche-Bude, ou Fuseau de Margot », notice no PA00089402, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Loïc Langouët, Les mégalithes de l'arrondissement de Saint-Brieuc, Institut Culturel de Bretagne, , 89 p. (ISBN 9788682209805), p. 33-39.
  32. Notice no PA00089399, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Notice no PA00089765, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Notice no PA00089401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no PA00089400, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :