Pluvier argenté — Wikipédia

Pluvialis squatarola

Pluvialis squatarola
Description de cette image, également commentée ci-après
Pluvier argenté en plumage hivernal
Classification COI
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Aves
Ordre Charadriiformes
Famille Charadriidae
Sous-famille Pluvialinae
Genre Pluvialis

Espèce

Pluvialis squatarola
(Linnaeus, 1758)

Statut de conservation UICN

( VU )( VU )
VU A2bcd+4bcd : Vulnérable

Le Pluvier argenté (Pluvialis squatarola) est une espèce d'Oiseaux limicoles migrateurs de taille moyenne appartenant à la famille des Charadriidae.

Il s'agit du plus grand représentant du genre des Pluviers. Son plumage nuptial est très contrasté, noir sur le dessous et gris moucheté de blanc sur le dessus. Son plumage hivernal, plus discret, est gris tacheté de noir sur le dessus, avec le ventre blanc. Il peut être confondu avec le Pluvier doré.

Le Pluvier argenté est un migrateur répandu à travers le monde entier. Il niche dans la région arctique, dans la toundra d'Amérique du Nord et d'Eurasie, puis migre sur les côtes du monde entier pour passer l'hiver. Avant et après la saison de reproduction, qui ne dure que deux ou trois mois, le Pluvier argenté migre parfois sur plus de 12 000 km.

Lorsqu'il hiverne, il évolue en groupes dispersés sur les plages à marée basse, puis rejoint des groupes denses sur les reposoirs à marée haute, souvent en compagnie d'autres espèces. Il se nourrit de mollusques, de vers, de crustacés, d'insectes et occasionnellement de végétaux. Cherchant sa nourriture au rythme des marées, il repère ses proies par la vue et chasse avec des mouvements rapides caractéristiques des Pluviers.

À partir de mi-mai, le mâle délimite son territoire par des vols papillonnants et des chants synchronisés à ses battements d'ailes. Le nid est creusé peu profondément dans le sol, dans un terrain découvert, et garni de végétaux et de petites pierres. Les deux parents prennent une part active à la couvaison et à l'élevage des petits, qui s'envolent 35 à 45 jours après l'éclosion et pourront se reproduire au bout de deux ans. Dès juillet, les adultes entament la migration vers leur aire d'hivernage.

Bien que la population mondiale soit estimée à plus d'un million d'individus en 2025, le Pluvier argenté connaît un déclin important et généralisé depuis une vingtaine d'années, notamment en Asie. Il est classé « vulnérable » par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et est répertorié sur plusieurs listes de protection. Outre la dégradation de son habitat, les dérangements et la chasse, le changement climatique et la montée des eaux risquent de l'impacter à long terme.

En 1758, dans la dixième édition de son Systema naturae, le naturaliste suédois Carl von Linné nomme le Pluvier argenté « Tringa squatarola »[1]. Il est aujourd'hui placé, avec trois autres pluviers, dans le genre Pluvialis créé par l'ornithologue Mathurin Jacques Brisson en 1760[2],[3]. Ce nom de genre est dérivé du latin pluvia, la pluie, car on croyait que les pluviers se réunissaient avant une pluie imminente. Le nom d'espèce squatarola est une forme latinisée du vénitien Sgatarola, utilisé pour nommer certains pluviers[4].

Il porte des noms généralement semblables à « pluvier argenté » dans l'Ancien Monde, tandis qu'il est appelé « pluvier à ventre noir » dans le Nouveau Monde[5]. En français, il est aussi connu sous les noms Pluvier varié, Vanneau-pluvier et Vanneau suisse[6].

Trois sous-espèces sont reconnues[3] :

Identification

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Le Pluvier argenté mesure entre 27 et 30 cm de long, pour une envergure de 60 à 83 cm et un poids de 160 à 280 g — jusqu'à 380 g avant la migration. Son bec mesure entre 2,4 et 3,4 cm, son tarse entre 4,2 et 5,2 cm et sa queue entre 6,6 et 8,3 cm[7]. Au printemps et à l'été, de fin avril à août, les adultes ont un plumage noir et blanc contrasté : noir profond du ventre jusqu'au masque facial et blanc tacheté de noir sur le dessus, avec une longue bande blanche qui va du sourcil à l'épaule. La queue est blanche rayée de noir, le bec et les pattes sont noirs[7],[8],[9],[10]. Il y a peu de dimorphisme sexuel : le mâle et la femelle peuvent être distingués uniquement en plumage nuptial[11]. La femelle est alors moins contrastée, les zones noires apparaissant plutôt brun sombre, avec des liserés blancs le long des plumes du ventre[9],[11],[10].

Une mue a lieu entre mi-août et novembre, durant laquelle les adultes adoptent leur plumage hivernal, qu'ils gardent jusqu'en avril. Ils sont alors gris tacheté de brun-noir sur le dessus, avec le plastron gris clair strié de sombre et le ventre blanc. Les individus juvéniles ont un plumage similaire au plumage hivernal bien qu'un peu plus contrasté, avec les plumes du dos plus sombres et margées de blanc. Ils gardent ce plumage pendant l'année qui suit leur envol, effectuant des mues partielles au printemps et à l'automne avant d'acquérir leur premier plumage nuptial[7],[8],[9].

En vol, le Pluvier argenté lance son cri d'appel de jour comme de nuit. Il est en trois syllabes, avec la deuxième plus basse, et il est plus long et aigu que celui du Pluvier doré. Sur ses aires de nidification, le mâle produit un chant territorial proche de celui du Courlis cendré (Numenius arquata), en trois syllabes, afin de délimiter son territoire au moment de la formation des couples[12],[13],[7].

Espèces ressemblantes

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Photographie d'un Pluvier doré.
Les jeunes Pluviers argentés peuvent être confondus avec des Pluviers dorés.

Il y a peu de risques de confusion avec d'autres espèces en plumage nuptial[9]. Il se distingue des autres espèces du genre Pluvialis par son bec plus large et une large tache noire caractéristique sur le flanc, à la base de l'aile, visible en vol[7],[8],[14]. Les juvéniles, plus tachetés et jaunâtres que les adultes, peuvent être confondus avec des Pluviers dorés (Pluvialis apricaria) [12]. Mais le Pluvier argenté reste un peu plus grand, avec les sourcils moins marqués, le bec plus fort, le croupion blanc et un cri différent qui permet de le distinguer[9],[14],[12].

Habitat et distribution

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Carte de répartition
  • Aire de nidification
  • Voie migratoire
  • Aire d'hivernage

Le Pluvier argenté est un migrateur, qui peut parcourir plus de 12 000 km à chaque voyage entre ses aires de reproduction et d'hivernage. Il ne passe que deux ou trois mois sur ses aires de nidification, puis longe les côtes, de l'Arctique à l'Atlantique ou au Pacifique[15]. Bien que très attaché aux côtes maritimes, il peut être aperçu dans les terres, notamment les juvéniles lors de leur première migration[15].

Aires de nidification

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Le Pluvier argenté se reproduit dans les zones arctiques d'Eurasie et d'Amérique, à une latitude au-dessus de 65° nord et supérieure à la limite des arbres[11],[7], de la Mer Blanche jusqu'au détroit de Béring et de l'Alaska à la Terre de Baffin[9]. Il niche dans des zones de toundra à la végétation rase et clairsemée, délaissant les zones humides pour des endroits secs, à des altitudes assez élevées[11],[16],[17].

Aires d'hivernage

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Photographie d'un groupe de Pluviers argentés en vol, au-dessus d'un plage.
Le Pluvier argenté est un migrateur au long cours, qui passe l'hiver dans les zones côtières du monde entier.

Pour passer l'hiver, le Pluvier argenté migre dans les régions côtières du monde entier, où il se regroupe sur les plages, dans les vasières, les prés-salés, les lagons et les estuaires[9],[11],[14]. Il est présent sur tous les continents excepté l'Antarctique. Il vole quasiment sans pause au-dessus de l'Asie, de l'Europe, de l'Amérique du Nord et du Sud et de l'Océanie, mais peut occasionnellement se poser dans les terres si la météo l'y contraint. On l'observe alors sur les berges de très grands plans d'eau comme les Grands Lacs américains où il est souvent observé[7],[8],[18], ou bien les lacs suisses en mai et en septembre-octobre[19].

Sur les 247 000 individus qui empruntent la voie migratoire est-atlantique (estimation de 2004), environ 17 % hivernent sur les côtes françaises, notamment en Bretagne, en baie de Saint-Brieuc, et en Normandie, en baie des Veys[20]. L'adoucissement du climat pourrait expliquer un déplacement global des hivernants vers l'est depuis plusieurs années. On observe en effet une diminution des effectifs en Irlande du Nord, en Grande-Bretagne et en mer des Wadden[20]. Les populations eurasiennes hivernent le long de l'Atlantique, principalement en Afrique et dans une moindre mesure en Europe. Une petite partie seulement se retrouve dans les estuaires méditerranéens[21].

Comportement

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Le Pluvier argenté peut se mêler à d'autres espèces, ici des Bécasseaux du ressac, un Tournepierre noir et un Tournepierre à collier.

Moins grégaire que les autres Pluviers, il ne forme pas de grands groupes, évoluant plutôt de manière dispersée. Les individus peuvent être agressifs entre eux lorsqu'ils cherchent de la nourriture[12]. Il rejoint cependant des dortoirs denses sur les reposoirs à marée haute[7],[8] et peut se mêler à d'autres limicoles, comme le Pluvier doré (Pluvialis apricaria), le Pluvier fauve (Pluvialis fulva), l'Échasse blanche (Himantopus himantopus), le Bécasseau maubèche (Calidris canutus) ou les Barges[11],[9],[7]. Sa distance de fuite face aux humains est généralement assez grande[12].

Alimentation

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Photographie d'un Pluvier argenté marchant dans un fond d'eau, avec un mollusque dans le bec.
Un individu hivernant en chasse.

Le Pluvier argenté se nourrit sur les plages et les estrans, en repérant généralement ses proies par la vue, grâce aux mouvements de l'eau et les traces laissées par les vers[11],[9]. Il chasse de jour comme de nuit, au rythme des marées. Comme la plupart des autres espèces de Pluviers, il chasse d'une manière typique, s'immobilisant pour scruter le sol puis capturant ses proies après quelques pas rapides[11],[9],[17]. Il est territorial pour défendre son aire de gagnage, et peut voler des proies à d'autres oiseaux, notamment des Courlis corlieus (Numenius phaeopus) et des Huîtriers pies (Haematopus ostralegus)[11].

En hiver, il se nourrit de petits mollusques qu'il extrait de leurs coquilles, de vers polychètes, de crustacés qu'il martèle et d'insectes[12]. Certains individus reviennent chercher leur nourriture au même endroit d'année en année, alors que d'autres sont plus nomades[7]. Lorsqu'il est en halte migratoire dans les terres, il se nourrit de lombrics et de petits escargots d'eau douce. Durant la période de reproduction, il est solitaire et cherche sa nourriture seul, ou en petits groupes n'excédant pas trente individus[16]. Il mange alors principalement des insectes et des larves — chenilles, diptères, trichoptères, coléoptères et amphipodes —, ainsi qu'occasionnellement des plantes et des graines[11],[9],[12].

Reproduction

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Œuf de Pluvier argenté conservé au muséum de Toulouse.

Durant la période de reproduction qui a lieu entre mai et juillet, le Pluvier argenté niche sur les côtes arctiques, au nord de l'Alaska, du Canada et de la Russie[7],[8]. Il construit son nid au sol, dans des zones de toundra ouvertes avec une bonne visibilité. Les nids, séparés d'au moins 400 m, sont très découverts, creusés peu profondément dans le sol et garnis de petites pierres, de mousse et de lichen[9],[22],[23]. Au début de la période de reproduction, le mâle délimite son territoire par des vols papillonnants, très haut dans le ciel, lançant des cris territoriaux synchronisés avec ses battements d'ailes[24].

De mi-mai à juillet environ, la femelle pond quatre œufs, ou parfois seulement trois, mesurant en moyenne 52 × 36 mm et pesant 34 g. Ils sont couvés en alternance par les deux parents pendant 26 à 27 jours[23]. Les mâles sont plus impliqués que les femelles et peuvent rester plus longtemps auprès des petits, tandis que les femelles partent les premières en migration[9],[22]. Les jeunes s'envolent au bout de 35 à 45 jours[7],[8]. Ils pourront se reproduire au bout de deux ans, et passent souvent leurs deux premières années sur leur zone d'hivernage[7],[8],[9],[22]. Le taux de survie durant la première année est d'environ 63 %[9].

Effectifs, menaces et protection

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Photographie d'un Pluvier argenté sur une plage, avec un humain marchant en arrière-plan.
L'urbanisation, la dégradation de son habitat, les dérangements et la chasse pourraient expliquer le déclin de la population de Pluviers argentés.

Effectifs et tendances

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En 2007, la population totale était estimée entre 325 000 et 690 000 oiseaux[11]. En 2025, BirdLife International estime le nombre total d'individus matures entre 1 250 000 et 2 250 000. L'Amérique (du Nord et du Sud) compte le plus grand nombre d'individus[16]. Le déclin sur les trois dernières générations est estimé entre 30 % et 47,6 % en Amérique, à 36,7 % en Australie, 35 % en Europe et en Afrique de l'Ouest, et jusqu'à 52 % en Asie du Sud-Ouest et en Afrique de l'Est et du Sud[16].

Étant donné le déclin d'au moins 30 % de sa population mondiale observé sur les trois dernières générations (environ 23 ans), le Pluvier argenté est classé « vulnérable » par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)[16]. Les raisons de ce déclin ne sont pas connues avec certitude, mais il pourrait être dû à la perte ou la dégradation de son habitat, les dérangements et la chasse[16].

À l'état naturel, le Renard polaire (Vulpes lagopus) est un prédateur du Pluvier argenté, en période de reproduction[11].

Le changement climatique et la montée des eaux risquent d'impacter à long terme le Pluvier argenté, comme les autres limicoles[11],[16]. La dégradation de la voie migratoire est-asiatique, la plus menacée, pourrait également l'affecter. Alors qu'il migre sur des milliers de kilomètres, l'urbanisation et la surpopulation font peser une pression accrue sur les espaces naturels. De nombreuses zones humides comme les estrans sont urbanisées depuis les années 2000, ce qui réduit ses possibilités de haltes migratoires[11],[16].

Le Pluvier argenté est inscrit sur plusieurs listes de protection[16] :

Il est recensé sur 370 sites Natura 2000 en Europe. En Chine et en Corée du Sud, des programmes de protection de zones côtières ont été engagés : en 2021, la Banque asiatique de développement et BirdLife International ont mis en place la Regional Flyway Initiative pour restaurer et protéger la voie migratoire est-asiatique dans 10 pays[16].

Notes et références

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  1. (la) Carl von Linné, Systema Naturae per regna tria naturae, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis, Stockholm, Holmiae, (lire en ligne), p. 149.
  2. Mathurin Jacques Brisson, Ornithologie, ou, Méthode Contenant la Division des Oiseaux en Ordres, Sections, Genres, Especes & leurs Variétés, vol. 1, Paris, Jean-Baptiste Bauche, , p. 46.
  3. a et b (en) Frank Gill, David Donsker et Pamela C. Rasmussen, « Sandpipers, snipes, Crab-plover, coursers » Accès libre, sur IOC World Bird List v14.2, (consulté le ).
  4. (en) James A. Jobling, The Helm Dictionary of Scientific Bird Names, Londres, Christopher Helm, (ISBN 978-1-4081-2501-4, lire en ligne), p. 311 et 363.
  5. (en) A. F. Poole, P. Pyle, M. A. Patten et D. R. Paulson, « Black Bellied Plover » Accès payant, sur Birds of the World (consulté le ).
  6. Géroudet et Olioso 2008, p. 167.
  7. a b c d e f g h i j k l et m (en) Peter Hayman, John Marchant et Tony Prater, Shorebirds: an identification guide to the waders of the world, Boston, Houghton Mifflin Company, (ISBN 0-395-37903-2, lire en ligne), p. 280-281.
  8. a b c d e f g et h (en) D. W. Snow et C. M. Perrins, The Birds of the Western Palearctic, Oxford, Oxford University Press, (ISBN 0-19-854099-X).
  9. a b c d e f g h i j k l m n et o « Pluvier argenté (Pluvialis squatarola) » Accès libre, sur Mission Migration (consulté le ).
  10. a et b Géroudet et Olioso 2008, p. 168.
  11. a b c d e f g h i j k l m et n (en) « Species Profile and Threats Database. Pluvialis squatarola — Grey Plover » Accès libre, sur Australian Government: Department of Climate Change, Energy, the Environment and Water (consulté le ).
  12. a b c d e f et g Géroudet et Olioso 2008, p. 169.
  13. Gariboldi et Ambrogio 2019, p. 276.
  14. a b et c « Le pluvier argenté » Accès libre, sur Réserve naturelle de la Baie de Saint-Brieuc, (consulté le ).
  15. a et b Géroudet et Olioso 2008, p. 171.
  16. a b c d e f g h i et j (en) BirdLife International, « Species factsheet: Grey Plover Pluvialis squatarola » Accès libre, sur datazone.birdlife.org, (consulté le ).
  17. a et b Géroudet et Olioso 2008, p. 170.
  18. (en) M. B. Dickinson, Field Guide to the Birds of North America, National Geographic, (ISBN 0-7922-7451-2, lire en ligne).
  19. « Pluvier argenté » Accès libre, sur vogelwarte.ch (consulté le ).
  20. a et b « Évolution des effectifs moyens du Pluvier argenté en baie de Saint-Brieuc pour la période 1996-2022 » Accès libre [PDF], sur Réserve de la Baie de Saint-Brieuc (consulté le ).
  21. Géroudet et Olioso 2008, p. 172.
  22. a b et c Daniel Le-Dantec, « Pluvier argenté - Pluvialis squatarola » Accès libre, sur oiseaux.net, (consulté le ).
  23. a et b Géroudet et Olioso 2008, p. 173.
  24. Gariboldi et Ambrogio 2019, p. 278.
  25. « DIRECTIVE 2009/147/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 30 novembre 2009 concernant la conservation des oiseaux sauvages » Accès libre [PDF], sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  26. (en) « Species - Family: Charadriidae » Accès libre, sur Agreement on the Conservation of African-Eurasian Migratory Waterbirds (AEWA) (consulté le ).

Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Armando Gariboldi et Andrea Ambrogio, Le comportement des oiseaux d'Europe, Neuchâtel, La Salamandre, , 576 p. (ISBN 978-2-940584-53-6), p. 276-279. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Paul Géroudet et Georges Olioso (ill. Paul Barruel et Denis Clavreul), Limicoles, Gangas et Pigeons d'Europe, Paris, Delachaux et Niestlé, (1re éd. 1982), 607 p. (ISBN 978-2-603-01527-8), « Le Pluvier argenté », p. 167-174. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Lars Gejl (trad. Marie-Anne Tattevin), Guide d'identification des limicoles d'Europe, Paris, Delachaux et Niestlé, , 369 p. (ISBN 978-2-603-02442-3), « Pluvier argenté Pluvialis squaratola », p. 170-173.
  • Frédéric Jiguet et Aurélien Audevard, Tous les oiseaux de France, de Belgique, de Suisse et du Luxembourg, Paris, Delachaux et Niestlé, , 320 p. (ISBN 978-2-603-02769-1), p. 118. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Articles connexes

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Liens externes

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