Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne) — Wikipédia

Port-Sainte-Marie
Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne)
Vue de Port-Sainte-Marie
Blason de Port-Sainte-Marie
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas
Maire
Mandat
Jacky Larroy
2020-2026
Code postal 47130
Code commune 47210
Démographie
Gentilé Portais
Population
municipale
1 839 hab. (2021 en évolution de −5,01 % par rapport à 2015)
Densité 97 hab./km2
Population
agglomération
2 326 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 15′ 06″ nord, 0° 23′ 53″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 216 m
Superficie 18,94 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Port-Sainte-Marie
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Confluent
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Port-Sainte-Marie
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Port-Sainte-Marie
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Port-Sainte-Marie
Liens
Site web Site de la mairie

Port-Sainte-Marie, Lo Pòrt (Senta-Maria) en occitan, est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation

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Commune située sur la Garonne et sur la route départementale 813 (ancienne route nationale 113) entre Tonneins et Agen.

Accès par la SNCF : gare de Port-Sainte-Marie, sur la ligne Bordeaux - Sète.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Lagarrigue, Aiguillon, Bazens, Feugarolles, Galapian, Saint-Laurent et Thouars-sur-Garonne.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Prayssas à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 815,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Port-Sainte-Marie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Port-Sainte-Marie[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,3 %), terres arables (30,3 %), cultures permanentes (13,4 %), forêts (10,5 %), zones urbanisées (4,8 %), eaux continentales[Note 3] (3,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Port-Sainte-Marie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Garonne et l'Auvignon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999, 2003, 2009, 2018 et 2021[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[18]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Port-Sainte-Marie.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[15].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porte le nom révolutionnaire de Port-de-la-Montagne-sur-Garonne (abrégé aussi en Le Port)[24].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 2020 En cours Jacky Larroy[25]   Second mandat
mars 2014 mai 2020 William Kherif DVD  
mars 2008 mars 2014 Jacky Larroy[26]    
mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Boyer   Conseiller général
1995 2001 Guy Arcas    
1983 1995 Jean-Louis Ricard    
1977 1983 Roger Delluc    
1959 1977 Pierre Vital    
1947 1959 René Tourré    
1945 1947 François Laujol    

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 1 839 habitants[Note 6], en évolution de −5,01 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 9872 7982 9452 6803 0793 0163 0253 0403 022
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9882 8562 6282 6042 6512 5182 3182 2032 211
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1001 9941 9331 7111 7911 7621 8061 7321 750
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7471 8761 8501 8851 8641 7461 8961 9131 950
2014 2019 2021 - - - - - -
1 9241 8461 839------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est dotée d'une école maternelle et primaire, ainsi qu'un collège.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Lieux et monuments disparus

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  • Église Saint-Pierre de Romas.
  • Le pont suspendu
  • La halle aux Chasselas
  • Le monument des mariniers
  • La promenade du désert

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Port-Sainte-Marie Blason
Coupé: au 1er d'azur au château d'or, maçonné et ouvert de trois pièces de sable, surmonté de trois tourelles, celle du milieu donjonnée et pavillonnée d'or, au 2e d'argent, à sainte-Marie de carnation, auréolée d'or, vêtue de pourpre, debout sur une barque d'argent posée sur des flots d'azur, accostée de deux anges affrontés du champ.
Devise
"Sancta Maria, ora pro nobis" (Sainte Marie, priez pour nous)[40]
Détails
Armes parlantes (Sainte-Marie).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Philippe Lauzun, « Le couvent des Jacobins de Port-Sainte-Marie », dans Revue de l'Agenais, 1905, t. 32, p. 289-305 (lire en ligne)
  • (fr + la) Jacques Dubourg, « La brève existence de la commanderie templière de Port-Sainte-Marie », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 133, no 1,‎ , p. 17-28 (présentation en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Port-Sainte-Marie comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Port-Sainte-Marie et Prayssas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Prayssas » (commune de Prayssas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Prayssas » (commune de Prayssas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Port-Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune de Port-Sainte-Marie ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Port-Sainte-Marie », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Port-Sainte-Marie », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Jacky Larroy à Port-Sainte-Marie  », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 18.
  26. [1]
  27. Paris-Soir du 6 mars 1944, bas de la 5e colonne intitulée : Autres crimes du titre « Epilogue du procès des terroristes Judéo-Communistes, Vingt-deux des condamnés à mort ont été exécutés »
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Base Mérimée : pont de chemin de fer sur la Garonne
  32. Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 138-141 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
  33. Base Mérimée : église de templiers dite église Saint-Vincent du Temple
  34. « Ancienne église du Temple », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Base Mérimée : église paroissiale Notre-Dame
  36. « Eglise Notre-Dame », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Église paroissiale Saint-Julien. », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  38. « Église paroissiale Saint-Marcelin. », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  39. Église des Jacobins,
  40. La Banque du blason - 47210.