Quivières — Wikipédia

Quivières
Quivières
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Françoise Ragueneau
2020-2026
Code postal 80400
Code commune 80658
Démographie
Population
municipale
146 hab. (2021 en évolution de −0,68 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 23″ nord, 3° 02′ 19″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 89 m
Superficie 6,83 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Quivières

Quivières est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Localisation

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L'autoroute A29 passe sur le territoire communal en limite nord, et son échangeur no 54 (Athies) donne un accès aisé au village par l'ancien tracé de la route nationale 37 (actuelle RD 937).

À l'extrême est du département de la Somme, sur environ un kilomètre, le territoire est limitrophe du département de l'Aisne[1].

Communes limitrophes

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Le sol communal est argileux, les vallées sèches sont couvertes d'alluvions[1].

Le territoire correspond à un plateau parsemé de quelques modestes dépressions[1].

La nappe phréatique était située à 20 m de profondeur à la fin du XIXe siècle et alimentait alors les puits[1].

La façade maritime étant située à 120 km du village, son influence climatique est modeste.

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Quivières[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Quivières est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,2 %), zones urbanisées (7,8 %)[12]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 51, Mesnil-Bruntel - Saint-Christ-Briost - Ham)[13].

Les anciens noms relevés sont Quivers, Kivières, Quiviers, Quiéry[1].

Attestations anciennes : Cuverii en 1118, Chivières en 1142, Kiveres en 1143, Kivières en 1182 et Cuvières en 1226 puis Quivières en 1384 (je vous fais grâce de toutes les graphies intermédiaires).

L'origine de ce nom a donné lieu à de multiples hypothèses.

La première forme Cuverii (1118) évoluée en Cuvières (1226) oriente vers un dérivé collectif en « ière » (latin aria) de l'oïl « cuve » (latin cupa). Il pourrait alors s'agir d'un atelier de fabrication de cuves ou tonneaux, c'est-à-dire une tonnellerie ou bien d'une métaphore décrivant un terrain fait de creux, de cuvettes

À la fin du XIXe siècle, une pierre dressée, d'un mètre cinquante de haut, passe pour un vestige supposé des coutumes antiques[1].

Au XIIe siècle, le village dépend de l'abbaye de Prémontré. Le chapitre de Saint-Quentin en sera ensuite propriétaire[1].

Vers la fin du XVIe siècle, le village obtient le statut de commune, indépendamment de Guizancourt qui sera fusionné ultérieurement[1].

Vers 1700, disparaît le village de Mesnil-Saint-Quentin, entre Quivières et Croix. Les habitants se dirigent vers la localité qui croît alors de manière importante[1].

En 1891, une gare est créée à Quivières, sur la ligne du chemin de fer secondaire à voie métrique reliant Albert à Ham des chemins de fer départementaux de la Somme. La ligne transportait marchandises et voyageurs. L'exploitation cesse fin 1949.

En 1899, Quivières possède une fabrique de sucre[1].

Première Guerre mondiale

La commune est située dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale À la fin du conflit, le village est considéré comme détruit[14]. Il a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918, le [15]. La reconstruction commence dès avant la fin de la guerre, par les soins de l'armée et, surtout, de la Croix-rouge américaine[16],[17],[18],[19],[20].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

La commune fait partie depuis 1793 du canton de Ham[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant passe de 19 à 67 communes.

Intercommunalité

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La commune faisait partie depuis 2008 de la communauté de communes du Pays Hamois, qui succédait au district de Ham, créé en 1960.

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[23].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[24],[25].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   François Carbonneaux    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Michel Talpe    
mars 2008[27] En cours
(au 8 octobre 2020)
Françoise Raguenau NC-UDI Retraitée de l'Éducation nationale
Conseillère départementale de Ham (2016 → )
Vice-présidente du conseil départemental de la Somme (2021 → )
Vice-présidente de la CC Pays Hamois ( ? → 2016)
Réélue pour le mandat 2020-2026[28],[29]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 146 habitants[Note 2], en évolution de −0,68 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
390370296324365402428433412
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
440437418444461436350378380
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
406385366213235224221207240
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
186160178179189178174172173
2014 2019 2021 - - - - - -
149144146------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1899, le hameau de Guizancourt compte 43 maisons et 192 habitants[1].

Enseignement

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Le syndicat intercommunal scolaire des 9 clochers (SISCO) regroupe en 2018 les élèves de Croix-Moligneaux, Douilly, Matigny, Offoy, Quivières, Sancourt, Ugny-l'Équipée, Voyennes et Y[33].

Manifestations culturelles et festivités

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  • Tous les 3es dimanches de juin se déroulait le plus grand rassemblement de véhicules anciens de Picardie. La 23e édition, programmée en 2017 a été annulée en raison d'une trop forte croissance de la manifestation, qui ne pouvait plus être assurée par les bénévoles de l'association organisatrice, les amis de Quivières, et des subventions en baisse[34].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Quivières » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d e f g h i j et k Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, M Pétré, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Quivières et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune de Quivières ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  14. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  15. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Quivières. Roulottes ayant servi d'habitations provisoires avant la reconstruction du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Section photographique de l'armée, « Photo : Quivières. Reconstruction des villages dévastés : baraquements du comité de reconstruction de l'American Red Cross », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  18. Section photographique de l'armée, « Photo : Quivières. Reconstruction des villages dévastés. Maison restaurée par les soins de l'American Red Cross », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : Quivières. Reconstruction des régions dévastées. Au fond, maison restaurée par le comité de reconstruction de l'American Red Cross », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. Section photographique de l'armée, « Photo : Quivières. Reconstruction des régions dévastées. Entrée des bureaux du comité de reconstruction de l'American Red Cross », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  24. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l'État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  25. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l'Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  26. « Les maires de Quivières », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  28. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Françoise Raguenau, une des deux femmes maires du canton », Le Journal de Ham, nos 18/2014,‎ , p. 6.
  29. « Françoise Ragueneau réélue maire de Quivières », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Syndicat intercommunal scolaire des 9 clochers (N° SIREN : 200039402) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  34. Benjamin Mérieau, « C'est fini pour le rassemblement de véhicules anciens de Quivières : La 23e édition du rassemblement de véhicules anciens n'aura pas lieu. Ses organisateurs ont préféré couper le moteur devant le travail que demandait l'événement. C'est la fin (?) du plus gros rassemblement de ce type au nord de Paris. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Quivières, d'après nature, 10 mai 1875 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  36. Section photographique de l'armée, « Photo : Quivières. Destructions systématiques par les Allemands. L'église détruite : le chœur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  37. Section photographique de l'armée, « Photo : Quivières. Destructions systématiques par les Allemands. L'église détruite ; le chœur et le transept », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 43, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).