Raincourt — Wikipédia

Raincourt
Raincourt
Entrée de Raincourt côté Jussey.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Vesoul
Intercommunalité CC des Hauts du Val de Saône
Maire
Mandat
Cédric Martel
2020-2026
Code postal 70500
Code commune 70436
Démographie
Population
municipale
110 hab. (2022 en évolution de −11,29 % par rapport à 2016)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 51′ 39″ nord, 5° 53′ 11″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 321 m
Superficie 8,28 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Jussey
Législatives 1re circonscription de la Haute-Saône
Localisation
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Raincourt
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Raincourt
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Raincourt
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Raincourt

Raincourt est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Localisation

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Raincourt est une commune de la région culturelle et historique de Franche-Comté, située au nord de Jussey.

Elle se trouve dans la zone d'emploi de Vesoul et le bassin de vie de Jussey[I 1]

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Betaucourt, Blondefontaine, Cemboing, Jussey et Villars-le-Pautel.

Rose des vents Barges Villars-le-Pautel Rose des vents
N Betaucourt
O    Raincourt    E
S
Cemboing Jussey

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 8,28 km2 ; son altitude varie de 217 à 321 mètres[1].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

Raincourt est limité à lm'ouest par l'Amance, un des affluents de la Saône et donc l'un des sous-affluents du fleuve le Rhône.

Le Grand fossé s'y jette.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 948 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Raincourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].

Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,1 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,6 %), forêts (30,4 %), prairies (26,7 %), zones urbanisées (3,3 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 88, alors qu'il était de 91 en 2016 et de 88 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 56,1 % étaient des résidences principales, 20,3 % des résidences secondaires et 23,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Raincourt en 2021 en comparaison avec celle de la Haute-Saône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20,3 %) supérieure à celle du département (6,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Raincourt en 2021.
Typologie Raincourt[I 3] Haute-Saône[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 56,1 83,2 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 20,3 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 23,6 10,6 8,1

Voies de communication et transports

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Raincourt- est desservie par la route départementale 3 qui traverse le département de la Haute-Saône du nord au sud

La maison de Raincourt tire son nom du village de Raincourt. Cette seigneurie est possédée par la branche aînée de cette maison jusqu'au XVIe siècle. À cette époque elle est vendue par décret avec tous les biens d'Ambroise de Raincourt qui était le dernier mâle de cette lignée. C'est François de Saint-Belin, époux de Valentine de Raincourt, qui l'achète. Elle passe ensuite dans la maison de Vesoul par le mariage de Philipotte de Saint-Belin avec Georges de Vesoul le . Marguerite de Vesoul, petite-fille de Georges, la porte à François de Jouffroy, seigneur de Novillars et d'Amagney. Plus tard, par acquisition elle passe dans la maison de Deüilly avant d'être rachetée en 1757 par Jean-Baptiste, marquis de Raincourt[13].

Le plus ancien membre connu de cette maison est :

  • Aymé de Raincourt, puis son fils :
  • Guillaume de Raincourt qui est cité dans une donation faite à l'abbaye de Cherlieu par Guy de Chaumont vers 1180.
  • Payen de Raincourt, chevalier, complète les dons faits à cette abbaye en 1211 par un arpent et demi de pré à Raincourt avec le consentement de son épouse Cécile et de ses enfants Robert, Étienne, Élisabeth et Dagone.
  • Warnier et Hugues de Raincourt, tous deux vraisemblablement frères de Payen, approuvent la même année les dons de Payen et y ajoutent quatre arpents de prés à Betaucourt ainsi que le droit de pâturage sur toute leur terre. Simon de Raincourt, prêtre, reçoit des religieux de cette abbaye en 1250 un meix (ancienne coutume : habitation d’un cultivateur, jointe à autant de terre qu’il en faut pour l’occuper et le nourrir) à Raincourt[13].

Époque contemporaine

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La concession de sel de Mélecey est accordée au marquis de Raincourt vers 1845[14].

Généalogie de la maison de Raincourt

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Jussey[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Jussey[I 1] porté de 22 à 65 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Haute-Saône.

Intercommunalité

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Raincourt était membre de la de la petite communauté de communes du Pays jusséen, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1990 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

L'article 35 de la loi n° 2010-1563 du [15] « de réforme des collectivités territoriales » prévoyait d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le , cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois, dont est désormais membre la commune[I 1].

Dans ce cadre, le schéma départemental de coopération intercommunale a prévu la fusion de cette intercommunalité avec d'autres, et l'intégration à la nouvelle structure de communes restées jusqu'alors isolées[16]. Cette fusion, effective le , a permis la création de la communauté de communes des Hauts du val de Saône, à laquelle la commune est désormais membre.

Politique locale

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Pour les élections municipales françaises de 2014, aucune candidature n'a été déclarée pour le premier tour[17]. Une liste s'est constituée pour le second tour et a été élue[18].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1971 Hubert Gousset    
1971 1997 Henri Barberot    
1997 mars 2001 Charles Perny    
mars 2001 mars 2008 Jean Del DVD  
mars 2008 avril 2014 Raymond Martel    
avril 2014[18],[20] juillet 2020[21] Sylvain Barthélémy[22]   Technicien d’exploitation à la SICAE
juillet 2020[23] En cours
(au 30 novembre 2023)
Cédric Martel   Profession intermédiaire administrative et commerciale des entreprises

Équipements et services publics

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Enseignement

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L'école communale a fermé en 1987, et, depuis, les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Blondefontaine, de Cemboing et de Barges dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[22].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2022, la commune comptait 110 habitants[Note 3], en évolution de −11,29 % par rapport à 2016 (Haute-Saône : −1,4 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
662630597583660638614592569
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
506538512527504513509447422
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
387378339279284284237214218
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
198204194149124139146147129
2014 2019 2022 - - - - - -
123116110------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le monument aux morts, dont le déplacement a été inauguré le 11 novembre 2018.
  • Église Saint-Valbert.
  • Monument aux morts.
  • Fontaine centrale.
  • Lavoirs.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Raincourt Blason
De gueules à la croix d'or accompagnée de dix-huit billettes de même, cinq aux deux cantons du chef, et quatre à ceux de la pointe.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Bibliographie

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  • Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 320 à 338
  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Raincourt et Montureux-lès-Baulay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae af ag ah ai aj ak al am an ao ap aq et ar histoire généalogique des sires de Salins
  14. « Village de Mélecey », sur ot-villersexel.fr.
  15. Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
  16. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5.
  17. Eléonore Tournier, « Le village où l’on ne votait pas : Raincourt, en Haute-Saône, fait partie des 64 communes françaises sans candidats », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  18. a et b « La liste Barthélémy élue au grand complet », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  19. « Les maires de Raincourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
  20. « Liste des maires de la Haute-Saône » [PDF], Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
  21. Sylvain Michel, « Un projet d’arrêté anti-pesticides met le feu aux poudres », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « Le 20 septembre, une proposition d’arrêté restreignant l’usage de pesticides dans la commune a divisé le conseil municipal. Lors de cette réunion, le maire avait été mis en minorité. Élu en 2014 après deux mandats de conseiller, Sylvain Barthélémy ne se représentera pas ».
  22. a et b « Raincourt : candidat pour sauver la mairie », La Presse de Vesoul,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  23. « Premier mandat pour Cédric Martel », L'Est républicain,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  27. Hugo Couillard, « Entrevues : étudiante en agriculture, la Haut-Saônoise Maiwène Barthèlemy est en course pour les César », L'Est républicain,‎ 16/11/2024 mis à jour le 28/2/2025 (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « Originaire de Raincourt (Haute-Saône), la jeune étudiante en agriculture de 22 ans Maïwène Barthèlemy vient d’être sélectionnée pour concourir au titre du César de la meilleure révélation féminine pour son rôle dans le film Vingt dieux ».