Reilhanette — Wikipédia
Reilhanette | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Baronnies en Drôme Provençale | ||||
Maire Mandat | Martial Bonnefoy 2020-2026 | ||||
Code postal | 26570 | ||||
Code commune | 26263 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Reilhanettois, Reilhanettoises | ||||
Population municipale | 133 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 10′ 11″ nord, 5° 25′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 512 m Max. 1 313 m | ||||
Superficie | 14,78 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Nyons et Baronnies | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Drôme Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
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Reilhanette est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Reilhanette est située à 18 km au sud-ouest de Séderon.
Brantes (Vaucluse) Montbrun-les-Bains | Montbrun-les-Bains | Montbrun-les-Bains | ||
Savoillan (Vaucluse) | N | Montbrun-les-Bains | ||
O Reilhanette E | ||||
S | ||||
Savoillan (Vaucluse) Aurel (Vaucluse) | Aurel (Vaucluse) | Montbrun-les-Bains Aurel (Vaucluse) |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Sites particuliers[1] :
- Adret de Vic
- Col de Trémalaud (803 m)
- Gros Défens (731 m)
- la Tune (1213 m)
- le Grépon (793 m)
- le Griau (1019 m)
- Petit Défens (743 m)
- Ubac du Griau
Géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- Grand Ravin
- l'Anary
- la Gour-des-Heures[2] (source)
- le Toulourenc
- Ravin de Brame-Faim
- Ravin de Briançon
- Ravin de Combe Ferre
- Ravin de la Robert
- Ravin de la Tune
- Ravin de Vic
- Ravin du Maigre
- Ruisseau de Champ d'Angros
- Ruisseau de Trémalaud
- Torrent de Fonsagne
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 976 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 4,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Séderon », sur la commune de Séderon à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Reilhanette est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), terres arables (5,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Bois du Maigre
- Briançon
- Cabane Forestière du Mouflon
- Champ Augier
- Chantabri
- Chanu
- Combeau
- Combe Ferre
- Eyssaux
- Faysses
- Fonlongue
- Forêt Domaniale de la Tune
- Ginies
- la Conche
- la Meynière
- la Molarde
- la Retranche
- le Garon
- le Jas
- le Petit Chavoul
- les Coulanches
- les Grands Marignons
- les Marignons
- les Poiriers
- Olives
- Plaine du Gondrin
- Ray
- Route Forestière de Bramefan
- Saint-Pierre
- Serambone
- Source Fontegneux
- Trémalaud
- Vachonne
- Vic
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- l'Aire-d'Essayes est un quartier attesté en 1891. Il avait été précédemment dénommé Lherre d'Essayes (plan cadastral [non daté]).
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales D 72, D 159a et D 542[1].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 1300 : Relliana (Valbonnais, I, 56).
- 1307 : Reyllaniae (Valbonnais, II, 128).
- 1317 : Reyllania prope montem Brunum (Valbonnais, II, 167).
- 1362 : Reglannes (compte de R. de Loupy, 66).
- 1386 : Rillane (choix de documents, 200).
- 1394 : Relania (archives de la Drôme, E, 3313).
- 1442 : Relhanie (choix de documents, 283).
- 1516 : mention du prieuré de la paroisse : prioratus cura de Relianeto (pouillé de Gap).
- 1606 : mention du prieuré de la paroisse : le prieuré curé de Ralienete (rôle de décimes).
- XVIIIe siècle : Relianette (inventaire de la chambre des comptes).
- 1788 : Reillannete (alman. du Dauphiné).
- 1891 : Reilhanette, commune du canton de Séderon.
Étymologie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie[14] :
- Au point de vue féodal, Reilhanette était une terre (ou seigneurie) de la baronnie de Mévouillon, premièrement possédée par les barons de ce nom.
- 1332 : possession des Du Puy.
- 1418 : la terre passe aux Adhémar.
- 1429 : passe aux Agoult.
- 1473 : passe (par mariage) aux Justas.
- 1517 : passe (par héritage) aux Glandevés.
- 1570 : passe (par mariage) aux Peyre.
- 1605 : passe (par mariage) aux Rolland, derniers seigneurs.
Au XIIe siècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait le prieuré Saint-Hippolyte et trois églises (dont l'église du château et l'église paroissiale) et percevait les revenus attachés à ces trois églises[15].
1560 : le château est détruit par les troupes royales[réf. nécessaire].
Avant 1790, Reilhanette était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage du Buis.
Elle formait une paroisse du diocèse de Gap dont l'église était dédiée à saint Michel et saint Hippolyte et dont les dîmes appartenaient au curé[14].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, la commune est comprise dans le canton de Montbrun. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Séderon[14].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections législatives, avant mars 2015, la commune faisait partie du Canton de Séderon ; elle fait désormais partie de la troisième circonscription de la Drôme.
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une station d'épuration des eaux[1].
Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[18].
En 2021, la commune comptait 133 habitants[Note 1], en évolution de −8,28 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fête : le dimanche suivant le [2].
Loisirs
[modifier | modifier le code]- Randonnées : GR 91C - GR de Pays Massif du Ventoux[1].
Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : céréales, vignes, ovins[2].
La commune est incluse dans la zone de production de plusieurs AOC ou AOP[réf. nécessaire] :
- IGP Agneau de Sisteron[21],
- AOC et AOP Banon (fromage de chèvre),
- IGP Coteaux des Baronnies (vin)[22],
- AOC et AOP Huile essentielle de lavande de Haute-Provence,
- IGP Miel de Provence[23],
- AOC et AOP Picodon (fromage de chèvre),
- IGP Petit-épeautre de Haute-Provence (grains et farine).
Une possible future IGP Abricot des Baronnies (dossier déposé à l'INAO au printemps 2017, pour une publication attendue en 2020)[réf. nécessaire].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Ruines du château[2] (XIIe siècle)[réf. nécessaire].
- Les « calades » (en cours de réfection depuis une dizaine d’année). Ces calades mènent à l'esplanade du château aménagée en espace scénique et dotée d'une vue exceptionnelle sur les collines de la plaine de Montbrun-Reilhanette et sur les contreforts du mont Ventoux[réf. nécessaire].
- Église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Hippolyte (XIIe siècle) : sa structure est romane avec une nef en berceau brisé. Sa hauteur au-dessus du maître autel est étonnante pour un édifice de ce type.
- En 1599, elle décrite « en fort bon état, bien fermée et garnie de tout ce qui est nécessaire ».
- Remaniée sous la Contre-Réforme, elle est dotée de trois autels baroques. Face à l'entrée : l'autel de Saint-Eutrope, patron des « estropiés », présente un reliquaire qui contiendrait un fragment de radius du saint. Il fut - dit-on - d'une grande efficacité et un registre (1698 à 1856) relate de très nombreux miracles[réf. nécessaire].
- Église (XIXe siècle) : clocher antérieur[2].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]- Reilhanette est mentionnée dans les livres de Paul-Jacques Bonzon, auteur de la série Les Six Compagnons : le personnage de Tidou est originaire de Reillanette, ancienne orthographe de la commune.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Grotte[2].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Julie Pagis, sociologue, est née dans cette commune.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Reilhanette possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Reilhanette sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
- Reilhanette sur le site de l'Office de tourisme de Montbrun-les-Bains
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Reilhanette.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Reilhanette et Séderon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Séderon », sur la commune de Séderon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 298 (Reilhanette).
- Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle, dans L'abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p 225-226.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Association loi 1901 CESAR (Cabinet d'études pour les Structures Agro-alimentaires Régionales), Demande d'Indication Géographique Protégée - Agneau de Sisteron, Maison Régionale de l'Elevage - Route de la Durance - 04100 Manosque, 100 p. (lire en ligne), p.11-p.12.
- CAHIER DES CHARGES DE L’INDICATION GEOGRAPHIQUE PROTEGEE « COTEAUX DES BARONNIES » homologué par l’arrêté du 2 novembre 2011, JORF du 17 novembre 2011, , 6 p., p2.
- CAHIER DES CHARGES - IGP - Miel de Provence, 12 p. (lire en ligne), p.8.