Romagnat — Wikipédia
Romagnat | |||||
Château d'Opme sur la commune de Romagnat. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Clermont-Ferrand | ||||
Intercommunalité | Clermont Auvergne Métropole | ||||
Maire Mandat | Laurent Brunmurol 2020-2026 | ||||
Code postal | 63540 | ||||
Code commune | 63307 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Romagnatois | ||||
Population municipale | 7 905 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 469 hab./km2 | ||||
Population agglomération | 273 822 hab. (2022) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 43′ 50″ nord, 3° 06′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 391 m Max. 838 m | ||||
Superficie | 16,84 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Clermont-Ferrand (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Clermont-Ferrand (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubière | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | www.ville-romagnat.fr | ||||
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Romagnat (/ʁɔ.ma.ɲa/ ) est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Romagnat est située au centre du département du Puy-de-Dôme[1], à 5,5 km au sud de Clermont-Ferrand à vol d'oiseau[2].
Elle est limitrophe avec Beaumont, Aubière, Pérignat-lès-Sarliève, La Roche-Blanche, Chanonat, Saint-Genès-Champanelle et Ceyrat.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]L'altitude maximale est de 838 mètres au puy Giroux.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par l'Artière ainsi que son affluent, la Gazelle.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 973 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 563,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 0,6 | 3 | 5,3 | 9,1 | 12,6 | 14,5 | 14,4 | 10,9 | 8,3 | 3,9 | 1,4 | 7,1 |
Température moyenne (°C) | 4,3 | 5,1 | 8,3 | 10,9 | 14,8 | 18,4 | 20,6 | 20,6 | 16,7 | 13 | 7,9 | 5 | 12,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 8 | 9,5 | 13,7 | 16,6 | 20,5 | 24,2 | 26,8 | 26,8 | 22,5 | 17,8 | 12 | 8,6 | 17,3 |
Record de froid (°C) date du record | −23,1 05.01.1971 | −29 14.02.1929 | −21,3 11.03.1931 | −7,1 08.04.03 | −4,2 02.05.1938 | 1 02.06.1975 | 3,8 03.07.1948 | 2,4 24.08.1980 | −3 24.09.1928 | −9,2 29.10.1997 | −11,8 23.11.1993 | −25,8 18.12.1933 | −29 1929 |
Record de chaleur (°C) date du record | 22,1 30.01.02 | 25,9 28.02.1960 | 26,6 25.03.1981 | 31,3 16.04.1949 | 33 17.05.1945 | 40,9 26.06.19 | 40,7 31.07.1983 | 40,4 24.08.23 | 36,8 16.09.1987 | 33,2 02.10.23 | 24,7 08.11.15 | 21,9 30.12.1925 | 40,9 2019 |
Ensoleillement (h) | 846 | 1 096 | 1 654 | 1 791 | 1 997 | 2 252 | 2 556 | 2 432 | 1 914 | 136 | 903 | 777 | 19 579 |
Précipitations (mm) | 26,6 | 18,7 | 26,1 | 51,1 | 66,5 | 67,5 | 63,3 | 62 | 57,5 | 48,8 | 46,2 | 29,1 | 563,4 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Située à proximité de la faille de la Limagne, la commune comprend plusieurs milieux naturels[R 1] :
- le puy de Chomontel, intégrée dans la zone Natura 2000 « Vallées et coteaux xérothermiques des Couzes et Limagnes » et abrite de nombreuses espèces d'orchidées. Ce site, de 3,5 ha, est géré par le Conservatoire d'espaces naturels (CEN) Auvergne ;
- le parc Bernard-de-Tocqueville, parc de dix hectares labellisé « refuge LPO » depuis le ;
- le plateau de Gergovie, au sud de la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Romagnat est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-Ferrand[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,8 %), prairies (24,5 %), zones urbanisées (19,6 %), forêts (18,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %), cultures permanentes (1 %), terres arables (0,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Le quartier Bezance abrite la mairie, ancien château du baron de Romagnat[15].
La Gazelle est un quartier d'habitation où sont situés le lycée professionnel et une école primaire.
De nombreux commerces sont installés place de la Liberté, devenue place François-Mitterrand, en centre-ville.
On trouve dans le quartier Pérouses la gendarmerie, un complexe sportif (gymnase, terrains de football, de rugby et de tennis). C'est avant tout un quartier d'habitation.
Le carrefour entre les avenues Jean-Jaurès et Jean-Moulin a été rénové courant 2012-2013.[réf. souhaitée]
- Vers Beaumont.
- Vers Chanonat.
Logement
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune comptait 3 910 logements, contre 3 785 en 2013. Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 75,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 23,9 % des appartements[a 1].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 70,4 %, en hausse sensible par rapport à 2013 (69,8 %). La part de logements HLM loués vides était de 13,7 % (contre 13,1 %)[a 2].
Planification de l'aménagement
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'un plan local d'urbanisme, approuvé par le conseil métropolitain de Clermont Auvergne Métropole le [R 2].
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Un pôle de vie — baptisé Bernard-Brajon, du nom de l'ancien maire — est en construction sur le site de l'ancien lycée professionnel Vercingétorix, à proximité des installations sportives communales. Ce projet, d'un coût de plus de 2,8 millions d'euros incluant des subventions de l'État, de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du département, accueillera un espace d'accueil pour enfants, une cuisine fournissant des établissements de la commune (mais aussi ceux d'Aubière et de Pérignat-lès-Sarliève) et une salle « dédiée au spectacle vivant »[R 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par les routes départementales 3, 21, 21b, 120, 133, 800 et 2089. Par délibération du conseil métropolitain du , certaines portions de routes traversant la commune et gérées par le département du Puy-de-Dôme ont été transférées à Clermont Auvergne Métropole et sont devenues des routes métropolitaines, à l'exception d'une partie de la RD 3 (au sud d'Opme) et des RD 120, 800 et 2089[16].
La route départementale 3 relie Clermont-Ferrand et Beaumont à Opme et à Chanonat, c'est une liaison nord-sud ; en venant d'Aubière, c'est la RD 21 qui assure la desserte du nord-est vers le sud-ouest, en desservant le quartier de Clémensat. Une RD 21b relie la RD 21 à Saulzet-le-Chaud.
La RD 120 relie Saulzet-le-Chaud, sur la RD 2089, à Opme ; elle y croise la RD 3 et la RD 800 prend son origine pour desservir le plateau de Gergovie.
L'autoroute A75 est la plus proche (par la sortie 2) ; elle est accessible par la route départementale 2089, contournement sud de l'agglomération clermontoise, puis l'ancienne route nationale 89 pendant la traversée de Saulzet-le-Chaud.
- La route départementale 21 à l'entrée de Clémensat en janvier 2012.
- Entrée depuis Aubière.
- D 3 vers la place François-Mitterrand et Opme.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Trois lignes du réseau T2C desservent la commune.
La ligne 3, prolongée à certaines heures de la place des Ramacles à Aubière jusqu'au terminus de Gergovia sur la départementale 3 en direction d'Opme, elle est fonctionnelle sept jours sur sept (les dimanches et jours fériés, certaines courses sont limitées à La Gazelle). Ces bus continuent vers Clermont-Ferrand jusqu'aux Vignes ou au stade Gabriel-Montpied via le centre-ville.
La ligne 12 dessert systématiquement la place François-Mitterrand. Elle relie la place Delille, à Clermont-Ferrand, et Aubière, du lundi au samedi. Celle-ci est doublée par la ligne 27 jusqu'à l'arrêt Tocqueville, en desservant les quartiers de Clémensat, Saulzet-le-Chaud et Opme. Un service de transport à la demande est proposé pour la desserte de ces deux quartiers.
Énergie
[modifier | modifier le code]La gestion de l'éclairage public est assurée par Clermont Auvergne Métropole. La commune procède à l'extinction de l'éclairage public entre 0 h 30 et 4 h 30 sauf pendant les fêtes de fin d'année et autour du 14 juillet[R 4].
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est soumise à plusieurs risques[17] :
- feu de forêt ;
- inondation ;
- mouvement de terrain : sur la période allant du au 31 décembre 1991, la commune a subi plusieurs glissements de terrain par retrait-gonflement des sols argileux ; un arrêté de catastrophe naturelle a été publié au Journal officiel du 18 août 1992[18]. Elle se situe dans une zone à aléa fort[18] ;
- séisme : niveau 1b selon la classification déterministe de 1991[19] ou 3 (modérée) selon la classification probabiliste de 2011[17],[18].
Romagnat est aussi concernée par le risque transport de matières dangereuses, de tels véhicules pouvant emprunter le contournement sud de l'agglomération clermontoise ou traverser Saulzet-le-Chaud ; ils n'ont pas l'autorisation d'emprunter des voies structurantes de la commune comme le boulevard du Chauffour[19].
Un plan de prévention des risques naturels concernant l'inondation sur la rivière Artière a été prescrit par un arrêté du 27 décembre 1999 et approuvé le 6 mars 2002[17],[18]. Le territoire de Clermont-Ferrand - Riom, auquel appartient Romagnat, est soumis à un risque important d'inondation[17].
La commune a élaboré un DICRIM[19], ainsi qu'un plan communal de sauvegarde[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le nom de cette localité incite à lui trouver une origine liée à l'époque gallo-romaine. Une des hypothèses les plus souvent avancées est celle selon laquelle il faudrait la voir dans la phrase latine Romanii hac Obiere et Perignum, que l'on peut traduire approximativement par « les Romains périrent ici » (cf. la victoire des Gaulois au siège de Gergovie, car ce célèbre lieu qui consacra la victoire, en juin 52 av. J.-C., de Vercingétorix sur Jules César en personne aux commandes de ses armées, est abrité sur le territoire communal). C'est évidemment une fausse étymologie savante inventée à l'époque moderne qu'il faut rejeter définitivement.
Le XVe siècle voit Romagnat entreprendre ses premières fortifications qui doivent assurer la sécurité des habitants. Outre un fossé et d'épais remparts, huit tours gardent les entrées de la ville. Il ne reste aujourd’hui que la tour du Terrail, face à la Poste.
En 1631, la peste fait des ravages dans la ville.
En mars 1789, Romagnat et Opme, paroisses distinctes à l'époque, rédigent deux cahiers de doléances qui sont conservés aux Archives départementales. Le 22 mars 1789, le Baron Emmanuel d'Aubier de la Monteilhe, seigneur de Saulzet, est désigné rapporteur de la Commission nommée pour examiner la question importante de l'égalité de tous devant l'impôt.
L'événement majeur du Second Empire est sans conteste la visite de Napoléon III à Gergovie (à l'époque appelé Merdogne) et à Romagnat. Elle engendre un grand émoi au sein de la commune, comme en témoigne le compte rendu du conseil municipal en date du (registre en Mairie).
En août 1910, pour la fête patronale, l'électricité brille sur Romagnat.
En 1940-1941, le général de Lattre de Tassigny séjourne dans le village voisin d'Opme où il fonde une école de cadres.
En 1959 débute la construction de la cité de Bezance. C'est le départ de l'expansion démographique et urbaine. Romagnat prend son caractère de banlieue résidentielle de Clermont-Ferrand, tandis que Saulzet et Opme conservent longtemps encore leur aspect agricole de semi-montagne.
En 1961, la commune achète au baron de Tocqueville le château de Bezance pour en faire l'hôtel de ville.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Romagnat est membre de la métropole Clermont Auvergne Métropole[11], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le (en tant que communauté d'agglomération Clermont Communauté, devenue communauté urbaine le et métropole depuis le ) dont le siège est à Clermont-Ferrand. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].
Sur le plan administratif, elle a d'abord été rattachée au district de Clermont-Ferrand en 1793, devenu l'arrondissement de Clermont-Ferrand en 1801[21], à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[11]. Elle était membre du canton d'Aubieres sous l'an II, puis du canton de Clermont-Ferrand-Sud de 1801 à 1982 et du canton d'Aubière depuis 1982[21].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aubière pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[11], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (2e circonscription avant le redécoupage)[22].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Jusqu'en mars 2014, Romagnat était plutôt tournée à gauche. Les électeurs ont choisi un candidat de gauche aux élections législatives de 2002, 2007 et 2012 et ont voté en majorité pour le candidat élu aux élections présidentielles et régionales.
À l'élection présidentielle de 2002, Jacques Chirac avait recueilli plus de 90 % des suffrages exprimés, avec un taux de participation de 85,09 %[23]. À partir de 2007, ce sont les candidats de gauche qui ont recueilli le plus de voix, avec Ségolène Royal (battue à l'échelle nationale) en 2007 (55,97 %, participation 88,45 %[24]) et François Hollande (élu à l'échelle nationale) en 2012 (61,09 %, participation 85,78 %[25]).
Aux élections législatives : à l'époque où le canton d'Aubière se retrouvait dans la 2e circonscription, Alain Néri avait recueilli la majorité des voix en 2002 (51,07 %, participation 65,51 %[26]) et en 2007 (58,21 %, participation 62,07 %[27]). En 2012, dans la nouvelle 4e circonscription, Jean-Paul Bacquet, élu au premier tour, obtient 48,40 % des voix, avec un taux de participation de 58,13 %[28].
Aux élections européennes, les deux meilleurs scores dans la commune sont détenus en 2004 par Catherine Guy-Quint (39,03 %) et Brice Hortefeux (20,35 %)[29], puis en 2009 par Jean-Pierre Audy (25,71 %) et Henri Weber (23,51 %)[30]. Les taux de participation sont inférieurs à 50 % (respectivement 48,15 % et 48 %).
Aux élections régionales de 2004, à l'époque de la nomination du président du Conseil régional d'Auvergne, Pierre-Joël Bonté avait recueilli 55,48 % des suffrages exprimés, avec un taux de participation de 71,51 %[31]. En 2010, René Souchon obtenait 65,82 % des voix dans la commune, avec une participation moindre (57,59 %)[32].
Le maire sortant s'est représenté aux élections municipales de 2014 mais a été battu par un candidat tenant une liste divers droite, Laurent Brunmurol, qui obtient 63,79 % des suffrages (2 497 voix sur 3 914 exprimés). Le taux de participation est de 65,65 % (4 101 votants sur 6 247 inscrits)[33].
Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29.
Le conseil municipal est composé de huit adjoints et de dix-neuf conseillers municipaux (quinze de la majorité et quatre d'opposition[R 5].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Finances communales
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget municipal s'élevait à 6 914 357 € en fonctionnement et à 8 282 255 € en investissement. Ces montants ont été votés lors d'un conseil municipal tenu le . Ce budget sert notamment à la mise en accessibilité de certains équipements communaux aux personnes à mobilité réduite, à la rénovation de l'éclairage public ou encore le développement de l'attractivité de la commune, notamment avec la rénovation de la place François-Mitterrand[R 6].
Les taux d'imposition votés par la commune sont les suivants[R 6] :
Part communale | Part intercommunale | |
---|---|---|
Taxe d'habitation | 13,24 % | 10,45 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties | 86,84 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties | 17,94 % | 11,28 % |
Part communale : taux votés par le conseil municipal. Part intercommunale : taux votés par le conseil métropolitain de Clermont Auvergne Métropole. |
Jumelages
[modifier | modifier le code]Romagnat est jumelée avec deux communes[R 7] :
- Licciana Nardi, région de la Toscane (Italie) depuis le ;
- Salles, département de la Gironde (France) depuis le .
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau, assainissement et déchets
[modifier | modifier le code]La gestion de l'eau et de l'assainissement collectif est assurée par Clermont Auvergne Métropole. L'assainissement non collectif est quant à lui géré par le syndicat mixte de l'eau de la région d'Issoire[R 8].
Une déchèterie, gérée par Clermont Auvergne Métropole, est implantée sur le territoire communal[38],[R 9].
Espaces publics
[modifier | modifier le code]Les 22 hectares d'espaces verts de la commune sont entretenus sans utilisation de produits phytosanitaires depuis 2016. Romagnat s'est engagée dans une démarche « zéro phyto »[R 10].
La commune dispose de trois parcs[R 11] :
- le parc Bernard-de-Tocqueville, avec une aire de jeux ;
- le parc de Saulzet-le-Chaud, près de l'école, avec une aire de jeux et un terrain de pétanque à proximité ;
- un parc à Opme.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Romagnat dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère cinq écoles primaires dont deux aux niveaux maternelle et élémentaire (Jacques-Prévert et Louise-Michel), ainsi qu'une école élémentaire (Saulzet-le-Chaud)[39].
Les élèves poursuivent leur scolarité au collège Joliot-Curie d'Aubière ou au collège Henri-Pourrat de Ceyrat[40], puis à Clermont-Ferrand, au lycée Blaise-Pascal (ou Jeanne-d'Arc)[41].
Le conseil régional d'Auvergne gérait le lycée professionnel Vercingétorix[39], mais dans le cadre du nouveau schéma sur l'offre de formation des lycées professionnels, et malgré plusieurs manifestations contre la fermeture de cet établissement, celui-ci a fermé ses portes en 2015[42]. Des formations ont dû être transférées vers d'autres lycées de l'agglomération clermontoise (La Fayette et Roger-Claustres à Clermont-Ferrand[43]), le bâtiment de ce lycée étant « construit en 1979 [et] en très mauvais état » qui aurait dû conduire à sa « fermeture administrative »[44].
L'établissement régional d'enseignement adapté de Lattre-de-Tassigny est situé dans le quartier d'Opme[39],[R 12],[45] ; c'est une ancienne école de cadres construite par de Lattre, de 1940 à 1941[46].
En 2018, sur une population non scolarisée de quinze ans ou plus de 6 046 habitants, 18,3 % n'étaient titulaires d'aucun diplôme ou au plus d'un brevet d'études du premier cycle ou du diplôme national du brevet, 25,2 % d'un CAP ou d'un BEP, 16,2 % d'un baccalauréat, et 33,6 % d'un diplôme de l'enseignement supérieur[a 3].
Santé
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Sur le plan judiciaire, Romagnat relève de la cour d'appel de Riom et des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[47].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[49].
En 2022, la commune comptait 7 905 habitants[Note 4], en évolution de +3,55 % par rapport à 2016 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Depuis les années 1960, la population n'a cessé d'augmenter. Le solde naturel était en effet très élevé sur la période 1968-1975, avec un taux de natalité de 19,9 ‰ contre un taux de mortalité de 5,5 ‰. Le taux annuel moyen de variation atteignait 5 %. Depuis les années 1990, le taux de variation annuelle moyenne de la population est négatif[a 4].
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à soixante ans (34 %)[a 5] est en effet supérieur au taux national (26,1 %) et au taux départemental (27,9 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,7 %) est supérieur aux taux national et départemental (51,6 %).
En 2018, on comptait 3 538 ménages (soit 7 644 habitants), dont 30,4 % sont des ménages d'une personne et 67,6 % avec familles[a 7]. Parmi les 2 392 ménages avec famille, 24,1 % étaient des couples avec enfants, 8,9 % des familles monoparentales et 34,6 % des couples sans enfant[a 8].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Équipements sportifs
[modifier | modifier le code]La commune dispose de plusieurs équipements sportifs[R 13] :
- le stade des Pérouses, composé d'un terrain principal (Michel-Brun) et d'un terrain d'entraînement en gazon naturel, un terrain de football en gazon synthétique et d'une piste d'athlétisme ;
- le complexe polyvalent, géré par la métropole, où sont pratiqués basket-ball, volley-ball, badminton et tennis de table ;
- six courts de tennis (deux couverts et quatre extérieurs) ;
- un citypark permettant la pratique du football, du handball et du basket-ball ;
- trois terrains de pétanque ;
- il existe également des salles de sport au sein du foyer laïc d'éducation populaire.
Clubs sportifs
[modifier | modifier le code]Associations sportives de la commune[R 14]
- Le Romagnat Tennis Club l'association la plus importante avec environ 350 adhérents
- L'ASM Romagnat rugby féminin (anciennement Ovalie romagnatoise Clermont Auvergne), un club de rugby à XV féminin créé en 1974, trois fois champion de France (1994, 1995 et 2021)[52],[53] ;
- L'AS Romagnat Basket est un club de basket-ball ;
- L'Association Sportive Romagnatoise (ASR), avec les sections : athlétisme, football, handball, plongée, etc.
Médias
[modifier | modifier le code]- Presse régionale : La Montagne
- Bulletins municipaux : Romagnat Info, trimestriel ; Romagnat en Bref[54]
- Radio à l'échelle régionale : France Bleu Pays d'Auvergne
Économie
[modifier | modifier le code]La commune dispose, sur son territoire, de deux zones d'activités, gérées par Clermont Auvergne Métropole[R 15] :
- la zone d'activités de l'Artière, à vocation industrielle et commerciale, qui s'étend sur 684 000 m2 et compte 163 entreprises ;
- la zone d'activités tertiaires du Cheix, qui s'étend sur 24 000 m2 et compte 18 entreprises.
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 35 622 €, ce qui plaçait Romagnat au 7 023e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[55].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 4 608 personnes, parmi lesquelles on comptait 74 % d'actifs dont 67,4 % ayant un emploi et 6,6 % de chômeurs[a 9].
On comptait 2 302 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 3 138, l'indicateur de concentration d'emploi s'élève à 73,4 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 10].
Sur les 3 427 habitants actifs, la majorité sont des employés (922, dont 779 ont un emploi). La commune compte par ailleurs 911 professions intermédiaires (dont 866 avec un emploi), 758 cadres et professions intellectuelles supérieures (tous avec emploi), 612 ouvriers (531), 183 artisans, commerçants ou chefs d'entreprise (168) et 31 agriculteurs exploitants, ces derniers ayant tous un emploi[a 11]. Toutefois, parmi les 2 263 emplois, elle compte plus de professions intermédiaires (675, 29,8 %) que d'employés (611, 27,0 %) ou d'ouvriers (531, 23,5 %)[a 12]. Par secteur d'activité, le secteur administratif compte plus d'emplois (901, soit 49,8 %) que dans le commerce (667, soit 29,5 %)[a 13].
2 771 des 3 138 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 88,3 %) sont des salariés[a 14]. 18,2 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[a 15].
Entreprises
[modifier | modifier le code]Au , Romagnat comptait 444 unités légales, dont 88 dans le commerce de gros et de détail, les transports, l'hébergement ou la restauration ou dans l'administration publique, l'enseignement, la snté humaine et l'action sociale, 86 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et les activités de services administratifs et de soutien et 74 dans la construction[a 16].
En outre, elle comptait 484 établissements[a 17].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune comptait en 2018, au sens de l'Insee, 31 agriculteurs exploitants[a 11], 29 emplois dans cette catégorie socio-professionnelle[a 12] et 36 emplois dans ce secteur d'activité[a 13].
Elle comptait dix-sept exploitations agricoles en 2010, contre 24 en 2000 et 25 en 1988, pour une superficie agricole qui a en revanche augmenté (905 hectares en 2010 contre 659 en 2000 et 480 en 1988)[56].
Industrie et artisanat
[modifier | modifier le code]Romagnat comptait 239 emplois en 2018 (soit 10,6 % des emplois de la commune), dont 92,3 % de salariés[a 13].
Commerce et services
[modifier | modifier le code]Le secteur du commerce (et par extension aux transports et aux services divers) représentait 29,5 % des emplois de la commune en 2018[a 13].
La commune de Romagnat compte entre autres deux supermarchés, trois pharmacies, quatre boulangers et cinq restaurants[R 16].
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Romagnat compte deux édifices protégés au titre des monuments historiques et un lieu répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel, tous situés dans le village d'Opme :
- l'église d'Opme, XIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques depuis le 17 juin 1959[57] ;
- le château d'Opme, XIVe et XVIIe siècles, classé monument historique le 6 septembre 1916 (sa ferme est inscrite le 20 mars 2006)[58]. Son jardin (du XVIIe siècle) est classé monument historique depuis le 6 novembre 1969[59].
Autres édifices :
- La mairie est un château ancien.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pierre-Antoine Taché (1766-1829), homme politique, député du Puy-de-Dôme en 1815, lors des Cent-Jours.
- Noël Boucheix (1900-1985), prélat et missionnaire catholique français ;
- Thierry Chincholle (1966), joueur de Scrabble.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | De sable au chevron d'or accompagné en chef de deux besants d'argent et en pointe d'une tour du même ouverte du champ. | |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Opme
- Liste des jardins portant le label « jardin remarquable »
- Liste des anciennes communes du Puy-de-Dôme
- Liste des communes du Puy-de-Dôme
Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Clermont-Ferrand comprend une ville-centre et 16 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Dossier relatif à la commune, sur le site de l'Insee (page consultée le ) :
- LOG T2 – Catégories et types de logements.
- LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
- FOR T2 – Diplôme le plus élevé de la population non scolarisée de 15 ans ou plus selon le sexe en 2018.
- POP T2M – Indicateurs démographiques en historique depuis 1968.
- POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.
- POP T3 – Population par sexe et âge en 2018.
- FAM T1 – Ménages selon leur composition.
- FAM T3 – Composition des familles.
- EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 – Emploi et activité.
- EMP T3 – Population active de 15 à 64 ans selon la catégorie socioprofessionnelle.
- EMP T7 – Emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2018.
- EMP T8 – Emplois selon le secteur d'activité.
- ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2018.
- ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
- DEN T3 – Nombre d'unités légales par secteur d'activité au .
- DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
Site de la mairie
[modifier | modifier le code]- « Environnement » (consulté le ).
- « Plan Local d'Urbanisme (PLU) » (consulté le ).
- « Pôle de vie Bernard-Brajon » (consulté le ).
- « Éclairage public » (consulté le ).
- « Élus » (consulté le ).
- « Budgets communaux » (consulté le ).
- « Jumelage » (consulté le ).
- « Eau et assainissement » (consulté le ).
- « Gestion des déchets » (consulté le ).
- « Nature et espaces verts » (consulté le ).
- « Parcs et jeux » (consulté le ).
- « Lycée d'enseignement adapté de Lattre de Tassigny (LEA) » (consulté le ).
- « Equipements sportifs » (consulté le ).
- « Associations » (consulté le ).
- « Tissu économique » (consulté le ).
- « Commerces » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Romagnat », sur Lion 1906.
- « Orthodromie entre Romagnat et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906 (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Romagnat et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Romagnat ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- Le château de Bezance. Edmond Pince, Le Gonfanon no 84, Argha 2018.
- « Transfert de 4 compétences du département du Puy-de-Dôme à Clermont Auvergne Métropole : adoption et signature des conventions de transfert » [PDF], sur clermontmetropole.eu, Clermont Auvergne Métropole, (consulté le ).
- « Rapport », sur georisques.gouv.fr, Ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
- « Dossier départemental sur les risques majeurs dans le Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
- Ville de Romagnat, « Dossier d'information communal sur les risques majeurs » [PDF], sur georisques.fr (consulté le ).
- « Clermont Auvergne Métropole (No SIREN : 246300701) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Résultats de l'élection présidentielle de 2002, Ministère de l'Intérieur.
- Résultats de l'élection présidentielle de 2007, Ministère de l'Intérieur.
- Résultats de l'élection présidentielle de 2012, Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2002, Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2007, Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2012, Ministère de l'Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2004, Ministère de l'Intérieur.
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- Résultats des élections régionales de 2004, Ministère de l'Intérieur.
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- Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 32 (édition du Puy-de-Dôme).
- « BRUNMUROL LAURENT », Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
- « Déchèterie de Romagnat », Clermont Auvergne Métropole (consulté le ).
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- Service académique d'information et d'orientation, « Arrêté rectoral en date du relatif à la répartition des districts scolaires des lycées des départements de l'Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme » [PDF], Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 34.
- France Bleu Pays d'Auvergne, « Le lycée Vercingétorix de Romagnat fermera en 2015 », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- « Le lycée professionnel Vercingétorix de Romagnat vers la fin d'exercice », sur France 3 Auvergne, (consulté le ).
- Conseil régional d'Auvergne, « Transfert des formations du lycée Vercingétorix de Romagnat » [PDF], sur auvergne.fr (consulté le ).
- « Établissement régional d'enseignement adapté de Lattre de Tassigny EREA », Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « EREA de Lattre de Tassigny – Romagnat », sur erea-de-lattre-de-tassigny.entauvergne.fr (consulté le ).
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », Ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- « Évolution et structure de la population en 2018 – Département du Puy-de-Dôme (63) », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Laurent Pastural, « Puy-de-Dôme : les joueuses de l'ASM Romagnat championnes de France de rugby », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
- Martial Delecluse, « Les joueuses de l'ASM Romagnat sacrées championnes de France » , sur lamontagne.fr, (consulté le ).
- Publications sur le site de la mairie.
- Revenus fiscaux localisés des ménages, fichier [zip] édité par l'Insee, données 2011.
- « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Romagnat commune », Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
- « Eglise d'Opme », notice no PA00092330, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château d'Opme », notice no PA00092329, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « jardin du château d'Opme », notice no IA63000894, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.