Roses à crédit (téléfilm) — Wikipédia
Réalisation | Amos Gitaï |
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Scénario | Amos Gitaï Marie-Jose Sanselme |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | AGAV Films Image et Compagnie France Télévisions Ad Vitam Production |
Pays de production | France |
Genre | Drame |
Durée | 113 minutes |
Première diffusion | 2010 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Roses à crédit est un téléfilm français réalisé par Amos Gitaï et diffusé le sur Orange ciné novo, adapté du roman Roses à crédit, d'Elsa Triolet.
Synopsis
[modifier | modifier le code]Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Réalisation : Amos Gitaï
- Scénario : Amos Gitaï et Marie-José Sanselme, d'après le roman éponyme d'Elsa Triolet (1959)
- Photographie : Éric Gautier
- Son : Michel Kharat
- Musique : Louis Sclavis
- Montage : Isabelle Ingold
- Décors : Manu de Chauvigny
- Costumes : Moïra Douguet
- Format : Couleur - 1,85:1
- Durée : 113 minutes
Distribution
[modifier | modifier le code]- Léa Seydoux : Marjoline
- Grégoire Leprince-Ringuet : Daniel
- Pierre Arditi : M. Georges
- Arielle Dombasle : Mme Denise
- Catherine Jacob : Mme Donzert
- Maud Wyler : Cécile
- Valeria Bruni Tedeschi : Suzette
- André Wilms : M. Donelle
- Ariane Ascaride : le médecin
- Bruno Maquart : l'enquêteur
- Max Denes : l'agent immobilier
- Florence Thomassin : Marie
- Elsa Zylberstein : la pharmacienne
Production
[modifier | modifier le code]Afin d'avoir un meilleur budget et de pouvoir rendre ainsi « qualité et de la grande richesse des personnages », le réalisateur Amos Gitaï a choisi de faire deux versions de son film, une pour la télévision et une pour le cinéma, plus longue d'un quart d'heure[1]. Cette dernière devait sortir en salles le , cinq mois avant la diffusion télévisée sur France 2[1]. Mais deux semaines avant la sortie, le Centre national du cinéma et de l'image animée a refusé son agrément au long métrage, estimant qu'il n'y avait pas assez de différences entre les deux versions[1]. Ce refus d'agrément a empêché la sortie en salle car cela le prive de subventions lors de cette sortie[1].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Samuel Douhaire, « Amos Gitaï : « Mon film a été sacrifié à cause de jeux de pouvoir bureaucratiques » », Télérama, (lire en ligne).
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- « Marianne Delranc-Gaudric, « Pourquoi le film “Roses à crédit” mérite d’être vu et revu ? », L’Humanité, 17 décembre 2010 », sur louisaragon-elsatriolet.org, .