Rue du Japon (Toulouse) — Wikipédia
Situation | |
---|---|
Coordonnées | 43° 35′ 25″ nord, 1° 27′ 30″ est |
Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Métropole | Toulouse Métropole |
Ville | Toulouse |
Secteur(s) | 5 - Sud-Est |
Quartier(s) | Le Busca |
Début | no 51 allée des Demoiselles |
Fin | no 1 boulevard Monplaisir |
Morphologie | |
Longueur | 313 m |
Largeur | 10 m |
Transports | |
Bus | L944 (à proximité) |
Odonymie | |
Nom actuel | 1895 |
Nom occitan | Carrièra del Japon |
Histoire et patrimoine | |
Création | 1895 |
Lieux d'intérêt | Musée Georges-Labit |
Notice | |
Archives | 315553600010 |
modifier |
La rue du Japon (en occitan : carrièra del Japon) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]La rue du Japon est une voie publique. Elle se trouve dans le quartier du Busca, dans le secteur 5 - Sud-Est.
La chaussée compte une seule voie de circulation automobile en sens unique, de l'allée des Demoiselles vers le boulevard Monplaisir. Elle appartient à une zone 30 et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il n'existe pas de piste, ni de bande cyclable, quoiqu'elle soit à double-sens cyclable.
Voies rencontrées
[modifier | modifier le code]La rue du Japon rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :
Transports
[modifier | modifier le code]La rue du Japon n'est pas directement desservie par les transports en commun Tisséo. Elle est cependant facilement accessible par la ligne du Linéo L9, qui parcourt l'allée des Demoiselles, et par la ligne de bus 44, qui dessert les allées Frédéric-Mistral et Serge-Ravanel.
Les stations de vélos en libre-service VélôToulouse les plus proches sont les stations no 115 (8 allée des Demoiselles) et no 127 (1 rue Bégué-David).
Odonymie
[modifier | modifier le code]La rue, tracée en 1895, a d'après Pierre Salies été nommée grâce à l'intervention de Georges Labit qui, quelques années après être revenu d'un voyage au Japon en 1889, fit construire sa villa à l'angle de la nouvelle rue - l'actuel musée Georges-Labit[1]. Il s'agirait cependant d'un choix fait en commémoration, selon Jean Coppolani, d'un traité d'amitié entre la France et le Japon passé en 1894.
Histoire
[modifier | modifier le code]Patrimoine et lieux d'intérêt
[modifier | modifier le code]Musée Georges-Labit
[modifier | modifier le code]La villa est construite pour le collectionneur Georges Labit (1862-1899)[2].
Maisons
[modifier | modifier le code]- no 15 : villa Acopotana (deuxième quart du XXe siècle)[3].
- no 40 : villa d'Alsace (deuxième quart du XXe siècle)[4].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Salies 1989, vol. 2, p. 27.
- Salies 1989, vol. 2, p. 61.
- Notice no IA31129910, inventaire général du patrimoine culturel, région Occitanie/ville de Toulouse.
- Notice no IA31129712, inventaire général du patrimoine culturel, région Occitanie/ville de Toulouse.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, 2 vol., éd. Milan, Toulouse, 1989 (ISBN 978-2-8672-6354-5).
Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Notice no 315553600010 », Au nom de la voie, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse, 20 septembre 2021 (consulté le ).
- Inventaire préliminaire de la ville de Toulouse, sur le site Urban-Hist, Archives municipales de Toulouse (consulté le ).
- Inventaire général du patrimoine culturel d'Occitanie, sur le site Ressources patrimoines - La médiathèque culturelle de la Région Occitanie (consulté le ).