Arpajon-sur-Cère — Wikipédia

Arpajon-sur-Cère
Arpajon-sur-Cère
Château de Conros.
Blason de Arpajon-sur-Cère
Blason
Arpajon-sur-Cère
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Aurillac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac
Maire
Mandat
Isabelle Lantuéjoul
2020-2026
Code postal 15130
Code commune 15012
Démographie
Gentilé Arpajonnais
Population
municipale
6 315 hab. (2021 en évolution de +1,01 % par rapport à 2015)
Densité 132 hab./km2
Population
agglomération
33 427 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 17″ nord, 2° 27′ 27″ est
Altitude Min. 566 m
Max. 844 m
Superficie 47,67 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Aurillac
(banlieue)
Aire d'attraction Aurillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Arpajon-sur-Cère
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Arpajon-sur-Cère
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Arpajon-sur-Cère
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Arpajon-sur-Cère
Liens
Site web arpajonsurcere.com

Arpajon-sur-Cère est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Localisation

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La commune de Arpajon-sur-Cère se trouve dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1]. Elle fait partie du Massif central, au sud-ouest des monts du Cantal, à la jonction des rivières Cère et Jordanne.

Elle se situe à 4,24 km par la route[Note 1] d'Aurillac[1], préfecture du département, et à 312,22 km de Lyon[2], préfécture de la région. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Aurillac et du canton d'Arpajon-sur-Cère dont elle est le chef-lieu[I 1].

Les communes les plus proches, les distances étant mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau, sont[3] : Aurillac (2,7 km), Vézac (5,1 km), Giou-de-Mamou (5,5 km), Yolet (6,6 km), Naucelles (6,8 km), Saint-Simon (7,1 km), Roannes-Saint-Mary (7,4 km) et Ytrac (7,5 km). Les communes limitrophes sont Aurillac, Giou-de-Mamou, Labrousse, Prunet, Roannes-Saint-Mary, Vézac et Ytrac.

Arpajon-sur-Cère est limitrophe de sept autres communes.

Communes limitrophes d'Arpajon-sur-Cère
Aurillac Giou-de-Mamou
Ytrac d'Arpajon-sur-Cère Vézac
Roannes-Saint-Mary Prunet Labrousse

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 282 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Aurillac à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 134,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records AURILLAC (15) - alt : 632m, lat : 44°53'29"N, lon : 2°25'09"E
Records établis sur la période du 01-08-1945 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,5 −0,8 1,7 4 7,6 10,7 12,5 12,4 9,1 6,9 2,8 0,3 5,6
Température moyenne (°C) 3,2 3,6 6,8 9,2 13 16,5 18,5 18,5 14,8 11,5 6,7 4 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,1 11,9 14,5 18,4 22,2 24,6 24,6 20,5 16,2 10,7 7,7 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−24,5
09.01.1985
−18
12.02.12
−15,2
05.03.1971
−9,1
12.04.1986
−2,5
05.05.1979
0,1
06.06.1989
2,4
03.07.1979
0,7
30.08.1986
−2,9
21.09.1977
−8,1
25.10.03
−11,6
30.11.1978
−15,9
24.12.01
−24,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
19,6
01.01.22
23,3
27.02.19
23,5
15.03.12
26,5
07.04.11
31,8
21.05.22
38,1
27.06.19
38
30.07.1983
37,7
04.08.03
33,5
12.09.22
31,2
01.10.23
23,2
06.11.1992
20,7
29.12.1983
38,1
2019
Ensoleillement (h) 1 053 1 266 1 761 1 853 2 113 2 435 2 722 2 579 2 109 1 532 1 038 1 002 21 464
Précipitations (mm) 90 76,5 79,4 108,5 107,4 82,3 70,8 88,4 106,9 100,5 117,8 106,2 1 134,7
Source : « Fiche 15014004 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Au , Arpajon-sur-Cère est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aurillac, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[11],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,4 %), prairies (26,1 %), forêts (23,5 %), zones urbanisées (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 3 308, alors qu'il était de 3 162 en 2014 et de 2 873 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 90,2 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 74 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 25,5 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Arpajon-sur-Cère en 2020 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) inférieure à celle du département (20,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation des résidences principales, 72,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,4 % en 2014), contre 70,6 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Arpajon-sur-Cère en 2020.
Typologie Arpajon-sur-Cère[I 2] Cantal[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 90,2 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,4 20,6 9,7
Logements vacants (en %) 5,4 11,7 8,2

Attesté sous les formes vicaria arpajonensis en 923[15], Arpaio en 1269.

Arpaionem serait un toponyme d'origine gauloise composé avec le mot arepo = charrue, mais on y reconnaît le nom de personne latin Harpagius suivi du suffixe -onem.

La Cère doit son nom à un pré-celtique ser « couler, se mouvoir rapidement et violemment ».

En dialecte carladézien, Arpajon se prononcerait Olpotsou, selon une forme relevée sur place en 2007.

Les Entreprises Dejou Féniès & fils & Lartigue y furent implantées au XXe siècle, fabriquant des objets en bois et surtout des jouets Dejou, très recherchés par les collectionneurs.

En 1921, la commune d'Arpajon change de nom pour Arpajon-sur-Cère afin de la distinguer de la commune d'Arpajon située dans l'Essonne[16]. Elle fait partie du canton d'Aurillac-Sud jusqu'en 1973, du canton d'Aurillac-III de 1973 à 1982 et du canton d'Arpajon-sur-Cère depuis 1982, dont elle est le chef-lieu, puis le bureau centralisateur.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune d'Arpajon-sur-Cère est membre de la communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Aurillac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Aurillac, à la circonscription administrative de l'État du Cantal et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Arpajon-sur-Cère pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription du Cantal pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].

Tendances politiques et résultats

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À l'élection municipale et communautaire de 2020, le vote a lieu au scrutin proportionnel compte tenu de la population de la commune en 2017 (6 217 habitants) ; il y a donc 29 postes de conseillers municipaux à pourvoir et 7 postes de conseillers communautaires. La liste d'Isabelle Lantuéjoul a obtenu la majorité au premier tour (61,01 % des voix) ; le taux de participation est de 56,52 % des votants[19].

Composition du conseil municipal en 2020[19],[20]
Nuance Liste conduite par Résultats 1er tour Sièges CM/CC
divers droite « Tout pour Arpajon » Isabelle Lantuéjoul 61,01 % 24 / 6
union de la gauche « Avançons pour Arpajon-sur-Cère » Michel Roussy 38,99 % 5 / 1

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1935 1940 Félix Ramond (1871-1961) Républicain Médecin-chef des hôpitaux de Paris et entrepreneur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 mars 1977 Robert Meyronneinc PS Médecin
Conseiller général d'Aurillac-III (1973 → 1982)
Conseiller général d'Arpajon-sur-Cère (1982 → 1983)
mars 1977 avril 2014 Roger Destannes PS Retraité
Adjoint au maire (1975 → 1977)
Vice-président de la CABA (2001 → 2014)
avril 2014 mai 2020 Michel Roussy PS Fonctionnaire retraité
Président de la CABA (2017 → 2020)
mai 2020 En cours Isabelle Lantuéjoul[21] LR Ancienne commerçante
Conseillère départementale d'Arpajon-sur-Cère (2015 → )
Vice-présidente du conseil départemental (2015 → )
6e vice-présidente de la CABA (2020 → )

Depuis 1972, Aurillac et sa voisine Arpajon-sur-Cère ont un comité de jumelage commun et sont conjointement jumelées avec :

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 6 315 habitants[Note 3], en évolution de +1,01 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8361 7282 0642 0432 2342 2922 3312 3502 271
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2722 2782 2252 1062 2282 2682 2422 2682 354
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4572 4502 5792 3322 4122 4672 5762 8242 891
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 0713 2774 2604 8665 2965 5455 8355 9346 053
2015 2020 2021 - - - - - -
6 2526 3136 315------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[25] 1975[25] 1982[25] 1990[25] 1999[25] 2006[26] 2009[27] 2013[28]
Rang de la commune dans le département 5 3 3 3 3 3 3 3
Nombre de communes du département 268 258 258 260 260 260 260 260

Pyramide des âges

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La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,1 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (26,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (33,4 %) est inférieur au taux départemental (36,6 %).

En 2021, la commune comptait 3 071 hommes pour 3 244 femmes, soit un taux de 51,37 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,1 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,8 
8,7 
75-89 ans
10,3 
22,3 
60-74 ans
23 
23 
45-59 ans
22,9 
16,9 
30-44 ans
16,3 
12,8 
15-29 ans
12 
15,8 
0-14 ans
13,7 
Pyramide des âges du département du Cantal en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
3,1 
10,1 
75-89 ans
13,5 
22,9 
60-74 ans
22,6 
21,8 
45-59 ans
20,5 
16,1 
30-44 ans
15,2 
13,8 
15-29 ans
11,9 
14,2 
0-14 ans
13,3 

Enseignement

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Arpajon-sur-Cère fait partie de l'académie de Clermont-Ferrand

L'éducation est assurée sur la commune par une école maternelle et une école primaire[30].

Culture et festivités

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Médiathèque

Activités sportives

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Tennis, centre aquatique, skate, BMX

Écologie et recyclage

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La Plantelière (parc et espaces naturels...)[31].

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération du bassin d'Aurillac[32].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église paroissiale Saint-Vincent
  • Barrière hameau où est né Louis Laparra de Fieux.
  • Pont de Cabrières, hameau et pont où il y avait un péage.
  • Château de Carbonat, privé.
  • Château de Conros où est né Robert d'Humières qui a traduit les œuvres de Rudyard Kipling dont le Livre de la jungle. Le château édifié vers 1130 par Astorg d'Aurillac se dresse sur un éperon rocheux qui domine une boucle de la Cère est inscrit aux monuments historiques depuis 1991. Le donjon flanqué d'un corps de logis et de deux tours rondes fut transformé à la Renaissance en une demeure de plaisance. Il abrite l'exposition Ode aux parfums et le musée des Arts et Traditions populaires de la vallée de la Cère. Le parc renferme des arbres centenaires et des fleurs odoriférantes[33].
  • Château de Ganhac, actuellement maison de maître, ancien fief adjugé en 1676 à Charles de Broquin, marié avec Jeanne de Cambefort.
  • Château de Montal, ancien fief avec chapelle castrale sous l'invocation de saint Michel dont est originaire la famille des seigneurs de Laroquebrou et de Conros. Appartenait ensuite à la famille de La Roque-Montal.
  • Château de La Prade, acheté en 1756 par Marie-Françoise de Broglie, veuve de Charles Robert de Lignerac, qui y fit des travaux considérables. Ruiné par la Révolution.

Plusieurs scènes du film Le Hobbit : Le Retour du roi du Cantal de Léo Pons y ont été tournées.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D’azur à la bande d’or accompagnée de six coquilles du même ordonnées en orle.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e f et g Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Arpajon-sur-Cère » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Arpajon-sur-Cère - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Arpajon-sur-Cère - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Cantal » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2021 - Commune d'Arpajon-sur-Cère (15012). », (consulté le ).

Autres références

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Arpajon-sur-Cère et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Arpajon-sur-Cère et Lyon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Arpajon-sur-Cère », sur villorama.com (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Arpajon-sur-Cère et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Aurillac », sur la commune d'Aurillac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Aurillac », sur la commune d'Aurillac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Aurillac », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Aurillac », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Albert Dauzat
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « communauté d'agglomération du Bassin d'Aurillac - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  18. « Découpage électoral du Cantal (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
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