SMS Regensburg — Wikipédia

Strasbourg

SMS Regensburg
illustration de SMS Regensburg
Le SMS Regensburg, état de 1918.

Autres noms Strasbourg
Type croiseur léger
Classe Classe Graudenz
Histoire
A servi dans  Kaiserliche Marine
 Marine nationale
Chantier naval AG Weser, Brême
Quille posée 1912
Lancement
Commission
Statut 1920 : récupéré par la France
1934 : retiré du service
1945 : sabordé par les Allemands
Équipage
Équipage 21 officiers
264 marins
Caractéristiques techniques
Longueur 142,7 m
Maître-bau 13,8 m
Tirant d'eau 5,75 m
Déplacement 4 912 tonnes
À pleine charge 6 382 tonnes
Propulsion 2 machines à vapeur
2 arbres
Puissance 26 000 ch
Vitesse 27,5 nœuds (50,9 km/h)
Caractéristiques militaires
Blindage Ceinture : 60 mm
Château : 100 mm
Pont : 60 mm
Armement Origine :
12 canons de 10,5 cm SK L/45
2 tubes lance-torpilles de 50 cm
Après refonte :
7 canons de 15 cm SK L/45
2 canons de 8,8 cm SK L/45
4 tubes de 50 cm
120 mines marines
Rayon d'action 5 500 miles à 12 nœuds
Pavillon France
Localisation
Coordonnées 47° 43′ 32″ nord, 3° 22′ 09″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Lorient
(Voir situation sur carte : Lorient)
SMS Regensburg
SMS Regensburg
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
SMS Regensburg
SMS Regensburg
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
(Voir situation sur carte : Bretagne (région administrative))
SMS Regensburg
SMS Regensburg

Le SMS Regensburg est un croiseur léger de classe Graudenz mis à l'eau en 1914 pour la Kaiserliche Marine. Sa construction commence en 1912 au chantier naval AG Weser à Brême. Lancé le , il intègre la Hochseeflotte en français : « flotte de haute mer » en janvier 1915. Nommé d'après la ville de Ratisbonne (en allemand, Regensburg), en Bavière, il est armé de douze canons de 10,5 cm et possède une vitesse maximale de 27,5 nœuds (50,9 km/h). En 1917, il est réarmé avec sept canons de 15 cm.

Le Regensburg participe avec la Hochseeflotte à la bataille du Jutland les et , où il mène la flottille de torpilleurs de reconnaissance du 1er groupe de reconnaissance commandé par Franz von Hipper. Après la Première Guerre mondiale, il est cédé à la France au titre d'indemnité de guerre et renommé Strasbourg. Il participe en 1925 à la guerre du Rif. En 1928, il prend part en Arctique aux opérations de sauvetage du dirigeable Italia. Retiré du service en 1936, il est utilisé comme barge à Lorient jusqu'en 1940, où il est capturé par les Allemands. Placé devant la base sous-marine de Lorient en 1944, il sert alors d'obstacle aux attaques de torpilles. Il est sabordé au même endroit peu avant la libération de la ville en 1945.

Caractéristiques

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Le Regensburg est commandé sous le nom de code « Ersatz Irene » et sa construction commence en 1912 au chantier naval AG Weser à Brême, avant qu'il ne soit lancé le . Le maire de Regensburg, Hofrat Josef Bleyer, baptise alors le navire, qui entre en service dans la Hochseeflotte le [1],[2]. Le navire possède une longueur hors-tout de 142,7 mètres, un maître-bau de 13,8 mètres et un tirant d'eau de 5,75 mètres. Son port en lourd est de 6 382 tonnes[3]. Son système de propulsion consiste en deux turbines à vapeur délivrant une puissance de 26 000 chevaux à deux hélices de 3,5 mètres. Alimentées par dix chaudières à charbon et deux à mazout (le mazout étant plus efficace, mais plus difficile à importer), elles permettent au navire de filer jusqu'à 27,5 nœuds (50,9 km/h). Le Regensburg peut transporter jusqu'à 1 280 tonnes de charbon et 375 tonnes de fioul qui lui permettent d'avoir un rayon d'action d'environ 5 500 milles marins (10 000 km) à une vitesse de 12 nœuds (22 km/h). L'équipage est composé de 21 officiers et de 364 marins[1].

Le Regensburg est armé de douze canons de 10,5 cm SK L/45 montés sur tourelle simple. Deux sont placés côte à côte devant le gaillard d'avant, huit au milieu, et deux à l'arrière en position de tir superposé[4]. Ces canons ont une élévation maximum de 30°, ce qui leur permet d'engager des cibles jusqu'à une distance de 12 700 m[5], et une élévation minimum de -10°, permettant au Regensburg de se défendre en combat rapproché. Ils seront remplacés en 1915[6] par sept canons de 15 cm SK L/45 et deux canons de 8,8 cm SK L/45 antiaériens. Il est aussi équipé d'une paire de tubes lance-torpilles de 500 mm d'une capacité de cinq torpilles, chacun étant immergé de chaque côté de la coque du navire. Plus tard, quatre lanceurs sont rajoutés sur le pont et les lanceurs immergés sont retirés. Le Regensburg peut aussi transporter 120 mines marines. Il est protégé par une ceinture de blindage de 60 mm située au niveau de la ligne de flottaison, le château possède un blindage de 100 mm, et le pont en est couvert de 60 mm[7].

Service pour l'Allemagne

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Premières opérations

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Le Regensburg finit ses essais le , puis est assigné au 2e groupe de reconnaissance. Onze jours plus tard, il bombarde les positions russes près de Palanga avec l'aide des croiseurs SMS Stralsund et SMS Rostock. L'opération dure jusqu'au [2]. Le capitaine Hans Zenker propose alors que le Regensburg et le paquebot SS Cap Polonio (qui doit être pourvu de canons de 15 cm) soient envoyés dans l'Atlantique pour harceler les navires de commerce, en remplacement des croiseurs détruits quelques mois plus tôt. Le commandant de la flotte, l'amiral Friedrich von Ingenohl, rétorque que les navires seront coulés tout comme leurs prédécesseurs, et que le peu de succès rencontré ne contrebalancera pas la perte d'un croiseur léger moderne et d'un paquebot lourd. L'idée est alors abandonnée[8]. Les 17 et , le Regensburg prend part à une opération de mouillage de mines au large du Dogger Bank. Le , il retourne dans la Baltique pour pilonner des positions russes, cette fois sur l'île de Hiiumaa : le phare de Saint-Andréasberg et la station du cap Ristna. En septembre, il prend part au nettoyage des mines britanniques dans le Skagerrak et le Kattegat, et continue début 1916 jusque dans la mer du Nord. Les 23 et , il participe au bombardement de Yarmouth et de Lowestoft mené par les croiseurs du 1er groupe de reconnaissance de l'amiral von Hipper, alors remplacé par l'amiral Scheer[2],[9].

Bataille du Jutland

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Carte des manœuvres Britanniques fin mai 1916, lors de la bataille du Jutland.
Cartes montrant les manœuvres des Britanniques (en bleu) et des Allemands (en rouge) les 30 et 31 mai 1916.

En , l'amiral Reinhard Scheer, commandant de la flotte, décide d'attirer une partie de la flotte britannique hors de ses bases afin de la détruire avec l'aide de la totalité de sa flotte de haute mer. Pour cette opération, le Regensburg, commandé par le commodore Paul Heinrich, a pour rôle de mener les flottilles de torpilleurs qui protègent les croiseurs de bataille du 1er groupe de reconnaissance. L'escadre quitte la rade de la Jade le vers h 0 du matin, en direction des eaux du Skagerrak. Le gros de la flotte les suit à une heure et demie d'écart[10]. Aux alentours de 15 h 30, le croiseur rencontre la 1re escadre de croiseurs de bataille britannique, et engage le combat. Le Regensburg est hors de portée et met la vapeur pour rejoindre la tête de la ligne de bataille[11]. Alors que le navire n'a pas encore rejoint son poste, les navires britanniques ouvrent le feu sur les croiseurs allemands. Ceux-ci sont alors situés entre les Britanniques et le Regensburg, qui se trouve à environ 2 000 m en arrière. L'équipage se rend alors compte que les obus ennemis passent bien au-dessus de leur cible, rendant leur situation bien plus inconfortable que celles des croiseurs que les Anglais visent pourtant[12]. Vers 17 h 10, le Regensburg rejoint son poste, et le HMS Tiger tire alors quelques salves sur lui, le prenant pour un croiseur lourd[13].

Alors que les escadres de croiseurs se rapprochent, le Regensburg ordonne aux torpilleurs de lancer une offensive générale sur la flotte britannique. Les Britanniques font de même avec leurs destroyers, ce qui engendre une bataille rangée entre les deux escadres de destroyers, soutenues par leurs croiseurs légers et l'artillerie secondaire des croiseurs de bataille[14]. Peu après 19 h 0, le Regensburg mène une attaque sur le croiseur Canterbury et quatre destroyers. Il met hors d'état de nuire le Shark, qui est coulé peu après par une torpille allemande[15], avant de concentrer son feu sur le Canterbury, qui bat en retraite dans la brume[16]. À 20 h 15, les deux flottes principales étant engagées dans la bataille et Scheer cherche à battre en retraite. Il ordonne alors au 1er groupe de reconnaissance de charger la ligne britannique, pendant que le reste de l'escadre se retire. Cette retraite est de plus couverte par une attaque massive des torpilleurs, qui force les Britanniques à se retirer eux aussi. Le Regensburg et son groupe reçoivent alors l'ordre de passer à l'attaque, mais le 1er groupe de reconnaissance leur est passé devant et ils réalisent que les Britanniques ont battu en retraite, hors de portée de leurs torpilles[17].

Après le succès de sa retraite, Scheer ordonne au Regensburg d'organiser trois groupes de torpilleurs afin d'attaquer la flotte britannique durant la nuit[18]. Vers 21 h 10, Heinrich dépêche la 2e flottille et la 12e demi-flottille depuis l'arrière-garde allemande afin d'attaquer la formation britannique[19]. Durant la nuit, la Hochseeflotte réussit à contourner la flotte ennemie et atteint Horns Rev le 1er juin vers h 0[20]. À h 45, le Regensburg et trois torpilleurs font demi-tour afin de rejoindre les torpilleurs transportant l'équipage du Lützow, sabordé à la fin de la bataille[21]. Seuls trois croiseurs rapides survivent à cette bataille, le Frankfurt, le Pillau et le Regensburg[22]. Celui-ci sort totalement indemne de l'affrontement, en ayant tiré 372 obus de 10,5 cm[23].

Opérations ultérieures

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En 1917, le Regensburg se voit assigner au 4e groupe de reconnaissance, en compagnie du Stralsund et du Pillau. Fin octobre, le 4e groupe de reconnaissance vogue vers Pillau, arrivant le 30. En compagnie des cuirassés de la 1re escadre, ils doivent remplacer les navires lourds de la flotte venant de participer à l'opération Albion, qui consistait en la reconquête des îles du golfe de Riga. Cependant, une récente tempête ayant pu accidentellement libérer des mines force le haut commandement à annuler la mission. Le , celui-ci ordonne alors au Regensburg et au reste du 4e groupe de reconnaissance de retourner en mer du Nord[24].

En , le Regensburg est le navire amiral du commodore Johannes von Karpf, commandant du 4e groupe de reconnaissance. Celui-ci se prépare alors à une attaque cruciale avec la Hochseeflotte[25]. Les amiraux Reinhard Scheer et Hipper ont l'intention d'infliger autant de dommages que possible à la Royal Navy, afin d'être en meilleure position lors d'une éventuelle reddition, et ce quel que soit le coût humain et matériel à payer[26]. Le matin du , quelques jours avant le début de l'opération, Karpf ordonne à l'équipage du Regensburg de procéder à l'approvisionnement du bateau en charbon et en pétrole. Une division entière de marins refuse alors d'exécuter les ordres, ainsi qu'un quart entier du personnel de la salle des machines, qui met son habit de sortie et refuse d'obéir. Le premier lieutenant arrête alors le meneur de la mutinerie, après quoi l'équipage retourne à son travail[27]. Le matin du , l'ordre est donné de partir de Wilhelmshaven. Durant la nuit suivante, des marins du Thüringen et de nombreux autres navires se mutinent[28]. Ces troubles obligent Hipper et Scheer à annuler l'opération[29].

Alors que la mutinerie prend de l'ampleur, le Regensburg est envoyé à Swinemünde, où il arrive le [30]. Cette nuit-là, de faux rapports parviennent à Karpf concernant des torpilleurs aux mains de révolutionnaires communistes prêts à attaquer la flotte allemande. Il ordonne aux marins de désarmer leurs navires ; les documents confidentiels sont détruits et les salles des munitions sont inondées. Quand le commandant de la flotte apprend la nouvelle, il relève Karpf de ses fonctions et le remplace par le commodore Rohardt, qui prépare le renflouement des navires. Durant cette opération, le 4e groupe de reconnaissance rejoint Stettin. Cependant, l'abdication de Guillaume II, le , empêche Rohardt de faire flotter le pavillon impérial sur ses navires. Par conséquent, il retire du service le Regensburg et le Brummer. Un nouvel officier arrive alors à Stettin afin de prendre le commandement du Regensburg mais il a peu d'officiers sous ses ordres et aucun équipage[31]. En , le Regensburg escorte le cuirassé britannique HMS Hercules qui transporte la Commission alliée à Kiel[32].

Service pour la France

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Récupération comme dommage de guerre et débuts

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Après la fin de la guerre, le Regensburg sert dans la toute jeune Reichsmarine, jusqu'au début de 1920. Il est rayé des listes le et retiré du service[3] le . En application du traité de Versailles, et au titre de dommages de guerre, la France se voit attribuer par tirage au sort le navire dans un lot de cinq croiseurs légers et de dix contre-torpilleurs parmi les navires livrés par l'Allemagne aux Alliés[33].

Le , le navire est remis aux Alliés dans le port de Cherbourg et transféré sous le nom de J dans la Marine nationale française. Il est alors renommé Strasbourg et mis en service[3]. Il est envoyé à Brest où il arrive le pour y être armé[33].

Son port d'attache est dans un premier temps Brest jusqu'en 1922, puis il est affecté à Toulon de 1923 à 1926, avant d'être réaffecté à Brest jusqu'à la fin de son service actif[33]. En 1925, il est entièrement refait et atteint les 26 nœuds (48,2 km/h) lors des essais[34].

Il participe lors de ses premières années de service pour la marine française à différentes opérations. Il est ainsi impliqué dans la guerre du Rif : le , avec le cuirassé Paris et le croiseur Metz, il apporte un appui-feu important au débarquement de troupes françaises en Afrique du Nord[35]. Il est aussi envoyé en Grèce après le séisme de 1928 de Corinthe afin de porter assistance à la population. Une opération internationale est montée pour venir en aide aux 15 000 sinistrés, et la France envoie ce navire ainsi que le torpilleur Mistral. Il revient le de la même année à Quiberon mais est envoyé d'urgence à Brest pour une opération de longue durée[36].

Recherche de l’Italia

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Le Strasbourg participe à la campagne de recherche de l'Italia de Umberto Nobile à partir de mi-1928, un ballon dirigeable qui s'est écrasé dans la région arctique du Svalbard[37]. La France fournit dans un premier temps à l'explorateur Roald Amundsen un hydravion militaire à long rayon d'action Latham 47 pour retrouver les disparus ; parti le de Caudebec-en-Caux avec un équipage comptant entre autres quatre militaires français, le contact est perdu à partir du . Il est alors ordonné au Strasbourg de faire route vers l'Arctique pour retrouver l'hydravion et son équipage[36].

Il rejoint Tromsø le et commence alors une opération qui va durer cinq mois et lui faire parcourir 33 000 milles. Le bateau n'est pas conçu pour pouvoir briser la glace, obligeant à plusieurs reprises l'équipage à positionner des pièces de bois entre la glace et la coque du navire pour lui permettre d'évoluer dans cet environnement. Il reçoit un ravitaillement du pétrolier-ravitailleur Durance le qui lui fournit par ailleurs deux hydravions FBA 17. Plus d'un mois après la disparition, il ne s'agit plus de retrouver des survivants mais l'épave du Latham 47. L'un de ses flotteurs est retrouvé le , confirmant sa disparition en mer[36].

L'ordre de fin de mission arrive le 17 septembre, et après une escale à Reykjavik, le Strasbourg rentre au port de Brest à la mi-octobre[36].

Fin du navire

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Photo contemporaine de l'épave du Regensburg dans la rade de Lorient.
L'épave du Regensburg devant la base sous-marine de Lorient.

Il continue son service à Brest jusqu'en 1930, date à laquelle il est mis en réserve. Il est renommé Strasbourg II lorsque le Strasbourg est mis en chantier. Désarmé le , il est amené au cimetière pour bateaux de Landévennec en décembre de la même année. Il est ensuite affecté à Lorient où il arrive le et est utilisé comme ponton[36].

La marine allemande récupère le navire lorsque les Allemands investissent Lorient fin juin 1940. Le navire continue dans un premier temps à être utilisé comme ponton, puis il est positionné en face des hangars de sous-marins de la base sous-marine de Lorient afin de protéger l'accès à celle-ci du largage de torpilles. Il est alors équipé de mâts soutenant des filets ainsi que de ballons de barrage. Il est sabordé à ce même emplacement par la Kriegsmarine peu avant la libération de la ville en 1945[36].

L'épave est depuis disposée au même endroit dans la rade de Lorient et est visible à marée basse[38].

Notes et références

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(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « SMS Regensburg » (voir la liste des auteurs).
  1. a et b Gröner 1990, p. 109-110
  2. a b et c Hildebrand, Röhr et Steinmetz 1993, p. 60
  3. a b et c Gröner 1990, p. 110
  4. Gardiner et Gray 1985, p. 161
  5. Gardiner et Gray 1985, p. 140.
  6. « Regensburg Technical Data », sur german-navy.de (consulté le )
  7. Gröner 1990, p. 109
  8. Woodward 1973, p. 35.
  9. Massie 2003, p. 558.
  10. Tarrant 1995, p. 62.
  11. Tarrant 1995, p. 75.
  12. Tarrant 1995, p. 90.
  13. Tarrant 1995, p. 99.
  14. Tarrant 1995, p. 102.
  15. Massie 2003, p. 608.
  16. Tarrant 1995, p. 130-131.
  17. Tarrant 1995, p. 181-185.
  18. Tarrant 1995, p. 186-187.
  19. Tarrant 1995, p. 202.
  20. Tarrant 1995, p. 246-247.
  21. Tarrant 1995, p. 260.
  22. Massie 2003, p. 649.
  23. Tarrant 1995, p. 292, 296.
  24. Staff 2008, p. 146-147.
  25. Woodward 1973, p. 118-119.
  26. Tarrant 1995, p. 280-281.
  27. Woodward 1973, p. 119.
  28. Tarrant 1995, p. 281-282.
  29. Tarrant 1995, p. 282
  30. Woodward 1973, p. 165.
  31. Woodward 1973, p. 166.
  32. Hildebrand, Röhr et Steinmetz 1993, p. 62.
  33. a b et c Maurette et Moriceau 2011, p. 18
  34. Gardiner et Gray 1985, p. 201.
  35. Álvarez 2001, p. 185.
  36. a b c d e et f Maurette et Moriceau 2011, p. 19
  37. Chicago Daily News 1929, p. 443.
  38. Maurette et Moriceau 2011, p. 20

Bibliographie

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  • (en) José E. Álvarez, The Betrothed of Death : The Spanish Foreign Legion During the Rif Rebellion, 1920–1927, Westport, CT, Greenwood Press, coll. « Contributions in comparative colonial studies » (no 40), , 282 p. (ISBN 978-0-313-30697-6, OCLC 723677236)
  • (en) Robert Gardiner et Randal Gray, Conway's All the World's Fighting Ships (1906-1921), [détail de l’édition]
  • (en) Erich Gröner et al. (ill. Erich Grèoner, Peter Mickel and Franz Mrva), German Warships : 1815–1945, Annapolis, Naval Institute, (ISBN 978-0-87021-790-6, OCLC 861763535)
  • (de) Hans H. Hildebrand, Albert Röhr et Hans-Otto Steinmetz, Die Deutschen Kriegsschiffe, vol. 7, Ratingen, Allemagne, Mundus Verlag,
  • (en) Robert K. Massie, Castles of Steel : Britain, Germany and the winning of the Great War at sea, Londres, Vintage Random House, (1re éd. 2003), 865 p. (ISBN 978-0-09-952378-9)
  • (en) Gary Staff, Battle for the Baltic Islands : Triumph of the Imperial German Navy., Barnsley, South Yorkshire, Pen & Sword Maritime, , 178 p. (ISBN 978-1-78303-318-8 et 978-1-783-03316-4, OCLC 854586173, lire en ligne)
  • (en) V. E. Tarrant et Roger Chesneau, Jutland : The German Perspective, Londres, Cassell Military Paperbacks, , 350 p. (ISBN 978-0-304-35848-9, OCLC 969772887)
  • (en) David Woodward, The Collapse of Power : Mutiny in the High Seas Fleet, London, UK, Arthur Barker Ltd, , 240 p. (ISBN 978-0-213-16431-7, OCLC 632512733)
  • (en) « The Daily News Almanac and Political Register », Chicago Daily News, Chicago, Chicago Daily News Co., vol. 45,‎ (OCLC 7509776)
  • Jean-Louis Maurette et Christophe Moriceau, Épaves en baie de Lorient, Gourin, Éditions des Montagnes Noires, , 92 p. (ISBN 978-2-919305-07-0)

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Articles connexes

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Liens externes

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