Sadirac — Wikipédia

Sadirac
Sadirac
La mairie.
Blason de Sadirac
Blason
Sadirac
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes du Créonnais
Maire
Mandat
Patrick Gomez
2020-2026
Code postal 33670
Code commune 33363
Démographie
Gentilé Sadiracais
Population
municipale
4 687 hab. (2021 en évolution de +13,79 % par rapport à 2015)
Densité 245 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 46′ 58″ nord, 0° 24′ 19″ ouest
Altitude Min. 31 m
Max. 112 m
Superficie 19,11 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Créon
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Sadirac
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Sadirac
Liens
Site web www.mairie-sadirac.fr/

Sadirac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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La commune de Sadirac se situe à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux, dans l'aire d'attraction de Bordeaux et en 2020 elle intègre son unité urbaine, au cœur de la région naturelle de l'Entre-deux-Mers. Sadirac a la superficie la plus étendue du canton de Créon et de la communauté de communes du Créonnais.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Camarsac au nord sur moins de 100 mètres, Le Pout au nord-nord-est, Cursan au nord-est, Créon à l'est, Saint-Genès-de-Lombaud au sud-est, Madirac au sud, Saint-Caprais-de-Bordeaux au sud-ouest, Lignan-de-Bordeaux à l'ouest et Loupes au nord-ouest.

Communes limitrophes de Sadirac[1]
Loupes Camarsac Le Pout                              
Cursan
Lignan-de-Bordeaux Sadirac[1] Créon
Saint-Caprais-de-Bordeaux Madirac Saint-Genès-de-Lombaud

Hydrographie

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Sadirac est traversée par la Pimpine qui se jette dans la Garonne et dont les deux principaux affluents, sur la commune, sont Le Gouchebouc et Le Ruzat.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 913 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Sadirac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (23 %), cultures permanentes (18,2 %), zones urbanisées (15,4 %), prairies (4,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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Sadirac est située sur un grand axe reliant la métropole bordelaise à Créon et l'Entre-deux-Mers. Elle possède un réseau routier dense, 55 kilomètres de voirie.

La RD 671 relie la RD 936 (axe Bordeaux-Branne) à l'Entre deux Mers en passant par les villes importantes (Créon, Targon, Sauveterre-de-Guyenne) et Sadirac avec un trafic de 10 000 véhicules par jour.

La RD 14 relie la RD 10 (Bordeaux-Langon) de Latresne/Camblanes-et-Meynac à Créon en longent les limites territoriales de Sadirac

La RD 115 relie le centre-ville de Fargues-Saint-Hilaire au centre-ville de Sadirac. La RD 115 E8 fait la jonction entre la RD 671 et la RD 115

Les autres routes sont secondaires et moins importantes.

La commune est desservie par un réseau de transports en commun appelé « TransGironde ». Ce réseau regroupant toutes les communes de Gironde est indépendant de la métropole de Bordeaux qui a un réseau particulier.

Sadirac a donc quatre lignes de bus régulières (toute l'année) et une ligne de transport scolaire :

  • la ligne 404 (Bordeaux-Créon) traverse la commune d'est en ouest par le quartier de Lorient et le centre-ville: RD 671, 115E8 et 115 ;
  • la ligne 403 (Bordeaux-Sauveterre/Targon/Créon) longe la commune sur la RD14 ;
  • la ligne 406 (CHU Bordeaux-Pellegrin/Campus-Créon) longe la commune sur la RD14 ;
  • la ligne car express (Bordeaux-Créon) est une ligne de bus interurbain express régional qui traverse la commune sur la RD671, l’unique arrêt sur la commune et à Lorient.
  • la ligne 4021 (Bordeaux-Lorient/Sadirac) dérivée de la 402 qui ne passe qu'en période scolaire via la RD 936.

Ces quatre lignes sont connectées au réseau « Transport Bordeaux Métropole » à la place Stalingrad au centre-est de Bordeaux, au campus et au CHU et au centre-ville de Bordeaux (Hôtel de ville, palais de justice). Le réseau permet de se rendre aux plages de la côte Aquitaine de l'océan et du Bassin d'Arcachon par les lignes d'été du réseau.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sadirac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sadirac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 642 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 642 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1985, 1999, 2009 et 2021, par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Origine du nom Sadirac : les noms en ac sont d’origine celtique (a-Kos). Ce suffixe a pu être latinisé du IIe au IVe siècle en acum. Le préfixe lui serait romain et affirme une notion d’appartenance qui peut venir d’un Romain, Satirus. Étymologiquement, le nom peut être Saliriacus. Certaines autres hypothèses font valoir une origine venant de l’ancien français Sade (agréable).

En gascon, la graphie du nom de la commune de Sadirac est identique. Le quartier "Le Casse" signifie le chêne en gascon, il abrite un four potier du XVIIIe siècle.[réf. nécessaire]

Depuis l'Antiquité, Sadirac connaît le savoir-faire potier. Ce savoir-faire a fait sa renommée et sa puissance au-delà des frontières de l'Aquitaine et de France et jusqu'en Angleterre et dans les Antilles. Au XVIIIe siècle, l'industrie potière sadiracaise atteint son apogée, le port de Bordeaux exporte aux Antilles cette poterie pour transporter de la canne à sucre et la stocker (pains de canne à sucre), à cette époque la commune de Sadirac abritait au moins 1 potier dans chaque famille. Plusieurs entreprises de poterie prospèrent jusque dans les années 50-60 et ferment dans les années 80. Aujourd'hui, le musée de la poterie raconte cette histoire, avec une collection d'objets issues de fouilles archéologiques effectuées sur la commune.

Deux dynasties régnaient sur Sadirac : les Laurian et les Sadirac qui, toutes deux, s'éteignirent très vite[Quand ?] et laissèrent au comte de Tustal la direction de la commune. Ces dynasties vendirent ou donnèrent à la puissante abbaye de La Sauve-Majeure des terres situées sur la commune. Après le mariage de la grande et puissante Aliénor d'Aquitaine, duchesse d'Aquitaine et comtesse de Poitiers (ancienne reine de France) avec le duc de Normandie et roi d'Angleterre Henri II Plantagenêt l'Aquitaine connaît pendant trois siècles l'occupation anglaise. Les rois britanniques étendent leur influence sur le territoire aquitain. En Entre-deux-mers les seigneurs sadiracais (dynasties des Sadirac et Laurian et celle du Comte de Tustal) s'allient à ladite abbaye afin de contrer les prétentions et la puissance de la bastide de Créon voulue par le roi d'Angleterre Edouard II aussi duc d'Aquitaine. En 1315, le roi-duc demande à son sénéchal d'Aquitaine (Guyenne) Amaury III de Craon -qui est aussi sénéchal d'Anjou pour le compte du roi de France- de créer la prévôté de Créon. Cette bastide représente le roi anglais dans la région de l'Entre-deux-mers et permet détendre son influence. Il s'attire donc les foudres de l'Église et des seigneurs Sadiracais qui se méfient du roi. Afin d'éviter une révolte, la bastide est très petite et n'empiète pas sur les voisins sadiracais et sauvois mais le marché de Créon devient important et est encore actuel aujourd'hui. Cependant, Sadirac n'a pas perdu de son influence et devient concurrente de Créon. L'industrie sadiracaise se développe autour du vin et de la poterie en direction du port de Bordeaux et de l'Angleterre tandis que Créon préfère se tourner vers le commerce de marchandise et d'alimentation. Le contrôle du territoire est exercé par le prévôt de Créon ce qui en fait la "capitale" de l'entre-deux-mers du Moyen Âge mais Sadirac et l'abbaye de La Sauve-Majeure n'acceptaient pas trop ce contrôle de la monarchie britannique sur leurs terres.[réf. nécessaire]

La lignée des Sadirac[19]

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Le premier personnage à porter le nom de « Sadirac » apparaît, entre 1106 et 1119, il s'agit d'Arnaldus Raimundi de Sadirac -(17).

Il donne à l’Abbaye de la Sauve-Majeure une portion de terre située à Labatut, nom qui rappelle sans doute l'emplacement d'un bois abattu ; Arnaud de Sadirac apparaît à nouveau en 1111 dans une donation en faveur de l’abbaye Sainte-Croix de Bordeaux.

Ce personnage a eu plusieurs enfants dont une fille, son gendre était prénommé Raymond. Un de ses héritiers portait le même prénom que lui puisqu'entre 1182 et 1194 un autre Arnaud Raymond de Sadirac cède une terre à l’abbaye de la Sauve Majeure située au lieu-dit Mazères -(18). Ce terme qui s'emploie généralement au pluriel désigne des décombres ou des ruines de bâtiment. On ne remarque pas ce toponyme à Sadirac mais dans la paroisse de Camarsac, à côté du lieu appelé Labatut, concerné par une des donations précédentes.

D'autres personnages portant le nom de Sadirac apparaissent dans des actes du XIIe siècle. L'un d'eux est prêtre, il s'agit de Robert de Sadirac -(19). Au moment de faire revêtir l'habit religieux à son fils Gaucem, il donne à l'abbaye Sainte-Croix de Bordeaux plusieurs terres et vignes à Sadirac. Un de ses héritiers apparaît dans un acte du dans lequel : « R.Gaucem, fils de feu R.Gaucem de Sadirac, vend à Bertrand De La Roque, prieur de Sadirac, la moitié d'un pré situé à Sadirac, près du clos de feu G, Gaucem » -(20).

Carte

Il semble qu'il y ait une certaine fiabilité dans la possession d'un ou de plusieurs fiefs par Robert, Gaucem de Sadirac et ses héritiers, pendant au moins un siècle.

Dans un acte de 1140-1155, Bertand De Sadirac se donne à l'Abbaye de la Sauve-Majeure. Avec ses frères Oliver et Guillaume Seguin, ils abandonnent, après l’avoir contestée, une terre située dans le casai des moines à Durfort, plus la moitié d'une vigne devant la porte de ce même casai -(21).

On retrouve un nommé Guillaume Seguin dans une vente du I -(22). Puis on apprend dans un acte du l -(23) que Bernard Seguin est recteur de l’église de Sadirac ; il est à nouveau cité le l -(24)en tant que prêtre de Sadirac. Ces deux personnages sont peut-être les héritiers de Bertrand de Sadirac ou de ses frères Olivier et Guillaume Seguin.

À la fin du XIIe siècle, on apprend qu'Arnaud-Raymond de Sadirac a un cousin nommé Raymond de Moncuq. Peu après la donation d'Arnaud de Sadirac, celui-ci donne son alleu au même endroit avec un homme nommé Jean Bazin. Le premier personnage à porter le nom de « Moncuq » apparaît dans un acte daté entre 1140 et 1155 : «Arnaud de Moncuq cède à l'abbaye de la Sauve-Majeure une terre située au lieu appelé Durfort » -(25).

La famille de Moncuq a laissé son nom au fief qu'elle possédait à Sadirac. En effet, le Bertrand De La Roque achète le ténement de Mont-Cuc. Ces trois familles ; les Sadirac, les Seguin et les Moncuq semblent étroitement liées et sont installées dans la paroisse de Sadirac depuis la première moitié du XIIe siècle.

D'autres citoyens sadiracais identifiés

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Arnaud Raymond de Sadirac, Guillaume Boueu Cler (1429), Joseph Sadirac (1691/92), Jean Le Duc régent (1609)

(17)Cartulaire de la Sauve Majeure - Pièce n°307 (1106-1119).

(18)Cartulaire de La Sauve Majeure. Pièce n°317 (1182-1194).

(19)A.G.H. Tome XXVII Pièce n°125 (XIIe siècle).

(20)A.H.G. Tome XXVH Pièce n° 182 ().

(21)Cartulaire de La Sauve Majeure Pièce a° 324 (1126-1155).

(22)A.H.G. Tome XXVII Pièce n° 180 ().

(23)Sainte Croix : H409 Pièce n° 14 ().

(24)Sainte Croix H1044 Pièce n°23 acte 32 ().

(25)Cartulaire de La Sauve Majeure Pièce n°325 (1140-1155).

Chemin de fer

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Sadirac au temps du chemin de fer

Durant une partie du XIXe siècle et du XXe siècle, Sadirac avait une ligne de chemin de fer qui reliait Bordeaux à Espiet (carrières) pour alimenter les usines ayant besoin de matériaux.

Le projet de ligne Bordeaux-La Sauve émerge en 1866. Le , le voyage inaugural est annoncé au départ de la Sauve. La ligne traversait l'entre-deux-mers par Latresne, Cénac, Sadirac, Créon et la Sauve parmi les plus importantes. Sur les wagons du train figure la totalité du nom des stations où le train passe. Chacune de ces villes possédait une gare. Ces gares servaient de halte pour les marchandises, on y ajoutait ou on enlevait les marchandises provenant des différentes communes.
La ligne surnommée le train de l'entre-deux-mers était fréquentée par des voyageurs qui pouvaient ainsi se déplacer de ville en ville. Ceci étant un privilège pour l'époque car même à Bordeaux il n'existait pas de lignes régulières partout. L'engouement étant tellement fort que les habitants de Madirac, Saint-Genès-de-Lombaud et Sadirac ont fait une pétition afin de créer une gare intermédiaire entre Sadirac et Créon. Ayant eu gain de cause, la gare nouvellement créée s'appelait "Barrière 74" au lieu-dit Calamiac à Sadirac. le trafic voyageur s'effectuait par des trains légers à raison d'une desserte journalière en 1re, 2e et 3e classes. La ligne fut fermée au transport de voyageurs en au moment de l'instauration du régime de Vichy et l’Occupation allemande. Dès lors, l'activité unique sera le transport de marchandises. En 1979, la ligne est arrêtée après la fermeture de la cimenterie d'Espiet.

À notre époque, la ligne a été aménagée en piste cyclable appelée Roger Lapébie du nom d'un cycliste originaire de la région. Toute l'année, cette piste est empruntée par des milliers de personnes. Les gares ont été reconverties en office de tourisme (Créon), en restaurant (Lignan-de-Bordeaux et Espiet), gîte collectif (Citon-Cenac) ou en Maison du patrimoine naturel à Sadirac.

Château Le Grand Verdus.

Il y a aujourd'hui à Sadirac une quinzaine de châteaux dont les plus importants sont le château de Tustal et le château du Grand Verdus. Le riche armateur Bernard Journu-Aubert achète le château de Tustal en 1791, et commence une exploitation de moutons mérinos qui ne prospère pas. Il devient, sous Napoléon Ier, comte de Tustal et d'Empire et pair de France. À la même époque, Claude Deschamps, architecte des ponts de pierre de la région (Bordeaux et Libourne entre autres), achète le château Le Grand Verdus ; leurs descendants communs sont la famille Le Grix de la Salle.

C'est probablement au souvenir des Laurian qu'on doit le nom du gros hameau de Lorient, situé sur la RD671 à 3,5 km de Créon et 4 km de Sadirac.

Politique et administration

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La mairie.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1990 Charles Jaubert    
1990 1995 Pierre Bosc    
1995 2001 Yves Chassagne    
mars 2001 mars 2008 Roland Ferredj DVD  
mars 2008 16 septembre 2013 † Jacky Verdier UMP  
décembre 2013 mars 2014 Alain Stival DVD Ancien premier adjoint
30 avril 2014 15 Mars 2020 Daniel Coz LREM Cadre supérieur
2020 En cours Patrick Gomez DVD  

Arrondissement, canton, intercommunalité

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La commune de Sadirac fait partie de l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune demeure dans le canton de Créon remodelé[20],[21]. Sadirac fait également partie de la communauté de communes du Créonnais dont le siège est à Créon et membre du Pays du Cœur de l'Entre-deux-Mers.

Instances judiciaires et administratives

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  • Police municipale de la commune ;
  • Brigade de gendarmerie de Créon ;
  • Caserne de sapeurs-pompiers de Créon.

Population et société

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Les habitants sont appelés les Sadiracais[22].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 4 687 habitants[Note 4], en évolution de +13,79 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0489231 0811 0771 0871 1381 1011 1061 140
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0431 1051 1081 0851 0741 0851 0721 030984
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0301 0541 019972920870898885868
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9211 0431 2062 1162 8993 0223 3573 3723 501
2015 2020 2021 - - - - - -
4 1194 6264 687------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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  • École maternelle Pierre-Perret au centre-ville
  • École élémentaire Marie-Curie au centre-ville
  • École primaire (maternelle et élémentaire) Théodore-Monod dans le quartier de Lorient
  • Un futur lycée de "l'Entre-deux-mers" général et technologique, professionnel avec internat d’une capacité de 1500 élèves est prévue à Créon aux limites communales de Sadirac pour 2023.

Manifestations culturelles et festivités

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  • « Silver Tiag », festival musique country ;
  • « Sadirock », festival rock ;
  • Championnat du monde de lancer de cruche, annuellement le 1er dimanche de septembre ;
  • Trail des coteaux.
  • Festival International de la Céramique
  • La Piste Gourmande
  • Le Créonnais fête les vins de l'Entre-deux-Mers
  • Fête locale de Sadirac
  • Fête locale de Lorient
  • Etape du festival Ouvre La Voix

Drapeau de l'Espagne Espagne, Cabrales (Principauté des Asturies)

  • Centre hospitalier universitaire de Bordeaux
  • hôpital de Libourne
  • Centre médical de "la Poterie" au centre-ville avec trois médecins, un dentiste et une infirmière
  • Infirmiers à Sadirac
  • Un kinésithérapeute
  • une ostéopathe
  • une pharmacie au centre-ville
  • USS : Union Sportive Sadiracaise (rugby, football, danse, gym, rumba, tennis, judo)
  • US SADIRAC Rugby et le Rugby Club de la Pimpine
  • Stade municipal Guyot de Villeneuve (football et rugby)
  • Stade d'entraînement rugby
  • Skate Park de Sadirac
  • City Stade de Sadirac
  • City Stade de Lorient
  • Dojo (judo, karaté)
  • Deux courts de tennis
  • Salles de danse
  • une salle multi-activité

La commune est située dans l'aire géographique de production de l'entre-deux-mers (vins blancs secs)[27], appellation d'origine contrôlée du vignoble du même nom. Toute la région produit en outre des rouges, des clairets, des rosés, des blancs secs, doux ou effervescents sous les dénominations bordeaux et bordeaux-supérieur[28].

La commune abrite une dizaine de châteaux dédiés à la viticulture : Château de Tustal, Château du Grand Verdus, Château Pabus, Château Belrose Moncaillou, Château Thioulet, Château Farizeau, Château Landereau, Château de la Sensine, Château-Neuf Melrose (lieu-dit Mouquet).

Un camping s'est implanté sur la commune au lieu-dit Bel Air à côté de la zone artisanale comportant 100 emplacements. Une ligne de bus 404 (Bordeaux-Créon) dessert cet établissement.

Une usine Placoplatre s'est implantée dans la commune le employant entre 19 et 40 salariés. Elle a dû fermer en 2016 par décision du groupe Saint-Gobain qui en était propriétaire, laissant un emplacement désaffecté et des salariés au chômage. L’établissement sera remplacé par une maison intergénérationnelle.

Une zone artisanale dite « Bel-air » est située le long de la RD 671, regroupant plusieurs entreprises comme un garage Citroën, un exploitant de piscines, un contrôle automobile Dekra, un magasin de vêtements de chantier (Keep Safe), un ESAT pour handicapés, deux entrepôts d'auto-stockage, un glacier, un électricien, un artisan chaudronnier façonneur, un service d'ambulance, une maison de la chasse de Sadirac et une boîte de nuit. Elle est desservie par un arrêt de bus. Il y a aussi un lavage automobile et un magasin de motoculture situés à Lorient.

Une zone artisanale "Le Plantey" est situé au bord de la RD 14, regroupant plusieurs entreprises (un tabac-presse-épicerie, un primeur, une brasserie, un mécanicien ...)

Sadirac est une ville qui accueille un grand nombre d'entreprises de tous les corps de métiers du bâtiment (électriciens, peintres, maçons, charpentiers-menuisiers, plombiers ...) et de soins à la personne (coiffeurs, esthéticienne, infirmiers, ostéopathe, kinésithérapeute...).

Il y a un panel de commerces de proximité : deux tabacs-loto-presse-épicerie, deux boulangeries-pâtisseries, une brasserie, une exploitation de légumes bio, trois coiffeurs; un restaurant au lieu-dit le Casse, un fast food-pizzeria et une brasserie à Lorient, et au centre-ville, une pharmacie, une poste, un commerce boucherie-charcuterie-traiteur, une pizzeria et une esthéticienne.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine architectural

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Patrimoine industriel

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Sadirac connait depuis l'Antiquité le savoir-faire potier. Plusieurs potiers s'installent dans la ville aux XVIIe et XVIIIe siècles et fabriquent la poterie grâce à l'argile propice qui est sur la commune. Au XVIIIe siècle, toutes les familles habitant à Sadirac avaient au moins un potier. À cette époque, on comptait 150 fours sur la commune.

L'enquête de repérage du patrimoine industriel menée à partir de 1989 par le conseil régional d'Aquitaine a recensé sur la commune et versé à l'inventaire général du patrimoine culturel quatre usines de poterie dont deux encore en activité à cette date au lieu-dit Laurent Videau. La poterie Fouragnan, construite dans le bourg vers 1830, produit, dans une quarantaine d'ateliers occupant une centaine d'ouvriers, les moules destinés aux raffineries de sucre. Au déclin de l'industrie sucrière bordelaise et nantaise l'usine se consacre, jusqu'en 1901, à la fabrication des pots destinés aux résiniers landais et à la poterie à usage domestique. Les vestiges restaurés de l'établissement industriel et du four désaffectés accueillent le musée de la poterie et de la céramique de Sadirac. La poterie Monsion, construite en 1833 au lieu-dit Minguet, produit de la céramique glaçurée au manganèse. Vers 1900, elle abandonne les moules à pains de sucre et les recettes pour la mélasse pour s'orienter vers la poterie horticole jusqu'en 1974, date à laquelle l'établissement est désaffecté[34].

Équipements culturels

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Ancienne gare.

La piste cyclable Roger-Lapébie qui passe à Sadirac-bourg était auparavant la voie de chemin de fer du ciment français.

La gare de Sadirac a été reconvertie en maison du Patrimoine naturel du Créonnais. Depuis , la gare est animée par l'association Terre et Océan autour de la thématique de la nature et de l'éveil scientifique avec des balades nature les dimanches, des activités pour les enfants pendant les vacances scolaires, un club nature, des débats, des activités pour les écoles[35],[36].

La commune propose un musée de la poterie et de la céramique, une bibliothèque municipale et accueille des associations comme « Oh Légumes oubliés » qui possède une ferme avec un élevage d'aurochs et une culture de vieux légumes oubliés.

Personnalités liées à la commune

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  • Bernard Journu-Auber (1745-1815), comte de Tustal, d'Empire et pair de France, fut le propriétaire de l'ancienne baronnie de Calamiac sur la commune. Il fait partie d'une riche famille de négociants bordelais.
  • Claude Deschamps (1765-1843), architecte des ponts de pierre de Bordeaux et de Libourne sous Napoléon Ier, acheta le château du Grand Verdus situé à Sadirac.
  • Jacques Piou (1838-1932), ancien maire de Sadirac, député et chef de la droite catholique de l'époque au Parlement.
  • Jean-Marie Darmian (1947), né dans la commune et ancien maire de Créon jusqu'en 2014, ancien vice-président du conseil départemental de la Gironde et ancien député-suppléant de la 12e circonscription de Gironde.
  • Georges Le Fèvre (1892-1968) sadiracais et journaliste et écrivain célèbre de la "Croisière Jaune".
  • Pierre François Camille Guyot de Villeneuve (1862-1939) sadiracais et homme politique, le stade municipal de la commune porte son nom.
  • Matthew Clarkin (1981), sadiracais et joueur professionnel de rugby.
  • Christelle Dubos (1976), sadiracaise, conseillère municipale de Sadirac 2014-2020, députée de la douzième circonscription de la Gironde 2017-2022 et Secrétaire d'Etat auprès du ministre des Solidarités et de la Santé 2018-2020.

Héraldique

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Blason de Sadirac Blason
D'or à la grappe de raisin de gueules tigée et feuillée de sinople senestrée d'un pot de terre d'orangé, l'anse à senestre[37],[38].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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  • Tristan Yvon, « La provenance des céramiques de raffinage en Guadeloupe, ustensiles indispensables à l’industrie sucrière du XVIIe au XIXe siècle », Bulletin de la Société d'Histoire de la Guadeloupe, no 154,‎ , p. 9–28 (ISSN 0583-8266 et 2276-1993, DOI 10.7202/1036846ar, lire en ligne, consulté le )

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Sadirac sur Géoportail, consulté le 1er novembre 2015.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Sadirac et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sadirac ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Sadirac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. extrait de la Thèse de Philippe Matha
  20. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
  21. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde
  22. Nom des habitants de Sadirac sur habitants.fr, consulté le 12 janvier 2012.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Cahier des charges de l'appellation entre-deux-mers et de la dénomination géographique entre-deux-mers-haut-benauge « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  28. Guide des régions et des appellations : Bordeaux — Entre-deux-Mers
  29. a et b « Notice MH de l'église Saint-Martin de Sadirac », notice no PA00083707, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Notice MH de la croix de cimetière de Sadirac », notice no PA00083706, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Notice MH du château de Tustal », notice no PA33000108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Notice MH du château du Grand Verdus », notice no PA00083705, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Étude du patrimoine de la commune de Sadirac », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Inventaire du patrimoine industriel de Sadirac », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Association Terre et Océan » (consulté le ).
  36. « Communauté de communes du Créonnais: Terre- Océan - La Maison du Patrimoine Naturel », sur cc-creonnais.fr (consulté le ).
  37. Sadirac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA).
  38. Le blason sur Armorial de France.
  39. « Accueil », sur sadiracetvous.com (consulté le ).