Saint-Benoît-des-Ondes — Wikipédia

Saint-Benoît-des-Ondes
Saint-Benoît-des-Ondes
La mairie.
Image illustrative de l’article Saint-Benoît-des-Ondes
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Saint-Malo Agglomération
Maire
Mandat
Bernadette Letanoux
2020-2026
Code postal 35114
Code commune 35255
Démographie
Gentilé Bénédictin
Population
municipale
969 hab. (2021 en évolution de −5 % par rapport à 2015)
Densité 332 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 11″ nord, 1° 51′ 05″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 10 m
Superficie 2,92 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Malo
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dol-de-Bretagne
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Saint-Benoît-des-Ondes
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Saint-Benoît-des-Ondes
Liens
Site web www.ville-saint-benoit-des-ondes.fr

Saint-Benoît-des-Ondes est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 969 habitants[Note 1].

Géographie

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Communes limitrophes de Saint-Benoît-des-ondes
Saint-Méloir-des-Ondes La Manche
Saint-Benoît-des-ondes
La Gouesnière La Fresnais Hirel
Carte de la commune.
Une entrée de la commune.



Relief et hydrographie

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La commune de Saint-Benoît-des-Ondes couvre 292 hectares en bord de mer à une altitude moyenne de deux mètres.

Rue du bord de mer.

Saint-Benoît est issu de villages de pêcheurs qui s'installèrent, au fur et à mesure que la terre gagnait sur la mer, sur des iles formées par des bancs de sables coquilliers isolés à marée haute jusqu'à ce qu'au XIe siècle, le duc de Bretagne Alain fit construire une digue qui protégeait le village des flots, ainsi que ses voisins nés dans les mêmes conditions, Hirel et Vildé-la-Marine. C'est toujours la digue actuelle, certes moult fois remaniée : la « digue de la Duchesse-Anne ». Le village restait entouré de marais dont l'assèchement ne fut complet qu'au XVIIe siècle, d'importants travaux de drainage aux XVIIIe et XIXe siècles étendirent la zone cultivable notamment par des polders sur la baie.

Le risque de submersion marine

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Selon un index global correspondant à l'agrégation de 5 critères[Note 2] effectué en 2011 par l'Observatoire National des Risques Naturels[Note 3], Saint-Benoît-des-Ondes est la huitième commune de Bretagne la plus exposée au risque de submersion marine avec 100 % de sa population totale concernée et 7,67 hectares de bâti exposé au risque de submersion[1].

Les ressources traditionnelles de la population

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Jusqu'au début du XXe siècle, la population vécut d'un mélange entre les ressources de l'agriculture, facilitée par un sol d'alluvions marines riche et facile à travailler, et le travail de la mer (on trouve trace de pêcheries dès 1181). Longtemps l'agriculture fut principalement vivrière mais les pommiers à cidre sont anciens dans le paysage et n'ont disparu que dans la seconde moitié du XXe siècle quand la Bretagne céda au mythe de l'agriculture industrielle et que les champs de céréales dans des paysages victimes du remembrement entourèrent Saint-Benoît, les terres agricoles sont de plus détruites par la mise en construction de lotissements pavillonnaires.

À partir de l'époque moderne, comme tous les Bretons de la côte, les habitants servaient dans la marine de commerce et de guerre. La pêche restait néanmoins une des ressources principales et avant la Grande guerre c'est 40 % des hommes de la commune qui partaient chaque année sur les bancs de Terre-Neuve.

Dans les années 1970, la ville chercha à profiter du développement du tourisme en Bretagne et de la proximité de Saint-Malo pour diversifier ses activités. Si l'ostréiculture et la mytiliculture restent des activités importantes, trois terrains de campement sont désormais installés en bord de mer.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur  », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleurtuit à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 752,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Benoît-des-Ondes est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Malo, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[10]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,3 %), terres arables (27,8 %), zones urbanisées (22,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Benedictus de la Marine en 1220, Sanctus Benedictus de Undis au XVIe siècle.

Saint-Benoît-des-Ondes tire son nom d'un monastère, appelé Saint-Benoît, situé autrefois sur son territoire

.

Le gentilé est Bénédictin[16].

Le nom de la commune vient de l'installation sur cette terre d'un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye du Mont-Saint-Michel, le monastère de Saint-Benoît-du-Blanc-Essay.

Le village de pêcheur des origines fut érigé en paroisse au XIIe siècle sous le nom de Saint Benoît de la Marine avant de devenir au XVIe siècle Saint Benoît des Ondes.

Les deux faits marquants de l'histoire de la commune sont l'occupation de la paroisse par les Anglais lors de leur attaque contre Saint-Malo le et la construction par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale d'un fossé anti-chars de Châteauneuf à Saint-Benoît-des-Ondes destiné à isoler Saint-Malo, après la guerre cet ouvrage a été reconverti en « biez » mais reste connu sous le nom de « canal des Allemands ».

Politique et administration

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Personnalités élues par circonscription électorale de rattachement

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Le monument aux morts.

Au-delà du maire, premier magistrat administrant la commune, les personnalités élues dont le mandat est relatif à une collectivité à laquelle est rattachée la commune de Saint-Benoît-des-Ondes et représentant donc le territoire communal au sein de chacune de ces collectivités sont les suivantes :

Élections Circonscription électorale Élu de la circonscription
Niveau Type Titre Nom Début de mandat Fin de mandat
Groupe communal Municipales et communautaires Commune de Saint-Benoît-des-Ondes Maire Bernadette Letanoux 2020 2026
Saint-Malo Agglomération Président de l'intercommunalité Gilles Lurton (LR) 2020 2026
Département Départementales Canton de Dol-de-Bretagne Conseiller départemental Jean-Luc Bourgeaux(DVD) 2021 2026
Conseillère départementale Agnès Toutant (DVD)
Région Régionales Bretagne Président du conseil régional Loïg Chesnais-Girard(DVG) [17] 2028[18]
Pays Législatives 7e circonscription Député Jean-Luc Bourgeaux (DVD)
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1947 19.. Auguste Agenais MRP  
mars 1971 mars 1983 Basile Bihen
(1922-2007)
  Exploitant agricole
Chevalier du Mérite agricole (1975)
mars 1983 1986 Jacques Roger   Général de division aérienne
décembre 1986 juin 1995[19] Jean-Jack Chairon   Ancien major de l'Armée de l'air
juin 1995[19] mars 2014 Jacques Daniel DVD Technico-commercial retraité
mars 2014[20] 25 mai 2020 Gérard Baudry DVD Receveur-percepteur du Trésor public retraité
25 mai 2020 En cours Bernadette Letanoux[21] DVD-LR[22] Secrétaire comptable retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 969 habitants[Note 5], en évolution de −5 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %). À son plus grand essor, au milieu du XIXe siècle, Saint Benoît avait 967 habitants, l'exode rural commença à la fin du XIXe et s'accéléra après la Première Guerre mondiale, la population de la commune ne cessa de diminuer jusque dans les années 1970. La construction de nouveaux lotissements lui ramena des habitants et elle comptait en 2006 une population d'un peu plus de 1 100 personnes.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
591679701862783933922942939
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
967966947875917848830823803
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
817839850689626614638591638
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6275565476127757991 1031 0571 006
2021 - - - - - - - -
969--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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La Cène.
  • La première église fut érigée au XIIe siècle quand fut créée la paroisse ; il en reste dans le pavement de l'entrée de l'actuel édifice la pierre d'autel en granit avec reliquaire. L'église actuelle est une construction du XVIe siècle très remaniée à la fin du XVIIIe. Elle était alors décrite comme « petite, basse, obscure et mal pavée », des travaux entamés en 1785 furent interrompus par la Révolution qui la transforma un temps en temple de la déesse Raison et la voua à des fonctions administratives. Elle fut cependant vite rendue au culte et les travaux furent terminés en 1803 et pour le clocher en 1815. Le chancel disparu dans l'opération de même que tout caractère de style de l'église.
  • L'église de Saint-Benoît-des-Ondes possède un magnifique tableau du XVIIe siècle, copie de la célèbre Cène de Philippe de Champaigne, (1648, conservé au musée du Louvre) on peut admirer cette toile au-dessus du maître-autel. Restauré une première fois en 1874, il a été de nouveau en 1992 par Mlle Le Bayen (Paris).
  • Le cimetière qui entourait l'église fut transformé en square en 1873, une croix de granit érigée en 1713 la « porte des morts » de 1741 sont les dernières traces de l'ancien emploi du lieu. La croix avait remplacé une précédente en bois de 1606, elle aurait été offerte à l'occasion de leur mariage le par Bertrand Poirier de la Passe et Étiennette Hervot.
  • La chapelle Sainte-Geneviève est, elle, du XVIe siècle.
  • Il ne reste rien des anciens moulins sur la digue à une exception près datant de la fin du XVIIIe-début du XIXe, grandement remanié il évoque peu son ancienne destination et est aujourd'hui transformé en maison d'habitation.

Activité et manifestations

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Personnalités liées à la commune

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Eugène Joseph Samson, né à Saint-Benoît-des-Ondes le , engagé dans les zouaves pontificaux, mort à Rome le .

Spécialités

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Le « gâteau de pain », un pain sucré qui ressemble à la Gochtial de Saint-Armel dans le Morbihan, selon une recette originale trouvée dans le livre de recette Cuisine traditionnelle de Bretagne[27].

Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Population concernée, pourcentage de la population totale concernée, superficie du bâti exposé, bâti de plain-pied exposé, et part des entreprises situées en zone inondable.
  3. L'Observatoire National des Risques Naturels a été créé en France en 2012, à la suite des conséquences catastrophiques de la tempête Xynthia de 2010.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Blandine Le Cain, « Submersion marine : notre classement des communes bretonnes les plus exposées », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Saint-Benoît-des-Ondes et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Dinard » (commune de Pleurtuit) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Benoît-des-Ondes ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Malo », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Une centaine de participants au pique-nique bénédictin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  17. Allain Camille, « Résultats des régionales en Bretagne : Loïg Chesnais-Girard président sortant réélu mais sans majorité absolue », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  18. Xavier Brivet, « Les nouvelles règles relatives aux régionales 2015 », sur courrierdesmaires.fr, (consulté le ).
  19. a et b « Jacques Daniel a été récompensé le week-end dernier », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  20. « Gérard Baudry élu maire succède à Jacques Daniel », Ouest-France, 1er avril 2014.
  21. « Municipales à Saint-Benoît-des-Ondes. Bernadette Letanoux, 1re femme maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  22. https://actu.fr/bretagne/saint-malo_35288/legislatives-2024-a-saint-malo-les-maires-soutiennent-bourgeaux-beaumanoir-votera-fichet_61257778.html
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Cuisine traditionnelle de Bretagne page 232 par Simone Morand

Liens externes

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