Saint-Escobille — Wikipédia

Saint-Escobille
Saint-Escobille
La mairie.
Blason de Saint-Escobille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité Communauté de communes de l'Étampois Sud-Essonne
Maire
Mandat
Yves Villate
2020-2026
Code postal 91410
Code commune 91547
Démographie
Gentilé Saint-Escobillois
Population
municipale
473 hab. (2021 en évolution de −12,41 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 46″ nord, 1° 58′ 02″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 156 m
Superficie 12 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Étampes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saintescobille.fr

Saint-Escobille[1] (prononcé [sɛ̃ɛskɔbij] Écouter) est une commune française située à cinquante-cinq kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Saint-Escobillois[2].

Géographie

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Position de Saint-Escobille en Essonne.
Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 2,5 % 30,50
Espace urbain non construit 0,9 % 11,32
Espace rural 96,5 % 1 161,11
Source : Iaurif[3]

Saint-Escobille est située à cinquante-cinq kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[4], point zéro des routes de France, quarante-deux kilomètres au sud-ouest d'Évry[5], quatorze kilomètres à l'ouest d'Étampes[6], onze kilomètres au sud-ouest de Dourdan[7], vingt-sept kilomètres au sud-ouest d'Arpajon[8], vingt-neuf kilomètres au sud-ouest de La Ferté-Alais[9], trente-deux kilomètres au sud-ouest de Montlhéry[10], trente-sept kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[11], trente-sept kilomètres au sud-ouest de Palaiseau[12], quarante-deux kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[13].

Hydrographie

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Relief et géologie

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Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 651 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainville à 6 km à vol d'oiseau[16], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Voies de communication et transports

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Le village est situé à 5 km de l'autoroute A10 et est traversé par la route départementale D838. Les lignes du réseau de bus Essonne Sud Ouest 306-04, 306-12 et 913-07 desservent l'arrêt du village.

Une voie de chemin de fer, dont la construction débuta en 1890, traversait auparavant le village et une gare de transport de personnes et de marchandises a été construite le 5 juin 1893 dans le lieu-dit la Gare. Cette ligne passait notamment par Étampes, Auneau et Dreux. Le service voyageur fut interrompu en 1939 et le transport de marchandises en 1964[20].

Lieux-dits, écarts et quartiers

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Panneau d'agglomération du hameau de Guillerville.

Saint-Escobille comporte trois hameaux : Paponville, Guillerville, et le lieu-dit la Gare.

Au , Saint-Escobille est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[22]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[22]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

Attestée sous les formes Sanctus Scubilius, Sanctus Scubiculus au XIIIe siècle, Saint Escobile[25].

Le village tire son nom de saint Scubicule (Scubiculus) plus tard déformé en Escobille. Au IIIe siècle, le sous-diacre Scubicule accompagnait l'évêque Nicaise et le diacre Quirin, envoyés en Gaule par le pape Clément, en même temps que saint Denis. Selon d'autres traditions, l'époque serait le IIIe siècle, Tous trois auraient subi le martyre par le gouverneur Fescennius, pour avoir refusé d'adorer les idoles[26]. La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel[27].

Préhistoire et Antiquité

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Les premières traces d'occupation humaine à Saint-Escobille remontent à la préhistoire. Dans les champs avoisinant la commune, des objets du paléolithique et du néolithique ont ainsi été découverts, tels des haches, pierres polies et des meules[28]. Au nord du village, des prospections aériennes ont permis le repérage de traces d'enclos circulaires avec fosses internes, estimés comme datant de l'âge de bronze[29]. Au sud, des traces attribuables à un enclos protohistorique ont également été mises en évidence[30].

Des traces de plusieurs villas gallo-romaines ont été découvertes au hameau de Guillerville ainsi qu'au bois de Vierville. L'actuelle Rue du Stade de Saint-Escobille est construite sur le tracé d'une antique voie romaine[28].

La construction de l'église du village débuta au XIIe siècle, et la première mention du château du village date de 1462, tout comme le premier seigneur connu du village, Guillemot de la Vallée[31].

Renaissance

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Carte de Cassini
Carte de Cassini de Saint-Escobille, seconde moitié du XVIIIe siècle.

En octobre 1628, le village a reçu la visite du roi Louis XIII, qui passa une nuit au château du village, appartenant alors au seigneur Monsieur le Venier. Louis XIII venait alors de Paris et se rendait à La Rochelle, peu après la fin du siège de 1627-1628, afin de régler le sort de la ville vaincue, soit notamment d'imposer la destruction des remparts, la reconstructions des églises ainsi que l'exercice libre et public du culte catholique[32].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 473 habitants[Note 2], en évolution de −12,41 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
454427416406441424388382369
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
389398387358364350307334334
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
332322322296298313267257255
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
255231210325429492469467460
2015 2020 2021 - - - - - -
540478473------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,6 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 275 hommes pour 259 femmes, soit un taux de 51,50 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,4 
6,1 
75-89 ans
3,9 
14,6 
60-74 ans
14,2 
17,9 
45-59 ans
21,1 
25,2 
30-44 ans
23,3 
15,0 
15-29 ans
15,1 
21,1 
0-14 ans
22,0 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
12,9 
60-74 ans
13,9 
20 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
20,1 
20 
15-29 ans
18,2 
21,3 
0-14 ans
19,8 

Politique et administration

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Politique locale

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La commune de Saint-Escobille est rattachée au canton d'Étampes, représenté par les conseillers départementaux Marie-Claire Chambaret (DVD) et Guy Crosnier (UMP), à l'arrondissement d’Étampes et à la troisième circonscription de l'Essonne, représentée par le député Michel Pouzol (PS).

L'Insee attribue à la commune le code 91 1 07 547[38]. La commune de Saint-Escobille est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 105 475. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[39].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[40].
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1993 2014 Alain Maindron DVD  
2014 En cours Yves Villate    

Tendances et résultats politiques

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Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :

Référendums :

Enseignement

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Les élèves de Saint-Escobille sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose sur son territoire d'une école élémentaire publique[58]. Cette école comprend une classe de CE1 ainsi qu'une classe de CE2, les autres classes du primaire étant partagées entre les communes de Authon-la-Plaine, Mérobert et Plessis-Saint-Benoist. La restauration scolaire se déroule dans la commune de Authon-la-Plaine.

En 2013, l'école a été rebaptisée en l'honneur de Niki de Saint Phalle, dans une initiative commune aux écoles du regroupement pédagogique. Ainsi, les élèves des écoles primaires de Saint-Escobille, Authon-la-Plaine, Mérobert et Plessis-Saint-Benoist ont fait des recherches et voté pour leur artiste préféré, avec pour contrainte que la première lettre du prénom de l'artiste devait être la même que celle du village. Une fresque illustrant le travail de l'artiste a été inaugurée le 5 juillet 2014[59].

Services publics

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La commune dispose sur son territoire d'un centre de secours[60].

La commune de Saint-Escobille n'a développé aucune association de jumelage.

Vie quotidienne à Saint-Escobille

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L'association locale SEHP (Saint-Escobille Histoire et Patrimoine) est chargée des recherches historiques sur le village ainsi que de la valorisation du patrimoine et organise à ce sujet des animations culturelles, telles des concerts, des expositions, et des promenades[61].

Chaque année, pour la Saint-Jean, un feu de bois est organisé sur la place du village.

Des cours de Judo et des séances de Gymnastique sont organisés à la salle polyvalente du village.

La commune possède un terrain de football et est traversée par des chemins de randonnée[62].

Lieux de culte

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Église Saint-Denis de Saint-Escobille.

La paroisse catholique de Saint-Escobille est rattachée au secteur pastoral de Dourdan et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Denis[63].

Le clocher de l’église Saint Denis est une flèche octogonale en pierre du XIIe siècle. Il abrite aujourd'hui trois cloches, fondues en 1902:

  • «Berthe Victoire», sonnant le sol et pesant 600 kg. Elle a en décoration la mention « Sacré cœur de Jésus ; Saint Escobille ; Sainte Barbe ».
  • «Alice Marie Pauline», sonnant le la et pesant 420 kg. Elle porte en décoration « Saint Escobille ; Sainte Cécile ; Saint Antoine de Padoue ».
  • «Emilie Germaine», sonnant le si et pesant 290 kg. Elle porte comme inscription « Saint Escobille ; Sainte Julienne ; Sainte Jeanne D’Arc »[64].

Les fonds nécessaires à la rénovation de l'église sont régulièrement réunis par l'association locale de défense du patrimoine ainsi que par le conseil municipal[61].

Jusqu'à la Révolution, il y avait un temple protestant à Guillerville, hameau de Saint-Escobille.

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif. La commune édite également un journal d'informations municipales, nommé Saint-Escobillois[65].

Emplois, revenus et niveau de vie

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En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 20 059 , ce qui plaçait la commune au 3 209e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au 156e rang départemental[66].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Saint-Escobille - - - - - -
Zone d’emploi d’Étampes 1,8 % 6,2 % 15,1 % 24,9 % 27,2 % 24,8 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Saint-Escobille - - - - - -
Zone d’emploi d’Étampes 2,9 % 16,1 % 6,7 % 14,8 % 9,2 % 5,8 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[67],[68],[69]

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine environnemental

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Les bosquets boisés répartis sur le territoire ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[70].

Patrimoine architectural

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L'église de Saint-Escobille date du XIIe siècle.

Un château, construit au XIVe siècle ou au XVe siècle, était auparavant présent au bout de l'actuelle l'Impasse du Château. Il a été détruit au XIXe siècle[31].

Personnalités liées à la commune

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Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Saint-Escobille :

Héraldique

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Blason de Saint-Escobille.

Les armes de Saint-Escobille se blasonnent : D'argent au chevron d'azur, accompagné de trois coquelicots au naturel, les deux du chef affrontés.

Saint-Escobille dans les arts et la culture

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Bibliographie

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  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Saint-Escobille », p. 239–240

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. Fiche de Saint-Escobille dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 06/08/2012.
  2. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.
  3. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 16/11/2010.
  4. Orthodromie entre Saint-Escobille et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  5. Orthodromie entre Saint-Escobille et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  6. Orthodromie entre Saint-Escobille et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  7. Orthodromie entre Saint-Escobille et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  8. Orthodromie entre Saint-Escobille et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  9. Orthodromie entre Saint-Escobille et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  10. Orthodromie entre Saint-Escobille et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  11. Orthodromie entre Saint-Escobille et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  12. Orthodromie entre Saint-Escobille et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  13. Orthodromie entre Saint-Escobille et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 19/11/2012.
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Saint-Escobille et Sainville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Sainville » (commune de Sainville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Sainville » (commune de Sainville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. Jean-Pierre Liénasson, « Les Gadoues », sur saintescobille.fr, (consulté le ).
  21. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  22. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Escobille ».
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  25. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  26. A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud ; Bénédictins de Ramsgate, Dix mille saints, dictionnaire hagiographique, Brepols
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  28. a et b Jean-Pierre Lienasson, « Les voies Gallo-Romaines » [PDF], sur saintescobille.fr (consulté le ).
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  30. F. BESSE, Rapport, , p. 120-121.
  31. a et b Jean-Pierre Liénasson, « Le château de Saint-Escobille », sur saintescobille.fr (consulté le ).
  32. « Histoire - Saint Escobille », sur saintescobille.fr (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Escobille (91547) », (consulté le ).
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  55. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 28/01/2013.
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