Saint-Jean-de-Sixt — Wikipédia

Saint-Jean-de-Sixt
Saint-Jean-de-Sixt
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Annecy
Intercommunalité Communauté de communes des vallées de Thônes
Maire
Mandat
Didier Lathuille
2020-2026
Code postal 74450
Code commune 74239
Démographie
Population
municipale
1 486 hab. (2021 en évolution de +3,7 % par rapport à 2015)
Densité 122 hab./km2
Population
agglomération
9 885 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 26″ nord, 6° 24′ 38″ est
Altitude Min. 828 m
Max. 1 860 m
Superficie 12,21 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Thônes
(banlieue)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Faverges-Seythenex
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saint-jean-de-sixt.fr

Saint-Jean-de-Sixt (prononcé [sɛ̃ ʒɑ̃ d(ə)sikst]) est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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La commune se situe au cœur du massif alpin des Aravis, à 25 kilomètres à l'est d'Annecy. Elle bénéficie d'un climat de type montagnard. Elle est traversée par le Nom et le Borne.

Saint-Jean-de-Sixt est constituée de nombreux hameaux qui sont, entre autres, le Villaret, Forgeassoud, les Lombardes, Mont Durand, la Mouille et Corengy. Le bourg est installé sur un petit col qui marque la limite entre la vallée du Borne au nord et du Nom au sud, à 959 mètres d'altitude, où est implanté la mairie, juste sous l'église.

Les communes limitrophes de Saint-Jean-de-Sixt sont Les Villards-sur-Thônes, La Clusaz, Entremont et Le Grand-Bornand. La commune fait partie de la communauté de communes de la Vallée de Thones.

Au , Saint-Jean-de-Sixt est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thônes[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,6 %), prairies (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), zones urbanisées (6,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %)[6].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Selon le chanoine François Pochat-Baron[7], le nom de « Sixt » viendrait de « Scis » indiquant une activité de « pierre fendue » (du latin scindere), la qualité locale des pierres permettait la fabrication des meules de moulins et des cheminées. Il existe encore en 2014 les traces d'une ancienne carrière à proximité du ruisseau dit de la Planchette. Antérieurement le village s'appelait « La Chapelle » ou encore « La Chapelle sur Thônes ». La référence au vieux français « essuit, suit » (zone dégagée, sèche) qui localement signifie « alpage » semble improbable [réf. nécessaire], la commune étant très boisée et à une altitude bien inférieure à celle des alpages (village à 956 m d'altitude).

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Si (graphie de Conflans) ou Sent-Jian-de-Sixt (ORB)[8].

Selon l'érudit local Jean Brunier, le crêt de Saint-Jean (altitude 1012 m) et le Forgeassoud peuvent avoir accueilli une tour[9]. La situation du Crêt permet de contrôler le défilé des Anthérieux[9].

En 1601, la famille Favre fait construire une chapelle au Villaret à l'emplacement de la maison natale de saint Pierre Favre[réf. nécessaire].

En 1831, trois villages du Haut s'associent pour construire le « pont des Antérieux », aussi appelé « pont des Étroits » ou encore « pont de la Douane »[réf. nécessaire].

Le Tour de France cycliste de 1911 (9e édition) pénètre pour la première fois dans le massif en arrivant par la Giettaz, passant le col des Aravis et descendant la vallée de Thônes.

De 2019 à 2023, importants travaux de réaménagement du centre-bourg pour un budget de 4,3 millions d'euros[10].

Politique et administration

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Situation administrative

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Attaché à l'ancien canton de Thônes, la commune appartient depuis le redécoupage cantonal de 2014, au canton de Faverges. Il comporte 27 communes. La ville de Faverges en est le bureau centralisateur[11].

Saint-Jean-de-Sixt est membre de la communauté de communes des vallées de Thônes qui compte treize communes.

La commune relève de l'arrondissement d'Annecy et de la deuxième circonscription de la Haute-Savoie.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1858 1896 Benjamin Agnellet    
1896 1908 Emile Vulliet    
1908 1925 Jean-Marie Favre-Lorraine    
1925 1926 Auguste Fillion    
1926 1929 Alexandre Laruaz    
1929 1935 Jean-Marie Favre-Lorraine    
1935 1945 Léon Laydernier    
1945 1947 Aimé Laruaz    
1947 1983 Aimé Dupont    
1983 1985 Armand Laruaz    
1985 1989 Laurent Laruaz    
1989 2008 Pierre Contat ... ...
2008 2014 Bernard Pessey ... ...
2014 2020 Pierre-Joseph Recour    
2020 En cours Didier Lathuille    
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

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La commune s'oriente vers une politique un peu plus respectueuse de l'écologie ; elle a récemment fait construire une nouvelle école primaire bio-climatique.

Population et société

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Les habitants de Saint-Jean-de-Sixt sont appelés les Saint-Jeandines et les Saint-Jeandins[12]. Les sobriquets des habitants étaient les Avocats, les Faruads, les Muscatins ou encore les Philosophes, au XIXe siècle[13].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[15].

En 2021, la commune comptait 1 486 habitants[Note 3], en évolution de +3,7 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
537471615601578642467482472
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
502498535515507517543600533
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
518512515507498506466476511
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
6968521 0051 2121 2401 4101 4331 4651 486
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Évènements

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Monument aux morts 1914-1918.
  • Festival « Osmose de la caricature » de Saint-Jean-de-Sixt en mars (depuis 2003).

Infrastructures sportives

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Tremplin du « Bun-J-Ride » au-dessus du torrent le Nom.

Le Bun-J-Ride est un tremplin de saut à l'élastique où l'on s'y attache grâce à des mousquetons. Vous pouvez le pratiquer sur une planche de surf, une luge, skis, vélo, patins etc.

  • Agriculture de montagne, élevage et forêt.
  • Artisanat et commerces.
  • Des carrières de pierres sont exploitées sur la commune depuis le Moyen Âge, actuellement carrière du Rocher des Mésers (57 000 tonnes par an, 44 salariés).
  • Tourisme vert avec notamment des belles randonnées autour du Danay (Tête du Danay, 1 730 m). Tourisme d'hiver avec quelques pistes de ski de fond et surtout la proximité des stations de La Clusaz et du Grand Bornand, à moins de cinq minutes et reliées par navettes régulières.

En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie-Mont-Blanc, est de 4 370 lits touristiques répartis dans 739 établissements[Note 4]. Les hébergements se répartissent comme suit : 191 meublés ; 1 hôtel ; un camping ; 3 villages de vacances et 2 chambres d'hôtes[18]. La commune accueille le siège de l'association A.E.C. Vacances (5 villages vacances, 1 700 lits).

Station de sports d'hiver

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Saint-Jean-de-Sixt
Une vue aérienne de la station serait la bienvenue.
Administration
Commune Saint-Jean-de-Sixt
Site web www.saintjeandesixt.com
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 23″ nord, 6° 24′ 36″ est
Massif Bornes
Altitude 963 m
Ski alpin
Lié à La Clusaz - Le Grand-Bornand (par navettes)
Domaine skiable Domaine des Aravis
Remontées
Nombre de remontées 2
Téléphériques 0
Funitels et funiculaires 0
Télécabines 0
Télésièges 0
Téléskis 2
Pistes
Nombre de pistes 5
Noires 0
Rouges 1
Bleues 2
Vertes 2
Total des pistes 0,5 km
Ski de fond
Rouges 1
Bleues 1
Vertes 1
Total des pistes 12,5 km

Espace ski du Crêt

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Le village possède un petit espace pour les débutants à ski, au niveau du Crêt. Il est constitué d'une piste verte équipée d'un fil neige. Jusqu'en 2016, il existait un téléski desservant 4 autres pistes. Devenu obsolète, celui-ci est désormais fermé.

3 itinéraires raquettes et 2 itinéraires piétons-raquettes sont balisés et entretenus en période hivernale.

2 pistes de luges sont également aménagées durant la période hivernale, l'une à proximité directe du centre du village et la seconde en face du fil neige du Crêt.

Une navette inter-station circule depuis le centre du village et dessert les stations de ski de la Clusaz et du Grand-Bornand, toutes deux étant situées à 3 km de Saint Jean de Sixt.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'ancienne douane.
L'ancienne douane du XIXe siècle, en limite de la zone franche.
  • Chapelle du Villaret en l'honneur de Pierre Favre : En 1600, une chapelle fut élevée sur l'emplacement de la maison natale du jésuite dont l'autel a été consacré en 1607 par François de Sales. Détruite lors de la Révolution française en 1794, elle fut reconstruite en 1823 et réparée en 1860. Le premier grand pèlerinage eut lieu le et quelque 6 000 personnes y participèrent; depuis, chaque année, une messe y est célébrée le premier dimanche du mois d'août[19].
  • Chapelle de Forgeassoud, construite en 1661 pour fixer le souvenir du rattachement du hameau au village de Saint-Jean.
  • Église Saint-Jean-Baptiste (XIXe siècle).

Patrimoine naturel

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  • Une faune sauvage peut s'observer sur le territoire de la commune, notamment vers le Danay, comme dans tout le Massif des Aravis : rapaces, lynx, chevreuils, lièvres, etc.
  • Le site des 3 ponts : Le vieux pont de l’Envers, appartenait à la communauté du four de Forgeassoud d’en-bas. Le vieux pont a été construit en 1899 par la communauté. Il a remplacé certainement un pont de bois qui desservait le moulin et la scierie (Entremont Pinguet). Source : Association Saint Jean de Sixt Patrimoine[20].

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 571-576, « Le canton de Thônes », 609-610, « Saint-Jean-de-Sixt ».
  • François Pochat-Baron, Mémoires et documents de l'Académie Salésienne : Histoire de Thônes depuis les origines jusqu'à 1792, vol. Tome 43e, Annecy, Imprimerie commerciale, , 532 p. (lire en ligne)
  • François Pochat-Baron, Mémoires et documents de l'Académie Salésienne : Histoire de Thônes depuis les origines les plus lointaines jusqu'à nos jours, vol. Tome 44e, Annecy, Imprimerie commerciale, , 557 p. (lire en ligne)
  • François Pochat-Baron, Mémoires et documents de l'Académie Salésienne : Les paroisses de la vallée de Thônes, vol. Tome 60e, Belley, Imprimerie A. Chaduc, , 255 p. (lire en ligne), p. 85-150. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • François Pochat-Baron, Mémoires et documents de l'Académie Salésienne : Les paroisses de la vallée de Thônes (Suite), vol. Tome 61e, Belley, Imprimerie A. Chaduc, , 280 p. (lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Thônes comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[18].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Thônes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Jean-de-Sixt ».
  4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  7. Chanoine François Pochat-Baron (1860-1951) : Les Paroisses de la vallée de Thônes, 1942.
  8. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 13
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  9. a et b Jean Brunier, « Les anciens châteaux du Val de Thônes », Revue annuelle des Amis du Val de Thônes, no 6,‎ , p. 72-73 (ISSN 0339-6428).
  10. Maxime Petit, « Comment le centre du village va continuer à se transformer », L'Essor savoyard,‎ , p. 14
  11. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
  12. « Saint-Jean-de-Sixt », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  13. François Miquet, Sobriquets patois et dictons des communes et hameaux de l'ancien genevois et des localités limitrophes, Annecy, , 27 p. (lire en ligne), p. 18.
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. a et b « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
  19. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 145.
  20. « Valorisation site des 3 ponts », sur Saint Jean de Sixt Patrimoine, (consulté le ).