Saint-Martin-le-Gaillard — Wikipédia

Saint-Martin-le-Gaillard
Saint-Martin-le-Gaillard
La mairie.
Blason de Saint-Martin-le-Gaillard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Falaises du Talou
Maire
Mandat
Martial Fromentin
2020-2026
Code postal 76260
Code commune 76619
Démographie
Gentilé Saint-Martinais
Saint-Martinaises
Population
municipale
288 hab. (2021 en évolution de −1,71 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 58′ 45″ nord, 1° 22′ 17″ est
Altitude Min. 14 m
Max. 158 m
Superficie 17,8 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Eu
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Martin-le-Gaillard
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Martin-le-Gaillard
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Saint-Martin-le-Gaillard
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Saint-Martin-le-Gaillard

Saint-Martin-le-Gaillard est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Description

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bailly-en-Rivière, Baromesnil, Canehan, Criel-sur-Mer, Cuverville-sur-Yères, Saint-Rémy-Boscrocourt, Touffreville-sur-Eu et Petit-Caux.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 831 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 22 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Saint-Martin-le-Gaillard est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eu, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,7 %), prairies (28,7 %), forêts (11,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 169, alors qu'il était de 167 en 2013 et de 172 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 75,6 % étaient des résidences principales, 15,7 % des résidences secondaires et 8,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Martin-le-Gaillard en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (15,7 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,6 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Saint-Martin-le-Gaillard en 2018.
Typologie Saint-Martin-le-Gaillard[I 2] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 75,6 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 15,7 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 8,7 8,1 8,2

Le nom de la localité est attesté sous la forme Sancto Martino en 1050, Sanctum Martinum et Sancto Martino Jaillardo en 1059[12], Goiffrido de Sancto Martino au début du XIIe siècle, Gaulterio de Sancto Martino en 1101, Gaufrido de Sancto Martino en 1107, Ecclesie Sancti Martini le Gueslart vers 1240, Ecclesia Beate Marie de Sancto Martino le Gaillart en 1283[13], Sanctus Martinus le Gaillart en 1337, Saint Martin le Gaillart en 1338[13] et en 1431, Saint Martin le Gaillard en 1362[14], Val-Gaillard en 1789, Saint Martin le Gaillard en 1793, Saint-Martin-Gaillard en 1801[15].

Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Val-Gaillard[15].

L'hagiotoponyme Saint-Martin désigne Martin de Tours (mort en 397).

Le déterminant tire son nom d'une famille Gaillard ou Jaillard (forme française), citée en ce lieu dès le XIe siècle[16]. Le nom de famille Gaillard ou Jaillard (forme française) est issu du terme régional jaille qui signifie « endroit bourbeux, marécageux » et a désigné un domaine à l'abord boueux ou marécageux, nom caractéristique d'un lieu devenu patronyme[17].

Le village a possédé une motte féodale[18].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Les communes d’Auberville-sur-Yères et de Saint-Sulpice-sur-Yères ont été rattachées à Saint-Martin-le-Gaillard, la première en 1822, la seconde en 1823[15].

Les trois crimes de 1836

[modifier | modifier le code]
Arbres des condamnés.

En , l'abbé Lhermina, prêtre du village, sa nièce Marie-Rose Cayeux, mais également sa servante Céleste Paris sont découverts assassinés dans le presbytère par Mme Dorée, une habitante du village[19].

À la suite de ce triple meurtre, s'ensuivit une enquête qui va conduire à l'arrestation de Toussaint Fournier, François Fournier, Nicolas Fournier et Napoléon Godry. À cette époque, ils furent accusés du crime. S'ensuit alors un procès qui marqua les annales judiciaires de la région à cette époque. La peine capitale fut requise envers les quatre accusés. Ils furent exécutés sur une colline du village devant des milliers de personnes qui firent spécialement le déplacement afin d'assister à la montée sur l'échafaud des condamnés.

À la suite de l'exécution, un arbre fut planté dans le sang de chaque trépassé.

Sur ces quatre arbres, seulement trois ont poussé laissant ainsi prétendre que le quatrième exécuté était innocent…

Quatre arbres ont été plantés en carré. Trois seulement ont poussé (les deux aux extrémités et celui au centre de cette photo). Les deux autres arbres sont des pousses ultérieures.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Eu[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Eu porté de 22 à 40 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-le-Gaillard était membre de la petite communauté de communes d'Yères et Plateaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité est dissoute et certaines de ses communes, dont Saint-Martin-le Gaillard, intègrent le , la communauté de communes Falaises du Talou.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1823 1845 Pierre Louïs    
1845 1848 Jean Nicolas Routier    
1848 1865 Frédéric Petit    
1865 1870 Jean Lormier    
1870 1874 Louis Routier    
1874 1876 Jean Lormier    
1876 1884 Eugène Miquignon    
1884 1925 Casimir Guyant    
1925 1935 Edmond Plantard    
1935 1957 Louis Boutin    
1957 1977 André Boutin    
1977 1996 Pierre Têtelin RPR Décédé en fonction
mars 1996 mars 2008 Emmanuel Dubuc[20]    
mars 2008 En cours
(au 9 février 2022)
Martial Fromentin PS Vice-président de la CC Caux-Austreberthe (2020 → 2022[21])
Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23]

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune étaient scolarisés jusqu'à la rentrée 2023 avec ceux de Touffreville et Canehan dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal organisé par le syndicat intercommunal à vocation scolaire (Sivos) de la basse vallée de l’Yères. A cette date, les écoliers de ces trois communes rejoignent le regroupement pédagogique concentré dont l'école située à Criel-sur-Mer est implantée dans le groupe scolaire criellois, l’Écol’Yères. Rénové et agrandi à cette occasion, l'établissement accueille 176 élèves à son ouverture[24]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 288 habitants[Note 2], en évolution de −1,71 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
480533514500534538552546579
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
555556540474514502456448458
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
434465493454404390372362365
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
314285253270279315323326296
2015 2020 2021 - - - - - -
293284288------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Le parcours de randonnée de sept kilomètres permet de découvrir la biodiversité locale[28].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Jean de Béthencourt, 1360-1425, explorateur et conquérant français y possédait un château (où il serait né) qui fut détruit par les Anglais durant la guerre de Cent Ans. En retour, ces derniers furent brûlés dans l'église même du village, plus exactement dans le chœur de celle-ci, lui donnant la particularité d'avoir une partie datant du XIIIe siècle et une autre du XVIIe siècle.
  • Marcel Delépine, né le à Saint-Martin-le-Gaillard et mort le , est un chimiste et pharmacien français.
  • Jean Baptiste André Leschevin ou Léchevin, naquit le à Etocquigny, dans l'ancienne paroisse d'Auberville-sur-Yère. Le goût et l'exercice de la médecine paraissaient héréditaires depuis deux siècles dans sa famille, car il était fils de Jean-Baptiste Léchevin, chirurgien à Etocquigny, petit-fils de Pierre Léchevin, maître en chirurgie à Caude-Cote, ancienne paroisse de Villy-le-Haut, et arrière-petit-fils de Me Léchevin, qui aurait exercé, comme ses descendants, la profession de chirurgien. Entré en qualité d'élève à l'Hôtel-Dieu de Rouen, il était un des plus brillants élèves de Lecat, fondateur de l'Académie de chirurgie de cette ville. Il faillit en devenir le gendre. Il a rédigé des rapports sur certains traitements des maladies dans son service à l'hôpital de Rouen qui attirèrent assez l'attention des autorités de l'époque pour qu'on lui décernât une récompense de 600 livres, à cause de son dévouement aux pauvres. Décédé le , il laissait 100 louis à l'hôpital pour être inhumé dans la chapelle. Il fut enterré dans le cimetière. Son épitaphe, conservée de nos jours dans la chapelle de l'Hospice-Général, porte : « Ci git Jean Baptiste André Leschevin chirurgien émérite de cet hôpital autant estimé pour ces vertus que regretté pour ses rares talents. Il cessa de vivre le 8 mars 1788, âgé de 55 ans 8 mois après avoir employé 32 ans au soulagement des pauvres de cette maison. Que son âme repose en paix[29]. ».

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Saint-Martin-le-Gaillard Blason
D’azur à la croix d’argent chargée d’un lion de gueules, cantonnée au premier et au quatrième d’un trèfle d’or et au deuxièe emt au troisième d’une aigle du même[30].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Saint-Martin-le-Gaillard et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Eu », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Jean Adigard des Gautries. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, n°3, 1958. Page 160.
  13. a et b Archives départementales de la Seine-Maritime, G 1569.
  14. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 918.
  15. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, A. et J. Picard, , p. 140.
  17. Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire étymologique des noms de famille, vol. 2e édition, Perrin, .
  18. « Le village fête le bicentenaire de sa création », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 12
  19. Les Crimes de Saint Martin le Gaillard et de Douvrend, Antoine-Alexandre Boutellier.
  20. « Emmanuel Dubuc promu : Saint-Martin-le-Gaillard : L'ancien premier magistrat a été nommé maire honoraire », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est un parcours sinueux et riche d'engagements qu'a suivi Emmanuel Dubuc, maire de Saint-Martin-le-Gaillard jusqu'en 2008. Il avait pris la suite, en 1996, de Pierre Tételin décédé en cours de mandat ».
  21. « Nouvelle démission à Falaises-du-Talou », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Estimant que la communauté de communes favorise Petit-Caux au détriment du reste du territoire, le vice-président Martial Fromentin a démissionné de ses fonctions ».
  22. « Le maire de Saint-Martin-le-Gaillard, Martial Fromentin, de nouveau candidat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Martial Fromentin n’a pas profité de ses vœux, fin janvier, pour annoncer sa décision. Mais il sera bien candidat à sa succession, et briguera un troisième mandat de maire ».
  23. « Saint-Martin-le-Gaillard. Martial Fromentin dans la continuité : La réunion du conseil municipal de Saint-Martin-le-Gaillard a eu lieu le 26 mai dernier. Martial Fromentin a été réélu maire de la commune », L'Informateur d'Eu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Xavier Togni, « Le regroupement pédagogique intercommunal de Criel-sur-Mer est opérationnel : Les élèves de Saint-Martin-le-Gaillard, Touffreville et Canehan intègrent à la rentrée le groupe scolaire de Criel-sur-Mer, devenu regroupement pédagogique intercommunal concentré. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Sept kilomètres de biodiversité », Courrier picard,‎ , p. 16.
  29. François Hue, Histoire de l'hospice général de Rouen 1602-1840, Rouen, A. Lestringant, (lire en ligne).
  30. La Banque du blason - 76619.