Saint-Pal-de-Chalencon — Wikipédia
Saint-Pal-de-Chalencon | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Yssingeaux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron | ||||
Maire Mandat | Pierre Brun 2020-2026 | ||||
Code postal | 43500 | ||||
Code commune | 43212 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 1 002 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 21′ 27″ nord, 3° 57′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 700 m Max. 978 m | ||||
Superficie | 28,95 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Plateau du Haut-Velay granitique | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes | |||||
Liens | |||||
Site web | www.saint-pal-de-chalencon.fr | ||||
modifier |
Saint-Pal-de-Chalencon est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle est labellisée Petite cité de caractère depuis .
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Pal-de-Chalencon se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
St-Pal-de-Chalencon se situe au sud des Monts du Forez, au cœur de la Vallée de l’Ance, à 887 m d’altitude.
Elle se situe à 51 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 36 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture, et à 12 km de Craponne-sur-Arzon[3], bureau centralisateur du canton du Plateau du Haut-Velay granitique dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Usson-en-Forez (3,9 km), Apinac (4,1 km), Boisset (4,2 km), Merle-Leignec (5,1 km), Tiranges (6,3 km), Saint-Hilaire-Cusson-la-Valmitte (6,8 km), Saint-Julien-d'Ance (6,8 km), Sauvessanges (7,7 km).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tiranges », sur la commune de Tiranges à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 758,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Pal-de-Chalencon est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,2 %), prairies (27,2 %), forêts (27,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %), zones urbanisées (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux
[modifier | modifier le code]De nombreux hameaux sont rattachés à cette commune :
- Bost-Buisson
- La Fleur
- Cossanges
- Brandy-Haut
- Epinassolles
- Malbost
- Brandy-Bas
- Le Grangeon
- Le Pontrenard
- Le Moulin du Sap
- Le Sap
- La Montzie
- Les Gouttes
- Le Boisset-Haut
- Le Boisset-Bas
- Ricou
- Pansier
- Bois de Montclair
- Méalet
- Les Garays
- Combreaux
- Bouffelaure
- Montchany
- Le Vialaron
- Le Villard
- Trespeyres
- Châturanges
- Les Grenouilloux
- Le Bouchet
- Montalet
- Conches
- Pieyres
- L'Étang
- Lavaur
- La Grenouille
- Blaise,
- Le Betz
- Le Breyre
- Tanlas
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 731, alors qu'il était de 736 en 2013 et de 701 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 61,1 % étaient des résidences principales, 23,3 % des résidences secondaires et 15,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,7 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Pal-de-Chalencon en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (23,3 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,6 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Saint-Pal-de-Chalencon[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 61,1 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 23,3 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,6 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Au sud du village de Trespeyres, se trouve un lieu-dit le Chier Gros : il s’agit en nord-occitan d’une grosse pierre, dont la légende dit qu’elle s’ouvre les soirs de Noël, à minuit, et qu’on peut alors voir un trésor[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]La maison de Chalencon est une famille féodale originaire du Velay, attestée dès 1179 en la personne de Bertrand de Chalencon. Selon Régis Valette, sa filiation est suivie depuis 12051. Sa branche ainée prit le nom de Polignac après 1349, devenant ainsi la seconde maison de Polignac (voir Maison de Polignac).
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Montalet[16],[17].
Une des branches cadettes de la famille a accédé en 1949 au trône de Monaco, sous le nom de maison Grimaldi, en la personne du prince souverain Rainier III (1923-2005), fils de Pierre de Polignac (1895-1964) et de Charlotte de Monaco (1898-1977), fille naturelle du prince souverain Louis II de Monaco (1870-1949), issu de la famille de Gouyon. La maison de Polignac conserve le trône monégasque en la personne du prince souverain Albert II de Monaco (né en 1958), fils de Rainier III.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Pal-de-Chalencon est membre de la communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Monistrol-sur-Loire. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[18].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Plateau du Haut-Velay granitique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[19].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune est jumelée depuis 2002 avec la commune Italienne de Belvedere Ostrense dans la région des Marches[20].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].
En 2021, la commune comptait 1 002 habitants[Note 3], en évolution de −1,57 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 43,4 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 500 hommes pour 515 femmes, soit un taux de 50,74 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports
[modifier | modifier le code]- Course de côte de Cacharat[25],[26],[27], remportée par Jean-Luc Thérier en 1972.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018, la commune compte 451 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 974 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 710 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 3,9 % | 4,7 % | 3,1 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 540 personnes, parmi lesquelles on compte 74,3 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 3,1 % de chômeurs) et 25,7 % d'inactifs[Note 5],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 14]. Elle compte 382 emplois en 2018, contre 378 en 2013 et 413 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 392, soit un indicateur de concentration d'emploi de 97,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,1 %[I 15].
Sur ces 392 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 186 travaillent dans la commune, soit 47 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 75,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 13,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Cité médiévale, Saint-Pal-de-Chalencon possède plusieurs croix sculptées : calvaire de Lurou au hameau de « Boisset-Haut » (inscrit), croix monumentale de Trespeyres (XVe siècle), croix de Cossanges classée à l’inventaire des monuments historiques, à double face sculptée aux hameaux de Cossanges et Boisset-Haut (XVIe), croix maltée au hameau du Villard, chapelle de Lorette.
L'église Saint-Paul, d'origine romane, présente deux travées de la nef datant de cette époque. Des éléments tels que l'abside et les chapelles du côté nord ont été reconstruits au XVe siècle, tandis qu'un collatéral sud a été ajouté au XVIIe ou XVIIIe siècle[28].
Le château de Saint-Pal-de-Chalencon, construit à la fin du XVe siècle pour l'évêque de Rodez, devient propriété des Polignac au XVIIe siècle. Sa cuisine abrite une cheminée datant du XVe siècle[29].
Au village, l’enceinte fortifiée du bourg conserve encore quelques tours et trois portes (inscrites aux monuments historiques), vieilles maisons à tourelles dans le bourg ou avec fenêtres à meneaux mais aussi maison d’assemblée, four à pain du hameau de Combreaux[30].
Événements
[modifier | modifier le code]Le festival de bandas Band'Ance a lieu alternativement sur les trois communes d'Usson-en-Forez, Saint-Pal-de-Chalencon et Craponne-sur-Arzon fin septembre.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François Lefort (1946-), prêtre,
- Maurice Monier (1952-), prélat et canoniste, pro-doyen de la Rote romaine, y est né.
- Claude Martin, ambassadeur de France.
Héraldique[31]
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé d’or et de gueules ; à la bordure de sable chargée de huit fleurs de lis d’or. | |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Roger Darcissac, Une municipalité sous la Terreur, Montalet, ci-devant Saint-Pal-en-Chalencon : in Cahiers de la Haute-Loire 1979, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Adrien Lascombe, « Foires et marchés à Saint-Pal-de-Chalencon (sous Louis XIV en 1673) », Tablettes historiques du Velay, no des années 1875-1876, , p. 346-347 (lire en ligne [sur gallica]).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Pal-de-Chalencon ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Pal-de-Chalencon (43212) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Pal-de-Chalencon » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pal-de-Chalencon et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pal-de-Chalencon et Yssingeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Pal-de-Chalencon et Craponne-sur-Arzon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Pal-de-Chalencon », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Pal-de-Chalencon et Tiranges », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Tiranges », sur la commune de Tiranges - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Tiranges », sur la commune de Tiranges - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne)., p. 79, notice 1533
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Pal-de-Chalencon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Roger Darcissac, Une municipalité sous la Terreur, Montalet, ci-devant Saint-Pal-en-Chalencon : in Cahiers de la Haute-Loire 1979, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne).
- « communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Le comité de jumelage de Saint-Pal Mairie de St pal de Chalencon
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Route en lacets située sur les communes d'Apinac, Saint-Pal-de-Chalencon et Merle-Leignec
- Historique de la montée de Cacharat
- Montée Historique de Cacharat
- « Église Saint-Paul », notice no PA00135210, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Château fort », notice no PA00135209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Saint-Pal-de-Chalencon. L’histoire du four à pain de Combreau », sur www.leprogres.fr (consulté le )
- Louis-Pierre Gras, Répertoire héraldique ou Armorial général du Forez, p. 57
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :