Saint-Sulpice-Laurière — Wikipédia

Saint-Sulpice-Laurière
Saint-Sulpice-Laurière
L'église du bourg (XIIIe siècle).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Jean-Michel Peyrot
2020-2026
Code postal 87370
Code commune 87181
Démographie
Gentilé Saint-Sulpicien Saint-Sulpicienne[1]
Population
municipale
811 hab. (2021 en évolution de −2,64 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 13″ nord, 1° 28′ 18″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 623 m
Superficie 14,31 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambazac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Sulpice-Laurière
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Sulpice-Laurière
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Vienne
Saint-Sulpice-Laurière
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Sulpice-Laurière
Liens
Site web www.saint-sulpice-lauriere.fr/

Saint-Sulpice-Laurière (Sent Superis en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Saint-Sulpice-Laurière est située dans l'est du département de la Haute-Vienne, elle est arrosée par le Rivalier, affluent de l'Ardour.

Situation de la commune de Saint-Sulpice-Laurière en Haute-Vienne.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Saint-Sulpice-Laurière[2]
Bersac-sur-Rivalier Laurière
Saint-Sulpice-Laurière
Saint-Léger-la-Montagne Jabreilles-les-Bordes

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

À la gare de Saint-Sulpice-Laurière s'arrêtent les trains TER Nouvelle-Aquitaine des lignes Limoges-Vierzon et Limoges-Montluçon.

Le bourg de Saint-Sulpice-Laurière est contourné par la route départementale 914 qui permet de rejoindre, par le col de la Roche (altitude 456 m), l'autoroute A 20, en traversant La Jonchère-Saint-Maurice (où l'on trouve le seul carrefour équipé de feux tricolores du canton) et Ambazac.

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique limousin et le climat montagnard[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 037 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-la-Montagne à 4,73 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 371,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Saint-Sulpice-Laurière est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,2 %), prairies (17,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), zones urbanisées (7,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Sulpice-Laurière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sulpice-Laurière.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 11,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier

[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Sulpice-Laurière est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

Le bourg de Saint-Sulpice appartient jusqu'à la Révolution française aux hospitaliers de la commanderie de Morterolles[20].

À un kilomètre au nord-ouest du col de la Roche, Saint-Sulpice-Laurière est situé dans un endroit stratégique et il est au pied du camp gallo-romain du Maillorat (oppidum du Châtelard sur le territoire de la commune de Jabreilles-les-Bordes).

Niché dans une cuvette au centre des Monts d'Ambazac, où le climat est rude et peu propice à l'agriculture, Saint-Sulpice n'est, au début du XIXe siècle, qu'un village en marge de Laurière, alors deux fois plus peuplé.

Cette situation change à partir de 1844 quand les promoteurs du chemin de fer décident d'y établir dans un premier temps la « gare de Laurière » (future gare de Saint-Sulpice-Laurière), sur le trajet Vierzon-Limoges, c'est-à-dire Paris-Toulouse, puis un nœud ferroviaire permettant la jonction avec une autre ligne vers Guéret et Montluçon. Cet embranchement nécessite l'établissement d'un important dépôt de machines à vapeur, d'une rotonde et d'un pont tournant pour que les trains allant de Limoges à Guéret puissent manœuvrer. Ces activités demandent une main-d'œuvre nombreuse et l'on voit presque tripler la population de Saint-Sulpice-Laurière entre 1861 et 1921 (passant de 764 à 1 959 habitants).

Avec le remplacement des locomotives à vapeur par des locomotives et autorails diesels, le dépôt devient obsolète. À sa place est installé un parc de remisage des ensembles mobiles de signalisation (parc EMS) de la SNCF, mais il réclame beaucoup moins de personnel, d'où un relatif dépeuplement et déclin de Saint-Sulpice-Laurière.

Cependant, avec ses commerces, son collège et une bonne desserte ferroviaire, le village reste le centre d'activités du canton.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1919 1941 Eugène Piginier SFIO  
avant 1981 ? Michel Bois PCF  
1989 2001 Jacques Gay-bellile SE Président de communauté de commune
mars 2001 2014 Gérard Lardy    
mars 2014 En cours Jean-Michel Peyrot[21] DVG Conseiller départemental remplaçant
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 811 habitants[Note 3], en évolution de −2,64 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
570599601673668699714750781
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7687641 0561 0571 3111 3371 4641 4241 502
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6311 6061 8401 9591 9581 9381 8501 8951 789
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5821 4591 3301 2001 046881941941866
2015 2020 2021 - - - - - -
833819811------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Sulpice : appelée église du bourg, elle date du XIIIe siècle et est classée monument historique depuis le [26]. Elle est adossée à un clocher-donjon du XIe qui avait vraisemblablement un usage militaire défensif.
  • Église Notre-Dame-de-la-Voie : construite au XXe siècle près de la gare de Saint-Sulpice-Laurière grâce à la volonté du père Fredon et la participation financière des paroissiens. Elle fut construite parce que l'église du bourg était trop éloignée de celui-ci et de moins en moins fréquentée. Pour remercier la Vierge Marie d'avoir fait un miracle en sauvant de la mort les ouvriers et le chef de chantier lors de l'éboulement d'un tunnel en 1849, une statue avait déjà été offerte à la Vierge. Cette statue fut d'abord hébergée dans l'église du bourg puis trouva sa place dans la nouvelle église. La première pierre fut posée en 1955 ; le chantier fut interrompu et repris en 1963 pour se terminer le  ; elle fut bénie le . On y trouve aussi une bannière des cheminots qui avait été bénie le lors d'une importante cérémonie.
  • La Font-du-Loup : ancienne fontaine-lavoir.
  • Étang de la papeterie sur le Rivalier.
  • Gare de Saint-Sulpice-Laurière et sa plantation de ginkgo biloba.
  • La Pierre du Roi, chaos granitique évoquant la forme d'un siège, lieu de rencontre supposé entre Louis XIV et Madame de Montespan[27].

Galerie de photos

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Blasonnement

[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Saint-Sulpice-Laurière se blasonnent ainsi :

De sinople à la cotice en barre d'or chargée d'une cotice en barre de gueules surchargée de l'inscription en capitales aussi d'or SAINT SULPICE LAURIERE et accompagnée, en chef, de 3 vaches couchées d'argent, 2 contournées, la troisième plus grosse brochant en partie sous celle de dextre, et, en pointe, de l'église du lieu aussi d'argent ; au chef cousu d'azur chargé de 3 feuilles de ginkgo biloba d'or penchés à dextre.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Antoine Perrier, Georges Astier. « Saint-Sulpice-Laurière : un avenir incertain », dans Limousin-Magazine no 56, , vol. 50, no 1, Norois, 1966, p. 279–281 (Compte rendu).
  • José Banaudo, Fabrice Lanoue, « St.Sulpice-Laurière », Sur les rails du Limousin, éditions de Borée, 160 pages, 2003 (ISBN 9782844942043), p. 72–73 (extrait)
  • Chronique du Temps Passé à Saint-Sulpice-Laurière de Gérard DUMONT (COPYMEDIA)

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. http://www.habitants.fr/habitants_departement_haute-vienne_87.html#COMS habitants
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-Laurière et Saint-Léger-la-Montagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Leger la Montagne_sapc » (commune de Saint-Léger-la-Montagne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Leger la Montagne_sapc » (commune de Saint-Léger-la-Montagne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Sulpice-Laurière ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Sulpice-Laurière », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. Marie-Claire Pontier, Archives départementales de la Haute-Vienne : Fonds des commanderies de l'ordre de Malte (1195-1791) - Inventaire analytique, Limoges, (lire en ligne), p. 12-29
    39 H 129, arpentement du bourg de Saint-Sulpice-Laurière réalisé en 1746.
    .
  21. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Eglise de Saint-Sulpice-Laurière », notice no PA00100489, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Jean-François Julien, « Saint-Sulpice Laurière, chemin de fer et abricots d'argent », Le Populaire du Centre, (consulté le ).
  28. Dominique Tantin, Michel Thébault, Isabel Val Viga, « COUTY Odette », dans Le Maitron, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)