Sauxillanges — Wikipédia

Sauxillanges
Sauxillanges
Place du bourg.
Blason de Sauxillanges
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Issoire
Intercommunalité Communauté d'agglomération Agglo Pays d'Issoire
Maire
Mandat
Vincent Challet
2020-2026
Code postal 63490
Code commune 63415
Démographie
Population
municipale
1 315 hab. (2021 en évolution de +7,26 % par rapport à 2015)
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 07″ nord, 3° 22′ 20″ est
Altitude Min. 418 m
Max. 667 m
Superficie 24,90 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Issoire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brassac-les-Mines
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sauxillanges
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sauxillanges
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Voir sur la carte topographique du Puy-de-Dôme
Sauxillanges
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Sauxillanges

Sauxillanges [soksilɑ̃ʒ] est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Sauxillanges se situe à une dizaine de kilomètres d'Issoire, à 30 km de Brioude, 40 km de sa préfecture Clermont-Ferrand, 80 km du Puy-en-Velay, 110 km d'Aurillac et 250 km de Béziers par l'autoroute A75.

Lieux-dits et écarts

[modifier | modifier le code]

Bord, le Bourg, Champataud, Charbonnier, la Chassagne, les Chassagnes (à cheval sur la commune de Manglieu), le Château de la Marine, Château Gaillard, Chouvet, la Coierie, le Colombier, le Colombier Bas, la Fontenille, la Garde, la Gardezie, Jeanleix (anciennement Janlet), Lacot, la Limandie Basse, la Limandie Haute, Lospeux, le Martinet, Mauvy, la Mémondie, Montbenoit, le Montel, Mouteix, Mouton, les Ollières, le Petit Bois, Petit Soleilhant, la Prade, Randan, la Réveille, les Ruchers, Sacot, le Say, Soleilhant, le Theil, la Tuilerie, Ventre, les Versannes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Issoire », sur la commune d'Issoire à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 610,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Sauxillanges est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoire, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,5 %), forêts (28 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (3 %), terres arables (0,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Sauxillanges est située dans une vallée, au pied de la butte d'Usson, est l'une des quatre clefs d'Auvergne (appelées aussi les quatre portes) avec Vodable, Ybois et Nonette.

Un prieuré clunisien

[modifier | modifier le code]

L'abbaye de Sauxillanges a été fondée par deux donations successives : en 917 par le duc Guillaume d'Aquitaine, puis le 11 octobre 927 par son neveu le duc Acfred. Les moines s'y installent vraisemblablement à partir de 944.

Elle dépend de l'abbaye bénédictine de Cluny (créée en 909). Son premier abbé fut un certain Odo ou Odon. Elle accueille plus de quatre-vingts moines dès la fin du Xe siècle.

En 1062, plusieurs abbayes dont Sauxillanges sont transformées en prieurés par Hugues de Semur, sixième abbé de Cluny. Pierre le Vénérable, né à Montboissier en 1094, y fait ses études avant de revêtir l'habit religieux en 1109, et de devenir prieur claustral de Vézelay puis prieur de Domène en Isère et ensuite abbé de Cluny qu'il dirigea jusqu'à sa mort en 1156.

L'abbaye de Sauxillanges a été l'un des cinq grands prieurés de l'Ordre de Cluny avec Souvigny, La Charité-sur-Loire, Saint-Martin-des-Champs à Paris et Lewes en Angleterre.

Époque moderne

[modifier | modifier le code]

Les plus grands noms de l'Armorial sont prieurs commendataires de Sauxillanges : un La Rochefoucauld dans les années 1620, le cardinal Raynaud d'Este en 1656, Charles-François de Goüé, François-Constantin de La Tour d'Auvergne, un illustre théologien, Louis de Murat et le prince Louis-René de Rohan-Guéméné qui est le dernier prieur de 1745 (il a onze ans) à la Révolution. Ce dernier n'y est jamais venu.

Vue générale de Sauxillanges.

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

Après 1789, le prieuré est détruit en partie et les biens de l'Église sont vendus à des particuliers jusqu'en 1793.

Le 16 avril 1797 les partisans du retour de la monarchie affrontent physiquement les néo-jacobins, place de la Constitution[12].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Jean Barrière Radical Conseiller général (1903-1910 et 1914-1919)
         
1953 ? Raoul Mazet
(1915-2008)
CNI
puis RI
Agent général d'assurances, huissier de justice
Conseiller général (1973-1979)
         
mars 2008 mars 2014 Bernard Sauvade PS puis DVG Président de la communauté de communes du Pays de Sauxillanges
Conseiller général (1998-2015)

(réélu en 2020)
En cours
(au )
Vincent Challet[13],[14] DVG Président de la communauté de communes du Pays de Sauxillanges (2014[15]-2016)
Chargé de mission à l'UNCCAS[16]

La commune est jumelée avec Fosdinovo (Italie) depuis 2003.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

En 2021, la commune comptait 1 315 habitants[Note 2], en évolution de +7,26 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0661 7441 9531 9931 9482 1282 0492 2342 173
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1442 0372 0041 9642 0011 9361 9471 9111 893
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8481 7041 6071 5351 5431 5121 4101 2511 175
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1511 1651 1141 1351 1091 0821 1091 1221 162
2014 2019 2021 - - - - - -
1 2251 2961 315------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Sauxillanges dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école maternelle et une école élémentaire publiques[21].

Les élèves poursuivent leur scolarité à Issoire, au collège Les Prés[22], puis au lycée Murat pour les filières générales et STMG[23]. Les élèves de la filière STI2D vont à Clermont-Ferrand, soit au lycée Lafayette, soit au lycée Roger-Claustres[23].

Après la délocalisation en périphérie en 2015 de la supérette du village, des habitants se regroupent en association pour ouvrir en 2017 une épicerie autogérée l’Alternateur dont le concept est inspiré de la Park Slope Food Coop[24].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Église Notre-Dame de l'Assomption.
  • Chapelle Notre-Dame-du-Bois (XIe, XVe et XVIe siècles, propriété privée).
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 22 octobre 1971.
  • Vestiges de l'ancienne église Saint-Jean-Baptiste (Xe, XIIe, XVe et XVIIIe siècles, propriété privée).
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 13 septembre 1984.
  • Vestiges de l'ancien monastère (XIIe, XVe et XVIIe siècles, propriété privée).
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 9 octobre 1969. Aujourd'hui, il reste plusieurs bâtiments et des vestiges :
    • la chapelle gothique (les murs gouttereaux et le chevet remontent au XIIe siècle), la chapelle Notre-Dame-du-Bois, qui est en cours de restauration[Quand ?], avec cinq clefs de voûte superbes qui sont attribuées respectivement aux Bourbons (armes de France : d'azur à trois fleurs de lys), à Jacques d'Amboise (palé d'or et de gueules), à Johannes des Laurents prieur au moment de la construction de la chapelle (étoile à six branches sous un lambel à trois pendants en chef), à Carolus de Bourbon 73e prieur (d'azur à trois fleurs de lys d'or au bâton de gueules) et à Cluny (un glaive et deux clefs croisées) ;
    • le dortoir, le réfectoire et quelques vestiges de l'ancienne église priorale (détruite après la Révolution) remontent au XIIe siècle. La galerie est date du début du XIVe siècle et les galeries sud et ouest sont datées de 1703 ;
    • plus à l'est, à quatre mètres sous le niveau de la place actuelle, les vestiges d'un tympan et des colonnes jumelées surmontées de chapiteaux décorés attestent la présence de l'ancienne chapelle Saint-Jean-Baptiste ;
    • quelques vestiges se trouvent englobés dans des habitations particulières, des immeubles, des caves ou des jardins ;
    • depuis la place de la promenade, on peut voir les restes des anciennes fortifications du monastère datant du XVe siècle.
  • Immeuble place du Marchédial (cadastré AP 336). Façade sur rue et toiture (XVIe siècle).
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 28 décembre 1984.
  • Maison rue de la Halle (cadastrée AP 337). Vestiges d'une ancienne enceinte, façade sur rue et toiture.
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 14 mai 1973.

Patrimoine naturel

[modifier | modifier le code]

La commune de Sauxillanges est adhérente du parc naturel régional Livradois-Forez.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Jean Chantagrel (1822-1907), homme politique, député du Puy-de-Dôme puis sénateur du Puy-de-Dôme de 1898 à 1907.
  • Roger Paul : joueur de rugby à XV.
  • Georges Alary: compositeur résidant Villa Fantasio
  • Henri Barbusse: écrivain qui venait en cure à Sauxillanges (Louis Passelaigue, " Le père de l’écrivain Henri Barbusse en cure à Sauxillanges accompagné de ses trois enfants " le Gonfanon n°88, 2022

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • A. Achard, « Possessions du monastère de Sauxillanges dans le département de la Haute-Loire », Almanach de Brioude, Brioude,‎
  • A. Achard, « Le prieuré (Sauxillanges) », Le Moniteur d'Issoire, 1939-1940, 121 épisodes.
  • Jean-Pierre Chambon, « L'onomastique du censier interpolé (ca 946) dans la charte de fondation du monastère auvergnat de Sauxillanges », Revue de linguistique romane, t. 68, 2004, p. 105-180.
  • Jean-Claude Fauveau, Le prince Louis cardinal de Rohan-Guéméné ou les diamants du roi, L'Harmattan. 2007.
  • Jean-Claude Fauveau, « Les cinq clefs de Sauxillanges », Patrimoine des Pays de Sauxillanges, no 4, Association Pierre Le Vénérable, 2007.
  • G. Fournier, Le peuplement rural en Basse-Auvergne, PUF, Paris, 1962.
  • J. Lacombat, En Auvergne au pays des volcans, des lacs, des châteaux, des églises. Sauxillanges, site clunisien, Imprimé par l'auteur, Billom, 2004.
  • M. Toulemont, « Sauxillanges », Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, t. LXXXV, no 628,1971, p. 3-68.
  • M. Toulemont, « Le prieuré bénédictin de Sauxillanges », Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, t. LXXXVI, 1973, no 702, p. 125-158.
  • C. Vezon, Les réalités architecturales du bâti du prieuré de Sauxillanges, XIIe siècle-XVe siècle , 3 t, Master 2, Université Blaise Pascal, Clermont-Ferrand, 2006.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Sauxillanges et Issoire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Issoire », sur la commune d'Issoire - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Issoire », sur la commune d'Issoire - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sauxillanges ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Issoire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Philippe Bourdin, « Les « Jacobins » du Bois de Cros (Clermont-Ferrand, an V) : Chronique d'un massacre annoncé », Annales historiques de la Révolution française, no 308,‎ , p. 256-257 (lire en ligne).
  13. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  14. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
  15. « Vincent Challet président de la Com'com », sur lamontagne.fr, .
  16. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 35 (édition du Puy-de-Dôme).
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Annuaire des établissements scolaires de Sauxillanges sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le 6 avril 2018).
  22. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ) ; taper « SAUXILLANGES » dans le formulaire de saisie.
  23. a et b « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  24. Elodie Horn, « En Auvergne, un magasin autogéré sauve un village de la désertification », sur reporterre.net, (consulté le ).