Seppois-le-Bas — Wikipédia

Seppois-le-Bas
Seppois-le-Bas
L'église Saint-Maurice.
Blason de Seppois-le-Bas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Altkirch
Intercommunalité Communauté de communes Sud Alsace Largue
Maire
Mandat
Maurice Barnabe
2020-2026
Code postal 68580
Code commune 68305
Démographie
Gentilé Bas-Seppoisiens
Population
municipale
1 408 hab. (2021 en évolution de +5,23 % par rapport à 2015)
Densité 209 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 32′ 13″ nord, 7° 10′ 31″ est
Altitude Min. 365 m
Max. 440 m
Superficie 6,73 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Masevaux-Niederbruck
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Seppois-le-Bas
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Seppois-le-Bas

Seppois-le-Bas (Needersept en alsacien) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie

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Les habitants de Seppois-le-Bas sont appelés Bas-Seppoisiens et Bas-Seppoisiennes.

Formant une agglomération continue avec la commune voisine de Seppois-le-Haut, elle se trouve au croisement des axes routiers Bâle - Montbéliard (l'ancienne route nationale 463) et Porrentruy - Altkirch.

Au nord, Largitzen, à l'est Seppois le Haut, au sud, Pfeterhouse, au sud-ouest Rechesy, à l'est et au nord-est Ueberstrass
Les communes limitrophes de Seppois-le-Bas.

Les grandes agglomérations les plus proches de Seppois-le-Bas sont Bâle à 40 kilomètres à l'est, Mulhouse à 30 kilomètres au nord, Belfort à 40 kilomètres au nord-ouest, Montbéliard à 35 kilomètres à l'ouest et Delémont à 35 kilomètres au sud.

La Largue est la principale rivière qui traverse la commune.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins versants du Rhin et de la Saône au sein respectivement du bassin Rhin-Meuse et du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par la Largue et la Suarcine[1],[Carte 1].

La Largue, d'une longueur de 51 km, prend sa source dans la commune de Oberlarg et se jette dans l'Ill à Illfurth, après avoir traversé 28 communes[2]. Les caractéristiques hydrologiques de la Largue sont données par la station hydrologique située sur la commune de Friesen. Le débit moyen mensuel est de 1,07 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 35,6 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 65,5 m3/s, atteint le [3].

La Suarcine, d'une longueur de 20 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Bourbeuse à Montreux-Château, après avoir traversé 13 communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Seppois-le-Bas[Note 2].

Divers plans d'eau complètent le réseau hydrographique : Blaisyweiher, d'une superficie totale de 2,3 ha (1,3 ha sur la commune), Hutzele Weiher, d'une superficie totale de 2,3 ha (2 ha sur la commune), Kleinweiher (0,4 ha), Krummweiher, d'une superficie totale de 3,1 ha (2,9 ha sur la commune), l'étang entre les Bois, d'une superficie totale de 1,2 ha (0,2 ha sur la commune), Neuweiher (2,7 ha), Saltzgraben Weiher, d'une superficie totale de 1,5 ha (1,4 ha sur la commune), Schilligweiher, d'une superficie totale de 1 ha (0,2 ha sur la commune), Stoeckele Weiher (0,7 ha) et Storckenholzweiher (1,1 ha)[Carte 1],[5].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Largue ». Ce document de planification concerne le bassin versant de la Largue et une zone située à l'ouest du périmètre (la région de Montreux). Ce territoire s'étend sur 385 km2. Le périmètre a été arrêté le 4 mars 1996 et le SAGE proprement dit a été approuvé le puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat mixte pour l'aménagement et la renaturation du bassin versant de la Largue et du secteur de Montreux, qui a évolué en Epage le , sous le nom de Epage Largue[6].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 911 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Carspach », sur la commune de Carspach à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 827,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,1 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,7 °C, atteinte le [Note 3],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Seppois-le-Bas est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (63,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,3 %), forêts (28,2 %), zones agricoles hétérogènes (15,7 %), zones urbanisées (13,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • Sape (1256), Sapoi (1257), Septe (1269), Saipoy (1370), Sapois/Sappoy/Seppoix (1582), Sept pois (Cassini), Nidersept (1793).
  • En allemand : Niedersept[19].

Même si on pense que le village existait déjà à l'époque des Celtes, le plus vieux document faisant référence à Saipoy date de 1164[20]. Un autre, de 1264 et conservé dans le fonds de Lucelle confirme cette existence[21].

Un texte daté de 1302 fait pour sa part apparaître une distinction entre Seppois-le-Bas (Septen inferioris) et Seppois-le-Haut[22].

En 1530, les autorités religieuses et les fidèles d'une paroisse comprenant les deux Seppois, Luffendorf et une partie de Bisel signent une charte de 32 décrets qui serait la première du genre sur le territoire alsacien[21].

C'est aussi vers cette date que sera célébré le mariage de Marie de Hagenbach et de Jean Eusèbe de Breitenlandenberg. Leurs descendants habiteront un manoir au village jusqu'en 1818[20].

Pendant la Guerre de Trente Ans, les Suédois ravagent le pays et en 1633, seule une maison du village serait restée debout[21].

En 1789, le seigneur de Seppois va représenter la noblesse de l'Alsace du Sud aux états généraux à Versailles. Fin , lors des troubles de la Grande Peur, les paysans attaquent le manoir. Durant la Terreur, Jean Bochelen, vicaire du village qui célébrait des messes en cachette, est arrêté et fusillé à Colmar en 1798[20].

En 1871, par le Traité de Francfort, l'Alsace est cédée à l'Empire allemand, à l'exception de la partie sud-ouest du Haut-Rhin qui deviendra le Territoire de Belfort. Du fait de sa position limitrophe avec ce nouveau département français, Seppois-le-Bas devient un village frontière et accueille un poste de douane[23].

Au début du XXe siècle, Seppois-le-Bas bénéficie des effets de la croissance économique de l’époque. Quatre foires annuelles se mettent en place et un marché s’établit tous les mercredis ; tous deux connaissent un certain succès[21]. Bien que les agriculteurs y demeurent largement majoritaires, le village compte également 4 restaurants, 3 menuisiers, 2 boulangers, 2 charrons, 2 cordonniers, 2 épiciers, 2 tailleurs, 1 boucher, 1 maréchal-ferrant, 1 sabotier, 1 sellier et 1 tonnelier ainsi qu’une forge, un moulin et une unité de fabrication de boîtiers de montres. À cela, il convient d’ajouter une poste et une perception. Une petite communauté israélite, essentiellement commerçante, s'est implantée et possède sa propre synagogue. Celle-ci sera détruite pendant la première guerre mondiale et ne sera jamais reconstruite. De nos jours, les seuls vestiges de cette installation sont une Rue des Juifs proche de leur ancien lieu de culte et un cimetière israélite[24].

Une ligne de chemin de fer Dannemarie-Pfetterhouse passant par le village est construite en 1908 et inaugurée en 1910. Cette ligne continuera à fonctionner jusqu'en 1968, puis, laissée à l'abandon, la majeure partie de son tracé sera convertie en piste cyclable dans les années 1990[25].

L'église détruite (1916).

À partir du , le village connait une période de troubles et d’incertitude lies à la Première Guerre mondiale. On peut ainsi citer notamment le 23 août où l’armée allemande occupe la localité le matin et les Français l’après-midi. Le 3 septembre, des dragons venant de Belfort investirent le village et emmenèrent derrière leurs lignes tous les hommes valides qu’ils trouvèrent encore et qui étaient âgés entre vingt et trente-deux ans. Le 17 septembre, ce fut au tour des Allemands de venir procéder de la même manière[26]. En octobre, le front se stabilise à quelques kilomètres du village qui devient un cantonnement de l’armée française. Le clocher de l’église sert notamment de tour de guet. Toutefois, ce nouveau statut fait que Seppois-le-Bas subit de nombreux bombardements jusqu’à la fin de la guerre. Le , une cérémonie est organisée, au cours de laquelle les villageois présentent leurs vœux aux militaires et qui symbolisera officiellement le retour de la localité à la France[27]. Mais devant l’intensification du pilonnage, la population civile est évacuée à la fin et ne reviendra qu’au printemps 1919 dans un village transformé en champ de ruines[28]. Ces évènements vaudront au village la croix de guerre de 1914-1918 (Journal officiel du )[22].

Durant la Seconde Guerre mondiale, Seppois, comme le reste de l'Alsace, sera à nouveau annexé au Reich allemand, et retrouvera son statut de poste frontière. Du fait de sa proximité avec la Suisse, le village accueillera alors plusieurs passeurs. Toutefois, la guerre touche à sa fin le , lorsque le Régiment d'infanterie coloniale du Maroc, incorporé à la première armée du Général de Lattre de Tassigny fait de Seppois-le-Bas le premier village libéré d'Alsace[21].

Héraldique

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Blason de Seppois-le-Bas

Les armes de Seppois-le-Bas se blasonnent ainsi :
« D'or à trois écussons de gueules deux et un, au chef de gueules à trois anneaux d'argent »[22].

Politique et administration

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Liste des maires

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La mairie de Seppois le Bas
La mairie[29].
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 mars 1977 Édouard Braun SE -
mars 1977 mars 2014 Francis Demuth DVD Conseiller général du canton de Hirsingue (1988-2008)
mars 2014 En cours Claude Burgy SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2015

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En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[30] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 458 000 , soit 1 167  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 109 000 , soit 888  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 981 000 , soit 786  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 426 000 , soit 341  par habitant ;
  • endettement : 4 822 000 , soit 3 861  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 16,08 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,09 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 70,95 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 19,72 %.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 1 408 habitants[Note 4], en évolution de +5,23 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
590750555520621717762799810
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
723692737686709711712667732
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
629703726458517531547553562
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5395606456388369461 0641 0801 235
2017 2021 - - - - - - -
1 3781 408-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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  • Collège de la Largue : situé impasse de la Gare, 300 élèves environ y sont inscrits.
  • École maternelle, 6 place du Marché,
  • École primaire publique (École J. H. Lambert), 8 rue de la gare

Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Maurice[35], l'orgue de 1930[36],[37] et une fresque murale du peintre Alfred Giess[38].
  • Ancienne synagogue[39].
  • Maison des Breiten-Landenberg[40].
  • Maison, forge de maître de forge[41].
  • Monuments commémoratifs :
    • Monument aux morts[42],
    • Cimetière de catholiques, de militaires[43],
    • Cimetière de juifs[44],[45].
  • Le village dispose de plusieurs monuments commémorant les âpres combats qui permirent sa libération, en 1944.

Personnalités liées à la commune

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Il s'agit de trois bâtiments; celui de gauche, gris, fait trois étages, alors que les deux autres n'en comportent que deux; celui du milieu a avec une façade blanche alors que celui de droite, gris avec des liserés jaunes, est aussi large que les deux autres réunis
Le siège de l'entreprise Waterair.
  • L'entreprise Waterair qui fabrique des piscines est implantée à Seppois-le-Bas.

Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 21/05/2024 à 02:05 TU à partir des 392 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/08/1969 au 01/04/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au .
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Seppois-le-Bas » sur Géoportail (consulté le 15 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Seppois-le-Bas », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Sandre, « la Largue »
  3. « Station hydrométrique La Largue à Friesen », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le ).
  4. Sandre, « la Suarcine »
  5. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « SAGE Largue », sur gesteau.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Seppois-le-Bas et Carspach », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Carspach », sur la commune de Carspach - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Carspach », sur la commune de Carspach - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. Insee, « Métadonnées de la commune de Seppois-le-Bas ».
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868)
  20. a b et c Jean-Daniel Gissinger et Dominique Zeller, « Historique », Visite du village, sur École Mixte Jean-Henri Lambert Seppois-le-Bas (consulté le ).
  21. a b c d et e Mairie de Seppois-le-Bas, « histoire de seppois-le-bas 68580 » (consulté le ).
  22. a b et c C. Wilsdorf, L. Rohn, A. Herscher, « Seppois le Bas », Armoiries des communes du Haut-Rhin, sur Archives Départementales du Haut-Rhin, (consulté le ).
  23. Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense, « Le Haut-Rhin et la Grande Guerre dans les collections photographiques et cinématographiques de l’ECPAD (1915-1919) » [PDF] (consulté le ).
  24. Vincent Heyer, Le front oublié : Seppois et ses proches alentours dans la première guerre mondiale, Courtelevant, Éditions CSV, coll. « La grande guerre », , 194 p. (ISBN 978-2-9530579-0-4, lire en ligne), p. 21-22.
  25. Claudio Filipponi, « Le chemin de fer (Porrentruy) - Bonfol - Pfetterhouse - Dannemarie », sur Binary Morti, (consulté le ).
  26. Vincent Heyer, Le front oublié : Seppois et ses proches alentours dans la première guerre mondiale, Courtelevant, Éditions CSV, coll. « La grande guerre », , 194 p. (ISBN 978-2-9530579-0-4, lire en ligne), p. 39.
  27. Vincent Heyer, Le front oublié : Seppois et ses proches alentours dans la première guerre mondiale, Courtelevant, Éditions CSV, coll. « La grande guerre », , 194 p. (ISBN 978-2-9530579-0-4, lire en ligne), p. 63-64.
  28. Vincent Heyer, Le front oublié : Seppois et ses proches alentours dans la première guerre mondiale, Courtelevant, Éditions CSV, coll. « La grande guerre », , 194 p. (ISBN 978-2-9530579-0-4, lire en ligne), p. 99.
  29. « mairie, école », notice no IA68002995, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Les comptes des communes : Seppois le Bas » [archive du ], Ministère français de l'Économie et des Finances, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « église paroissiale Saint-Maurice », notice no IA68002992, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Notice no IM68006292, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture orgue de l'église paroissiale Saint-Maurice
  37. Inventaire de l'orgue
  38. Lucien Naegelen, « L'Artiste cet aristocrate », Supplément n°8 au journal l'Alsace,‎ juillet aout 1998, p. 70-73
  39. La communauté disparut au cours de la première guerre mondiale
  40. « maison des Breiten-Landenberg », notice no IA68002997, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « maison, forge de maître de forge », notice no IA68002996, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no IM68006294, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture monument aux morts
  43. « Cimetière de catholiques, de militaires », notice no IA68002993, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « cimetière de juifs », notice no IA68002994, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Cimetières israélites du Haut-Rhin
  46. « Alsace : le palmarès sportif de 2020 est sorti, Yann Ehrlacher détrône Pierre-Hugues Herbert », France 3 Grand Est,‎ (lire en ligne, consulté le )
  47. Luc Dreosto, « Cyclisme : Hugo Hofstetter, un Alsacien participera au Tour de France 2020 », France Bleu Alsace,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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