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DeutschSophie Whettnall — Wikipédia
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| Naissance | |
|---|---|
| Nom de naissance | Sophie Ullens de Schooten Whettnall |
| Nationalité | |
| Activité | |
| Famille | |
| Père | Charles-Albert Ullens de Schooten Whettnall (d) |
| Mère | |
| Fratrie | Marie-Christine Ullens (d) Jean-Charles Ullens (d) Astrid Whettnall |
| Conjoint | Michel van Dyck (d) (depuis ) |
| Parentèle | Lionel Jadot (beau-frère) Désirée Kogevinas (d) (sœur utérine) |
| Site web | |
|---|---|
| Distinction |
Sophie Whettnall, nom d'artiste de Sophie Ullens, est une artiste contemporaine belge née en 1973 à Bruxelles.
Famille
[modifier | modifier le code]Sophie Whettnall est la fille de Charles-Albert Ullens, comte de Schooten-Whettnall (1927-2006) et de Madeleine Bernadotte, comtesse Bernadotte (1938)[1]. Par son père, elle est donc la petite-fille du comte Jean Ullens (1897-1950) et de la baronne Marie-Thérèse Wittouck (1905-1989) tandis que, par sa mère, elle descend du prince suédois Carl Bernadotte (1911-2003) et de sa première épouse, la comtesse Elsa von Rosen (1904-1991).
Le , elle épouse, à Bruxelles, le publicitaire belge Michel van Dyck (1963)[1].
Biographie
[modifier | modifier le code]Sophie Whettnall naît en 1973 à Bruxelles[2].
Elle entretient pendant un temps une romance avec le prince Felipe d'Espagne à la fin des années 1990[3],[4],[5]. Au sujet de sa relation avec le futur Felipe VI, Sophie déclare alors : « Je ne peux pas m'imaginer être la reine d'un pays en ce moment. Pour l'instant, ce dont je rêve, c'est d'être une artiste[6]. »
Elle est lauréate du Prix de la Jeune Peinture belge en 1999 et membre de la 76e promotion de la Casa de Velázquez (2005-2006)[7],[8].
En 2010, elle présente ses travaux de dessin, de vidéo, d'installations vidéo et de performance en Europe et en Chine, est en visite dans l'Utah dans le cadre du programme salt de l'Utah Museum of Fine Arts, qui est lancé pour faire venir dans l'Utah des artistes contemporains du monde entier[9].
En 2019, elle présente à la Centrale électrique un ensemble de vidéos et d’installations sous le titre La banquise, la forêt et les étoiles[10],[11].
Expositions
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- « Sophie Whettnall », dans Anne Damman (éd.), Moi ou un autre : autoportraits d'artistes belges, Tournai, La Renaissance du livre, , 159 p. (ISBN 9782871932956, présentation en ligne), p. 144.
Articles de presse
[modifier | modifier le code]- Marine Vazzoler, « Sophie Whettnall / Etel Adnan : une immensité intime », Le Quotidien de l'art, no 1707, (lire en ligne)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) « Sophie Ullens », sur The Peerage (consulté le ).
- « Whettnall, Sophie », sur ledelarge.fr
- Régine Salens, « Les liens royaux de la famille Ullens de Schooten », La Libre Belgique, (lire en ligne, consulté le ).
- « Felipe d'Espagne et Sophie Ullens de Schooten : le coup de foudre », Point de vue, no 2555, .
- (es) « El príncipe intima con la princesa Sofía Ullens », ¡Qué me dices!, no 16, .
- (es) Jaime Peñafiel, Alto y Claro, Barcelona, Grijalbo, , 336 p. (ISBN 9788418055553).
- Artistes de la Casa de Velázquez : - , Madrid, Casa de Velázquez, , 156 p. (ISBN 9788496820036).
- (en) « List of Past & Current Fellows - Artistic creation | Casa de Velázquez », sur casadevelazquez.org (consulté le ).
- (en) Glen Warchol, « Sophie's choice, in new UMFA exhibit », sur sltrib.com, (consulté le ).
- Johan-Frédérik Hel Guedj, « La banquise, la forêt et les étoiles de Sophie Whettnall », L'Écho, (lire en ligne).
- Pascal Goffaux, « Sophie Whettnall, le voyage en soi », RTBF, (lire en ligne).
- « Sophie Whettnall Entre la banquise et les étoiles, un peu de fraîcheur », sur lesoir.be,
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
