Stade montois rugby — Wikipédia
Nom complet | Stade montois rugby |
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Surnoms | Les abeilles Les guêpes |
Fondation | |
Statut professionnel | SASP |
Couleurs | Jaune et noir |
Stade | Stade André-et-Guy-Boniface (12 212[1] places) |
Siège | 270 avenue du stade 40000 Mont-de-Marsan |
Championnat actuel | Pro D2 (2024-2025) |
Président | Jean-Robert Cazeaux |
Entraîneur | Patrick Milhet Stéphane Prosper (adjoint) Julien Tastet (avants) Frédéric Urruty (arrières) Romain Mareuil (mêlée) |
Site web | stademontoisrugby.fr |
National[note 1] | Championnat de France D1 (1) Challenge Yves du Manoir (3) Championnat de France D2 (2) Championnat de France Fédérale 1 (1) |
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Maillots
Actualités
Le Stade montois rugby est un club de rugby à XV créé en 1908 et basé à Mont-de-Marsan.
Section rugby du Stade montois omnisports, il est champion de France en 1963, remporte trois fois le challenge Yves du Manoir en 1960, 1961 et 1962, et est également vice-champion d'Europe en 1964 sous la conduite de l’entraîneur Fernand Cazenave.
Le club évolue en 2024-2025 en Pro D2.
Histoire
[modifier | modifier le code]Les origines
[modifier | modifier le code]L'association sportive du lycée Victor-Duruy prend le nom de Boutons d'Or en 1898. Elle favorise la pratique du rugby venu d'Angleterre à la fin du XIXe siècle, cousin de la barette aquitaine, parmi les élèves[2].
Les débuts du club
[modifier | modifier le code]Le , au soir d'un match ayant opposé l'équipe des Boutons d'Or à celle de l'Union sportive dacquoise, un petit groupe de personnes se réunit au café Le Divan à Mont-de-Marsan afin de créer un club sportif sous le nom de Stade montois, qui prend les couleurs jaune et noir des Boutons d'Or[3]. Ce dernier est principalement destiné à la pratique du football-rugby, mais fait également place aux sports athlétiques[4]. L'équipe joue ainsi le premier match de son histoire le aux Zéphyrs de Riscle, en déplacement[5], avant un match retour dans les Landes le au stade de l'Argenté[6].
Avant la guerre, le club évolue au niveau régional.
Après un match nul lors de la première confrontation, il perd la finale du championnat de Côte d'Argent de 2e série contre son voisin landais de Morcenx 3-0 en 1931.
L’âge d’or du Stade montois (1946-1972)
[modifier | modifier le code]Camille Pedarré préside le club de 1946 à 1976[7]. C’est à cette époque que le club connaît ses meilleurs résultats et que naît le fameux « rugby champagne », envié par tous les clubs de France.
Au fil des générations, les couleurs du « Stade » seront représentées sur les cinq continents par de nombreux internationaux tels Jean-Baptiste Amestoy, les frères Guy Boniface et André Boniface, Robert Carrère, Christian Darrouy, Benoît Dauga, Pierre Lacroix et Pierre Pascalin, qui participera à la première victoire du XV de France à Twickenham en 1951[8].
Montée en première division en 1944
[modifier | modifier le code]Mont de Marsan monte pour la première fois dans l’élite en 1944 dans un Championnat porté à 96 clubs. Lors de cette saison, il bat notamment le Biarritz olympique 16-0 et cette victoire fait sensation dans la région. Toutefois, il ne se qualifie pas pour la seconde phase.
En 1946, Mont de Marsan ne fait pas partie des 32 meilleurs clubs français et est relégué dans le deuxième tableau du Championnat mais il retrouve sa place dans l'élite via une phase de brassage qui mélange en début de saison les clubs issus du premier groupe avec les autres. Il se qualifie même pour les playoffs mais échoue à se qualifier pour les huitièmes de finale au profit de Lourdes et de Romans.
La saison suivante, il se qualifie pour les huitièmes de finale du Championnat, éliminant notamment Perpignan dans sa poule de 5 mais est ensuite éliminé en huitième de finale par Bayonne 3-0. Le club atteint également les huitièmes de finale de la coupe de France, éliminé par le futur vainqueur, le Castres olympique.
Vice-champion de France 1949
[modifier | modifier le code]Après avoir battu, Tarbes, le Stade toulousain et enfin Brive en demi-finale (8-0), Mont de Marsan atteint pour la première fois de son histoire la finale du championnat de France face au Castres olympique.
Cette finale du championnat 1948-1949 présente la particularité d'avoir été disputée deux fois, le premier match, se déroulant sous une pluie torrentielle, s’étant terminé sur un score nul 3-3[9]. C'est le Castres olympique du capitaine Jean Matheu-Cambas, de Maurice Siman et Jean Pierre-Antoine qui remporte le titre aux dépens du Stade montois en remportant le second match 14-3 grâce à 3 essais.
L’année suivante, Mont de Marsan, désormais entraîné par André Hiriart et renforcé par le troisième ligne boucalais Robert Baulon, sera éliminé à la surprise générale dès les seizièmes de finale par Valence 3-0 puis en 1951, ne sortira pas des poules devancé par Perpignan et Biarritz.
Demi-finaliste du championnat 1952
[modifier | modifier le code]En 1952, Mont de Marsan, dont le collectif arrive à maturité termine premier club français à l’issue des matchs de poules devant Lourdes et Grenoble mais est battu en demi-finale par ces mêmes Lourdais 10-0.
Vice-champion de France 1953
[modifier | modifier le code]Après une victoire sur le Stade lavelanétien en demi-finale (11-9 après prolongations), Mont de Marsan dispute sa deuxième finale du championnat de France qu’il perd face au FC Lourdes de Jean Prat 21-16[10] pour le premier match d’André Boniface sous les couleurs montoises. Transfuge de Dax, il n’avait auparavant pas reçu l’avis favorable de ses derniers pour pouvoir jouer sous ses nouvelles couleurs[11].
Finaliste du challenge du Manoir 1958
[modifier | modifier le code]En Championnat, Mont de Marsan termine en tête de sa poule mais est éliminé dès les huitièmes de finale par la Section paloise.
Mont de Marsan se qualifie pour la finale du challenge du Manoir après avoir battu Grenoble 11-3 en demi-finale mais doit s’incliner devant Mazamet du capitaine Lucien Mias 3-0.
Vice-champion de France 1959
[modifier | modifier le code]Après avoir sorti Périgueux en quart et La Voulte des frères Cambérabéro en demi-finale, Mont de Marsan se hisse en finale du Championnat pour la troisième fois de son histoire. Il y affronte le Racing club de France qui a pour sa part éliminé Grenoble en quart et Lourdes en demi-finale. Les Parisiens remportent cette finale 8-3 devant des Montois trop crispés par l’enjeu. On reprochera longtemps à Pierre Lacroix d’avoir trop peu sollicité ses lignes arrière[12].
En challenge du Manoir, Mont de Marsan bat un record contre Montferrand avec une victoire 59-3, ponctué par 15 essais mais le club sera éliminé en quart de finale par Béziers.
Triple vainqueur du challenge Yves du Manoir 1960, 1961 et 1962
[modifier | modifier le code]Le club remporte 3 fois de suite le challenge Yves du Manoir en 1960, 1961 et 1962[13]. Ce record (égalé plus tard par le RC Narbonne) de trois victoires consécutives dans cette compétition est encore en vigueur aujourd’hui.
Champion de France 1963
[modifier | modifier le code]Le club devient ensuite champion de France avec une victoire face à Dax en 1963 (9-6) dans un derby des Landes.
C’est la confrontation la plus célèbre entre l'US Dax et le Stade montois. Au lendemain de leurs victoires respectives en demi-finales contre le FC Grenoble et le FC Lourdes, le journal régional Sud Ouest qui couvre l'événement titre sur son édition sport du « Le rugby landais est champion de France »[14]. Cette affiche oppose deux équipes du même département, un cas de figure ayant alors lieu pour la 2e fois de l'histoire du championnat[15].
La finale est marqué par une météo capricieuse, passant d'une chaleur estivale étouffante à un orage accompagné d'averses et de grêle[16]. Le Stade montois remporte cette finale sur le score étriqué de 9 à 6, témoignant d'un match rude, ponctué de trop rares éclats[17],[18],[19].
Auparavant, les Montois avaient donc essuyé trois échecs en finale : en 1949 face à Castres (14-3), en 1953 contre Lourdes (21-16) et enfin, en 1959 devant le Racing Club de France (8-3)[20].
Vice-champion d'Europe 1964
[modifier | modifier le code]Il atteint également la finale de la coupe d'Europe des clubs champions FIRA en 1964 après une victoire sur Hanovre en demi-finale. Mais le Grivita Rosie de Bucarest est déclaré vainqueur alors que l'arbitre a interrompu le match en début de deuxième mi-temps car le capitaine montois André Boniface, expulsé pour avoir sanctionné lui-même un hors-jeu, a refusé par deux fois de quitter le terrain alors que le score était de 10 à 0 pour le Grivita Rosie[21],[22].
La même année, le club est éliminé en huitième de finale du championnat par Narbonne 13-6 et en quart de finale du challenge du Manoir par Béziers 11-8. Nettement dominé territorialement par les Bitterois, Mont de Marsan tient le match nul 8-8 jusque dans les arrêts de jeu lorsque le centre Fratangelle arrêtera de volée un dégagement manqué à 20 mètres des buts montois. Il passa ensuite ainsi le but victorieux en coup de pied tombé[23]. Mont de Marsan aurait pu prendre sa revanche lors du challenge Antoine Béguère mais là encore, Béziers aura le dernier mot, vainqueur 6-3 en finale[24].
Demi-finaliste du championnat 1965
[modifier | modifier le code]Le club reste ensuite un protagoniste régulier de l’élite où il se qualifie régulièrement pour les phases finales. Premier de sa poule devant Grenoble, il parvient notamment jusqu’en demi-finale du Championnat en 1965 après avoir éliminé Tarbes en quart de finale.
La même année, Mont de Marsan, privé des frères Boniface est éliminé est demi-finale du challenge du Manoir par Cognac 13-8 dans un match où Darrouy aura été bien peu servi[25].
Finaliste du challenge du Manoir 1966
[modifier | modifier le code]Après avoir éliminé Toulon en quart de finale puis Béziers 23-3 en demi-finale, Mont de Marsan se qualifie pour la cinquième fois de son histoire en finale en challenge du Manoir.
Après avoir mené 6-0 à la mi-temps grâce à deux essais de Darrouy sur interception et de Guy Boniface, magnifiquement décalé par son frère André, il est battu par Lourdes 16-6 au parc des Princes devant un public record de 30000 spectateurs dans un match de toute beauté contrastant avec la finale du championnat de France Agen-Dax émaillé d’incidents le dimanche précédent.
Après la triste finale du championnat de France, cette finale du Challenge du Manoir est surtout celle de la réhabilitation du noble jeu. Le soir au banquet, le président du Racing CF, organisateur du challenge lancera aux 30 joueurs et à l’arbitre M. Lebecq : « Merci pour le rugby ».
La même année, Mont de Marsan échoue en quart de finale du Championnat.
Dernières saisons glorieuses
[modifier | modifier le code]En 1967, le Stade montois atteint à nouveau les quarts de finale du Championnat où il chute comme la saison précédente devant Graulhet. Le club atteint également les demi-finales du Challenge où il est éliminé par Narbonne.
En 1968, le club atteint les quarts de finale du Championnat pour la quatrième année consécutive mais échoue à se qualifier en Challenge pour la première fois depuis 1957.
Le premier déclin
[modifier | modifier le code]En 1969, Mont de Marsan est éliminé en seizième de finale du Championnat pour la première fois depuis 1962 et échoue à se qualifier en Challenge. En 1970, le club est également éliminé en seizième de finale du Championnat et échoue également en Challenge, terminant même avant-dernier de sa poule.
Le Stade montois dispute son dernier quart de finale du Championnat en 1971 puis un huitième de finale de championnat en 1972, largement perdu face au voisin de l’US Dax pour le dernier match de André Boniface après 20 saisons sous les couleurs du club.
Une première descente en groupe B en 1973, alors que l’élite est réduite de 64 à 32 clubs marque la fin de l’âge d’or du club.
Années d’instabilité sportive (1973-1999)
[modifier | modifier le code]Montées et descentes (1974-1981)
[modifier | modifier le code]Mont de Marsan connaît ensuite une période d’instabilité sportive pendant un quart de siècle environ. Le club remonte en 1974 dans l'élite à nouveau élargie à 64 clubs.
La saison 1974-1975 est ensuite marquée par la triste fin de carrière de l'international Benoît Dauga gravement blessé lors d'un match contre Dijon[26].
Les jaunes et noirs subissent une autre descente en 1977, (alors que l’élite compte 40 clubs) puis une remontée immédiate en 1978, suivi d’une nouvelle descente en 1979.
S'appuyant sur une bonne génération de jeunes finalistes de la Coupe Frantz Reichel en 1979 avec notamment Laurent Rodriguez, Bruno Lom et Manuel Carpentier qui deviendra international avec Lourdes, le Stade montois remonte deux ans plus tard dans l'élite.
En 1980, il échoue contre le SC Albi en quart de finale. Manuel Carpentier quitte alors le club pour Lourdes.
En 1981, Mont de Marsan demi-finaliste du championnat du groupe B face à Tyrosse retrouve l'élite.
Maintien dans l’élite (1982-1986)
[modifier | modifier le code]Après deux saisons 1982 et 1983 où il se maintient de justesse, le club atteint les barrages en 1984, éliminé par Tulle 16-10 et les huitièmes de finale en 1985, battu par Béziers en matchs aller-retour (9-6 puis 35-19). Mais le public reste nostalgique de l’équipe d’antan naguère réputée pour la qualité de son jeu d’attaque et dont le point fort se situe alors au niveau du pack avec notamment des joueurs comme Laurent Rodriguez et Manuel Carpentier, tous deux internationaux.
Départs des internationaux
[modifier | modifier le code]Les entraîneurs et les dirigeants se succéderont sans parvenir à redonner au club son lustre d’antan. Toutefois, cette période difficile permet au club de donner deux joueurs supplémentaires au XV de France, Laurent Rodriguez qui partira pour Montferrand en 1986 puis Dax l’année suivante suivi quelques années plus tard par Marc Dal Maso en 1991.
Montées et descentes (1986-1999)
[modifier | modifier le code]Malgré le renfort du troisième ligne du Racing CF Claude Pouply, c’est alors une nouvelle descente en 1986 alors que l’élite est réduite à 20 clubs pour préparer la Coupe du monde, puis une nouvelle remontée dans les 32 clubs du groupe A en 1988 où l’équipe atteint même les huitièmes de finale du Championnat, éliminé de peu par Bègles-Bordeaux (victoire 13-7 à Mont de Marsan puis défaite 10-0 à Bègles). La même année, Mont de Marsan se qualifie également pour les huitièmes de finale en Challenge où il est éliminé par Montferrand 15-3.
Mont de Marsan connaît une saison plus difficile en 1989, terminant seulement septième de sa poule.
Devancé par Brive et Voiron après la phase de brassage, le club est relégué en groupe B en 1990. Mont de Marsan retrouve l'élite en la saison suivante où l’équipe disputera son dernier huitième de finale. Il y restera jusqu'en 1994, année où il descend malgré une victoire de prestige contre le FC Grenoble. Les meilleurs éléments tels Stéphane Prosper où David Darricarrère partent poursuivre leur carrière sous d’autres cieux.
Si la remontée en groupe A2 fut manquée de justesse la première année, battu par Montauban lors du match décisif, ce fut ensuite une dégringolade avec trois descentes successives jusqu’en 1997 où le club toujours considéré comme le fleuron historique du jeu à la française jouera en 2e division fédérale, le 4e niveau hiérarchique du rugby français.
Le club qui réalise un recrutement important avec notamment les 2 piliers des Mammouths de Grenoble Franck Capdeville et Philippe Tapié, privés du titre 3 ans plus tôt après une finale polémique[27] et David Darricarrère, grand espoir du club parti tenter sa chance au plus haut niveau[28] remontera aussi vite qu’il est descendu avec trois promotions successives. Le club retrouvera donc l’élite en 2000 sous l’impulsion de l’ancien talonneur Jean-Bernard Duplantier, devenu entraîneur.
L’ère professionnelle
[modifier | modifier le code]Champion de France Élite 2 1999
[modifier | modifier le code]La saison 1999 voit l'arrivée de la star du rugby à sept Waisale Serevi[29]. Mont de Marsan renoue ainsi avec sa culture offensive et remporte le titre de champion de France élite 2.
L'année suivante, le club, huitième de sa poule assure confortablement son maintien pendant que Fabrice Lalanne et Stéphane Castaignède sont sélectionnés en équipe de France. Le club est ensuite relégué en 2001 alors que l’élite est réduite de 21 à 16 clubs mais atteint les quarts de finale du challenge européen.
Équipe championne[30] :
1. Tapié puis Pin 2. Dehez puis Boizot 3. Capdeville puis Michaud
4. Lago 5. Parent puis Villaucabeza
6. Alaoui 8. Monbeig puis Prospero 7. Lalanne
9. Pedehontaa 10. Serevi
11. Marson puis Labrouche puis Thierry Picard 12. Leven puis Dauba 13. Darricarrère 14. Ducamp
15. Darquier
Champion de France de Pro D2 2002
[modifier | modifier le code]Mont de Marsan remporte le championnat de Pro D2 2002 et remonte donc immédiatement en TOP 16 mais est relégué dès la saison suivante. Le club passera cinq saisons consécutives en Pro D2 entre 2004 et 2008.
Remontée en Top 14 pour la saison 2009
[modifier | modifier le code]Après un barrage d’accession gagné contre le Racing 92 en 2008, Mont de Marsan est de retour en Top 14 mais le club est relégué dès sa première saison.
Retour en Pro D2 (2010-2012)
[modifier | modifier le code]Il ne reste en Pro D2 que trois ans et est promu en 2012 après avoir battu Pau en finale d'accession 29-20.
Dernière saison en Top 14 en 2013 puis stabilisation en Pro D2
[modifier | modifier le code]De retour en Pro D2 synonyme de la fin d'un cycle, le club se tourne vers l'avenir, avec l'arrivée de Christophe Laussucq en tant que manager général du club[31].
En 2016, le club perd en demi-finale de Pro D2 sur le terrain du Stade aurillacois sur le score de 28-13[32].
En 2017, une nouvelle tribune est construite et le club dispose de nouvelles installations. Le club, quatrième se qualifie pour la demi-finale d'accession qu'il perd sur le terrain de l'US Montauban.
Encore quatrième en 2018, Mont de Marsan perd en demi-finale sur le terrain de l'USA Perpignan après un match heurté marqué par l'expulsion de Dan Malafosse.
En 2019, Mont de Marsan termine cinquième avant de perdre en quart de finale sur le terrain du RC Vannes.
En 2020, le Stade montois est classé à la 11e place du Championnat lorsque l'arrêt de la compétition est acté en raison de la pandémie de Covid-19 en France, et reste en Pro D2.
En 2021, Mont de Marsan termine à la dixième place du Championnat.
- Vainqueur de la saison régulière de Prod D2 en 2022
En 2022, le Stade montois termine en tête de Pro D2 à l'issue de la saison régulière se qualifiant ainsi directement pour les demi-finales. Mont-de-Marsan élimine Nevers et se qualifie en finale de Pro D2 au GGL Stadium de Montpellier. Finalement le Stade montois s'incline en finale contre Bayonne (20-49) alors que les montois s'étaient pourtant imposés à l'aller et au retour en championnat face aux Bayonnais et termine donc vice-champion de France. La semaine suivante le club s'incline également en barrage d'accession au Top 14, contre l'ancien champion de Pro D2 Perpignan (16-41).
Image et identité
[modifier | modifier le code]Logo
[modifier | modifier le code]Le Stade montois change de logo pendant la saison 2008-2009[33] ; il est utilisé officiellement sur le maillot à partir de la saison suivante[34].
- Ancien logo.
- Ancien logo jusqu'en 2008.
- Logo depuis 2008.
Rivalités
[modifier | modifier le code]Le club de la préfecture entretient une rivalité sportive tenace avec celui de la sous-préfecture, l'US Dax, donnant lieu aux affrontements entre les Abeilles et les Culs rouges[35].
Mascotte
[modifier | modifier le code]La mascotte du club est Buzoka, représentant une vache de course landaise[36].
Palmarès
[modifier | modifier le code]Détail du palmarès
[modifier | modifier le code]Compétitions internationales | Compétitions nationales | Compétitions de jeunes |
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Finales
[modifier | modifier le code]Date de la finale | Compétition | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
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Coupe d'Europe des clubs champions FIRA | Grivita Rosie Bucarest | 10 – 0 | Stade montois | Stade du 23 août, Bucarest |
Date de la finale | Compétition | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
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Championnat de France de première division | Castres olympique | 14 – 3[note 2] | Stade montois | Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse | 23 000 | |
Championnat de France de première division | FC Lourdes | 21 – 16 | Stade montois | Stadium Municipal, Toulouse | 32 500 | |
Championnat de France de première division | Racing club de France | 8 – 3 | Stade montois | Parc Lescure, Bordeaux | 31 098 | |
Championnat de France de première division | Stade montois | 9 – 6 | US Dax | Parc Lescure, Bordeaux | 39 000 | |
Championnat de France de deuxième division | Stade montois | 34 – 15 | US Montauban | Stade Armandie, Agen | 10 000 | |
Championnat de France de deuxième division | Aviron bayonnais | 49 – 20 | Stade montois | GGL Stadium, Montpellier | 8 000 |
Date de la finale | Compétition | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
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Championnat de France de deuxième division | Stade montois | 32 – 23 | Racing Métro 92 | Stade municipal de Beaublanc, Limoges | ||
Championnat de France de deuxième division | Stade montois | 29 – 20 | Section paloise | Stade Jacques-Chaban-Delmas, Bordeaux | ||
Barrage d'accession au Top 14 | USA Perpignan | 41-16 | Stade montois | Stade André-et-Guy-Boniface, Mont-de-Marsan | 8 000 |
Date de la finale | Compétition | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
---|---|---|---|---|---|---|
Championnat de France de deuxième division | Stade montois | 34 – 15 | US Montauban | Stade Armandie, Agen | ||
Championnat de France de deuxième division | Aviron bayonnais | 49 – 20 | Stade montois | GGL Stadium, Montpellier |
Date de la finale | Compétition | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
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Challenge Yves du Manoir | SC Mazamet | 3 – 0 | Stade montois | Parc des Princes, Paris | ||
Challenge Yves du Manoir | Stade montois | 9 – 9[note 3] | AS Béziers | Parc des Princes, Paris | ||
Challenge Yves du Manoir | Stade montois | 17 – 8 | AS Béziers | Parc des Princes, Paris | ||
Challenge Yves du Manoir | Stade montois | 14 – 9 | Section paloise | Parc des Princes, Paris | ||
Challenge Yves du Manoir | FC Lourdes | 16 – 6 | Stade montois | Parc des Princes, Paris |
Date de la finale | Compétition | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
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Coupe Frantz-Reichel | Stade montois | 6 – 6 | Racing club de France | Stade de Gerland | ||
Coupe Frantz-Reichel | Racing club de France | 16 – 3 | Stade montois | Stade Chaban-Delmas | ||
Coupe Frantz-Reichel | Paris université club | 10 – 0 | Stade montois |
Bilan par saison
[modifier | modifier le code]Saison | Championnat | Nb équipe/poule | Division | Classement | Phase finale | Titres |
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2015-2016 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 4e | Demi-finale | - |
2014-2015 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 2e | finale d'accession | - |
2013-2014 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 7e | - | |
2012-2013 | Top 14 | 14 | Première division | 14e | Relégation | - |
2011-2012 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 3e | Promotion | - |
2010-2011 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 4e | Demi-finale | - |
2009-2010 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 12e | - | - |
2008-2009 | Top 14 | 14 | Première division | 14e | Relégation | - |
2007-2008 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 3e | Promotion | - |
2006-2007 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 9e | - | - |
2005-2006 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 11e | - | - |
2004-2005 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 4e | Demi-finale | - |
2003-2004 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 12e | - | - |
2002-2003 | Top 16 | 8 | Première division | 8e | Relégation | - |
2001-2002 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 1er | Promotion | Champion |
2000-2001 | Élite 1 | 10 | Première division | 8e | Relégation | - |
1999-2000 | Élite 1 | 12 | Première division | 8e | - | - |
1998-1999 | Élite 2 | 16 | Seconde division | 1er | Promotion | Champion |
1997-1998 | Groupe B | Troisième division | 1er | Promotion | Champion | |
1996-1997 | 2e Division | ? | Quatrième division | Promotion | Quart de finaliste | |
1995-1996 | Groupe B | 14 | Troisième division | 12e | Relégation | - |
Personnalités du club
[modifier | modifier le code]Joueurs emblématiques
[modifier | modifier le code]- Eric Melville
- Jean-Baptiste Amestoy
- Pierre Cazals
- Robert Baulon
- Rémi Talès
- Julien Tastet
- André Boniface
- Martin Jágr
- Guy Boniface
- Benoît Dauga
- Christian Darrouy
- André Caillau
- Richard Zago
- Willy Taofifénua
- Grant Ross
- Franck Capdeville
- Philippe Tapié
- Éric Michaud
- Fernand Cazenave
- Paul Tignol
- Pierre Pascalin
- Pierre Lacroix
- Laurent Rodriguez
- Jean Darrieussecq
- Marc Dal Maso
- Pierre Castaignède
- Thomas Castaignède
- Stéphane Castaignède
- Waisale Serevi
- Jocelino Suta
- Timoci Matanavou
- Jean-Marc Mazzonetto
- Jean-Michel Parent
- Romain Cabannes
- Dorian Laborde
- Alexandre Bécognée
- Carlos Muzzio
- Léo Coly
- Alexandre de Nardi
- Maxime Gouzou
Joueurs formés au club sacrés champions du monde des moins de 20 ans
[modifier | modifier le code]Entraîneurs
[modifier | modifier le code]Présidents
[modifier | modifier le code]- 1933-1939 : Dr Brouqueyres[réf. nécessaire]
- 1940-1942 : Henri Farbos[réf. nécessaire]
- 1942-1945 : Henri Lacoste[réf. nécessaire]
- 1945-1947 : Albert Gleize[réf. nécessaire]
- 1946-1976 : Camille Pedarré[7]
- 1986-1990 : Bernard Pedarré[7]
Effectif 2024-2025
[modifier | modifier le code]Structures
[modifier | modifier le code]Infrastructures
[modifier | modifier le code]Le club joue au stade André-et-Guy-Boniface, inauguré le [42] sous le nom de stade Barbe d'or ; il est néanmoins utilisé avant son utilisation officielle, par exemple à l'occasion d'un match contre le voisin de l'US Dax en [43].
Originellement, il a une capacité de 22 000 places dont 3 600 assises[43]. Il est homologué en 2016 avec une capacité de 16 800 places[44].
Le terrain est entouré d'une piste d'athlétisme baptisée Colette Besson en présence de l'athlète à qui elle rend hommage[45].
Le stade est rénové en 2017, une nouvelle tribune couverte de 3100 places est construite avec 10 loges, destinées aux VIP des entreprises locales, ainsi qu’un salon de réception de 300 m2. Pour l'entraînement des rugbymans, notamment du Stade montois, une salle de musculation de 450 m2 et d’une salle de fitness est mise à disposition. le stade accueille également un dojo, d’une surface de 275 m2, doté d’un hall d’accueil, de vestiaires, de bureaux, de salle d’entraînement et d’échauffement[46].
Le , à l'issue de la rencontre de Pro D2 opposant le Stade montois au RC Vannes, le stade est renommé stade André-et-Guy-Boniface, apposant dorénavant le nom des deux frères Boniface. Par la même occasion, les deux tribunes sont baptisées d'après deux autres joueurs emblématiques du club : la plus récente est ainsi nommée tribune Benoît Dauga, tandis que l'ancienne est désignée tribune Christian Darrouy[47].
Budget
[modifier | modifier le code]Saison | 2020-2021 | 2021-2022 | 2022-2023 | 2023-2024 |
Budget | 6,9 M€[48] | 7 M€[49] | 7,78 M€[50] | 8 [51] |
Autres équipes
[modifier | modifier le code]Le club abrite une équipe féminine, le Stade montois rugby féminin, sous l'égide de l'association Stade montois rugby, section non-professionnelle de rugby du club omnisports.
Les Montoises atteignent la finale du championnat de France de Fédérale 1 au terme de la saison 2017-2018, décrochant ainsi leur accession pour l'Élite 2[52]. Elles s'inclinent finalement lors de la finale. Néanmoins, les instances de l'association du Stade montois déclinent la promotion au niveau supérieur, contre l'avis des joueuses[53],[54]. En réponse à cette décision, l'ensemble des joueuses et de l'encadrement sportif quittent finalement le club, la majorité rejoignant celui de Peyrehorade[55].
Alors que le club déclare forfait pour la saison 2018-2019 de Fédérale 1, la section féminine met en place une entente avec celle d'Hagetmau, évoluant alors en Fédérale 2 sous le surnom des abeilles chalossaises[55],[56]. En catégorie rugby à 10, les Montoises obtiennent un titre de championnes de France.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
- Une première finale avait été jouée le 15 mai 1949 au stade des Ponts Jumeaux à Toulouse et s'était soldée par un 3-3 après prolongations.
- Le Stade montois et l'AS Béziers sont départagés au bénéfice des essais.
- Pour les joueurs formés au club, année de leur première apparition en équipe professionnelle.
Références
[modifier | modifier le code]- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « US Dax-Stade montois en rugby à XV » (voir la liste des auteurs).
- « Stade Montois Rugby », sur prod2.lnr.fr (consulté le ).
- Cyril Delmas-Marsalet, Jean-Michel Dujas et Jacques Cadilhon, La Saga des Boutons d’Or : 130 ans d'histoire(s) du rugby au lycée Duruy, Aire-sur-l'Adour, imprimerie Castay, auto-édition, , 172 p.
- Les Boutons d'Or, panneau de présentation réalisé par le Centre Hospitalier de Mont de Marsan, le Stade Montois, la Municipalité de Mont-de-Marsan, le fonds de dotation A Nouste, consulté sur site le 31 octobre 2023
- « Mont-de-Marsan. Les sports », Le Républicain landais, (lire en ligne).
- « Mont-de-Marsan. Les sports », Le Républicain landais, (lire en ligne).
- « Foot-ball rugby. Les Zéphyrs risclois contre le Stade montois », Le Républicain landais, (lire en ligne).
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- Garcia 1996, p. 327 et 328.
- Lalanne 2006, p. 125.
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- Julien Plazanet, « PRO D2 - Aurillac - Mont-de-Marsan (28-13) : Aurillac décroche sa première finale d'accession ! », sur rugbyrama.fr, .
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- « Joueurs - Stade Montois Rugby - Landes », sur stademontoisrugby.fr (consulté le )
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- « Média guide 2016-2017 » [PDF], sur lnr.fr, (consulté le ).
- André Boniface, Nous étions si heureux : préfacé par Jean Glavany, , 282 p. (ISBN 978-2-7103-2853-7)
- Guy-Boniface se refait une beauté, ce qui va bien sûr profiter aux rugbymen, mais aussi aux judokas et autres karatekas.
- Claire Burckel, « Mont-de-Marsan : le stade de rugby rebaptisé ce dimanche », Sud Ouest, (consulté le ).
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- Philippe Alary, « Rugby. Stade Montois : les féminines font coup double », Sud Ouest, (consulté le ).
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- « Défaite des féminines à Mugron », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- [Mérillon 1990] Jean Mérillon, Le Challenge Yves du Manoir : Histoire du rugby, Paris, Éditions Chiron, , 335 p. (ISBN 2-7027-0395-X)
- Henri Garcia, La fabuleuse histoire du rugby, Éditions de la Martinière, , 935 p. (ISBN 2-7324-2260-6)
- [Poustis 2011] Francis Poustis, Les acteurs du rugby landais, Dax, Éditions Passiflore, , 240 p. (ISBN 978-2-918471-07-3), p. 104-107
- [de Baillenx 2013] Olivier de Baillenx, Finale '63 : U.S.Dax - Stade Montois, Biarritz, Éditions Atlantica, , 2e éd. (1re éd. 2003), 132 p. (ISBN 978-2-7588-0471-0)
Liens externes
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