Têtes d'expression — Wikipédia
Têtes d'expression est le titre d'un recueil d'essais par Robert de Montesquiou paru en 1912.
Sommaire
[modifier | modifier le code]- Dédicace à Pierre Loti
- Le Livre effeuillé (princesse Marthe Bibesco)
- Tout chemin mène à Rome (André Maurel)
- Le Film immobile (panorama de Sem : Georges Goursat)
- Les Dessins du Bouveret (Pascal Dagnan-Bouveret)
- Un musée pour de bon (musée de Bayonne)
- Parois enchantées (exposition de Léon Bakst)
- Cambrioleurs d'âmes (Mme Romaine Brooks)
- Enluminures (Mlle Alice Feurgard)
- Extrême-orientale (estampes japonaises)
- Un peintre alpiniste (marquis Gaspare de Vitelleschi degli Azzi)
- Les Verres forgés (rétrospective d'Émile Gallé)
- Une collaboration entre Devéria et Lancret (Reynaldo Hahn)
- Terpsichore et Hygie (Isadora Duncan)
- Galas printaniers (Ballets russes)
- La Danse des sept voiles (Ida Rubinstein)
- Une pelletée de roses (Mikhaïl de Léon Tolstoï)
- Un nouveau bienfait de la science
- De l'arrivisme au muflisme
- La Politesse de l'avenir
- La Revanche des nains
- Les Grands minimes
- Le Confit de paon
Référence
[modifier | modifier le code]- Le Mort remontant, Robert Montesquiou-Fézensac (comte de), Émile-Paul frères, 1922, 136 pages