Terrorisme au Japon — Wikipédia
Le Japon est l'un des pays les plus sûrs au monde, mais il n'a pas été épargné par des mouvements de violence et de terrorisme qui existent sous trois formes principales : la violence politique exercée par des groupes terroristes d'extrême-gauche ou d'extrême droite, la violence au nom d'un idéal religieux, et la violence criminelle dont est responsable toute une nébuleuse de gangs mafieux.
Exemples d'attentats meurtriers au Japon
[modifier | modifier le code]Armée rouge japonaise (Armée rouge unifiée)
[modifier | modifier le code]- : Massacre de l'aéroport de Lod. 26 morts, 80 blessés.
- Avril 1988 : Attentat à la bombe contre un club pour militaires américains (USO) à Naples. 5 morts.
- Série d'attentats contre des bâtiments appartenant à des grandes compagnies. 5 morts, 20 blessés.
- : Meurtre de la famille Sakamoto (en) assassinat d'un avocat, De son épouse et de son bébé de quatorze mois.
- Nuit du 27 au : attentat au gaz sarin dans la ville de Matsumoto, huit morts, deux cents blessés.
- : Attentat au sarin dans le métro de Tokyo ; douze morts, cinq mille cinq cents blessés.
Front Armé Anti-Japonais d’Asie du Sud
[modifier | modifier le code]- : bombe contre Mitsubishi, 8 morts, 376 blessés.
Armée révolutionnaire
[modifier | modifier le code]- Août 2001 : attentat à la bombe contre le bâtiment de la Société Japonaise pour la Réforme des Manuels d'Histoire ;
- 2002 : attentat à la bombe, à Yokohama dans un parc près d'une base américaine ;
- Novembre 2002 : attentat à la bombe à Osaka contre une base des Forces japonaises d'autodéfense.
Divers
[modifier | modifier le code]- : Attentat et assassinat contre l'ex-premier Ministre japonais Shinzō Abe, 1 mort
Les Groupes terroristes au Japon
[modifier | modifier le code]Groupes terroristes politiques
[modifier | modifier le code]- Groupe d'extrême-gauche
- Armée rouge japonaise, fondé en 1971, 30 morts, 110 blessés
- Kakurōkyō, fondé en 1969, 9 morts (8 membres assassinés), 7 blessés
- Chukaku-Ha, fondé en 1957, quelques actions.
- Armée révolutionnaire, apparu en 2000
- Groupe nationaliste
- Kenkoku Giyugun Kokuzoku Seibatsutai, fondé en 2002, arrêté en 2003, 23 actions.
Groupe terroriste religieux
[modifier | modifier le code]- Aum Shinrikyō fondée en 1984 et qui fait 23 morts et 6 300 blessés
Groupe terrorisme Anti-Impérialiste
[modifier | modifier le code]- Front Armé Anti-Japonais d’Asie du Sud, actif en 1974, 8 morts, 376 blessés[1].
Groupes terroristes criminels
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- APA --, « Agence Presse Associative (APA) », sur apa.online.free.fr (consulté le ).