Trizay-Coutretot-Saint-Serge — Wikipédia

Trizay-Coutretot-Saint-Serge
Trizay-Coutretot-Saint-Serge
Église Saint-Martin de Trizay.
Blason de Trizay-Coutretot-Saint-Serge
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Bertrand de Monicault
2020-2026
Code postal 28400
Code commune 28395
Démographie
Population
municipale
429 hab. (2021 en évolution de −5,3 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 36″ nord, 0° 52′ 05″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 230 m
Superficie 11,15 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nogent-le-Rotrou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nogent-le-Rotrou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Trizay-Coutretot-Saint-Serge est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Elle fait partie de l'ancienne province du Perche.

Géographie

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La commune se situe dans la région naturelle du Perche, au sein du canton de Nogent-le-Rotrou.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La Berthe.
La Berthe.

Le territoire de la commune est traversé par la rivière la Berthe, affluent de la Rhône, sous-affluent de l'Huisne et donc de la Loire par la Sarthe puis la Maine.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Vichères à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Au , Trizay-Coutretot-Saint-Serge est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,8 %), prairies (23,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones urbanisées (0,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Trizay-Coutretot-Saint-Serge est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Berthe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1984 et 1999[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Trizay-Coutretot-Saint-Serge.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 219 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 213 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

Trizay est attesté sous les formes Tarzei en 1183, Trisi vers 1250, Triseyum en 1351[18], Trisay en 1793 et 1801, Trizay-au-Perche.
Trisay absorbe en 1835, Coutretot / Saint-Serge.

Coutretot est attesté sous les formes Cortretost en 1218, Corruistour en 1239, Curia Estroudi vers 1270, Curia Estrodi en 1351[19].

Saint-Serge est un hagiotoponyme.

Époque moderne

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De 1643 à 1685, il y eut 3 collectes fiscales : Coutretot-Trizay-Vichères-Saint-Médard, Élection de Longny, qui regroupait la paroisse de Coutretot, partie de celle de Trizay-au-Perche et partie de celle de Vichères ; la collecte de Trizay-au-Perche, élection de Mortagne, comprenant le reste de la paroisse de Trizay-au-Perche ; la collecte de Vichères, élection de Mortagne, formée de l’autre partie de Vichères.

En 1685, la suppression de l’élection de Longny et les modifications de limites entre les Élections de Chartres et de Mortagne entraînèrent l’éclatement de la collecte de Coutretot-Trizay-Vichères-Saint-Médard : la collecte de Coutretot devint indépendante avec le territoire de la paroisse religieuse ; les 2 parties de Trizay-au-Perche et de Vichères furent réunies selon le territoire de leur paroisse religieuse respective pour former deux collectes indépendantes ; toutes ces collectes furent rattachées à l’élection de Mortagne.

Époque contemporaine

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  • La réunion de Trizay-au-Perche avec Coutretot et Saint-Serge fut réalisée par Ordonnance Royale du , sous le nom de Trizay-Coutretot-Saint-Serge, dont le chef-lieu se situe à Trizay (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 2, plan annexé à la minute) ;
  • De 1908 à 1935, la commune est desservie par les Tramways d'Eure-et-Loir sur la ligne reliant Bonneval, Brou et Nogent-le-Rotrou.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1888 1904 Adolphe Philippe Désiré Pelletier   Cultivateur
mars 2001 mars 2008 Daniel Braesch    
mars 2008 En cours Bertrand de Monicault[20],[21]   Ancien cadre

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 429 habitants[Note 2], en évolution de −5,3 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
241247252159151553549580606
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
588587559548552532538505502
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
498442409395381373346355352
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
322286326412448450460464470
2014 2019 2021 - - - - - -
456433429------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église romane Saint-Martin de Trizay ;
  • Église Saint-Brice de Coutretot ;
  • Chapelle Saint-Serge ;
  • Manoir de La Gadelière, seconde moitié du XVIe siècle[26] ;
  • Manoir de Miermaux, environ 1575[27] ;
  • Manoir du Grand Plessis, 1493-1494[27] ;
  • Château de Trémont : cloche en bronze du XVIIIe siècle, Logo monument historique Inscrit MH (1943)[28].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armoiries de Trizay-Coutretot-Saint-Serge se blasonnent ainsi :

D’argent aux trois chevrons de gueules, au chef ondé de sinople chargé de trois portails de chapelle d’argent maçonnés de sable et soutenu d’azur.

Bibliographie

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  • Paroisse Saint-Lubin du Perche (préf. Abbé Daniel Rambure, curé), Ces 36 églises ont quelque chose à vous dire..., , 101 p.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Trizay-Coutretot-Saint-Serge et Vichères », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Vichères », sur la commune de Vichères - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Vichères », sur la commune de Vichères - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Trizay-Coutretot-Saint-Serge », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 497.
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Droz, , p. 1662.
  20. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Région Centre-Val de Loire, Inventaire général ; Parc naturel régional du Perche - Maillard Florent, « Gadelière : manoir », sur patrimoine.centre-valdeloire.fr, dossier ia28000629 réalisé en 2019 (consulté le ).
  27. a et b Florent Maillard, chargé de mission « Inventaire du patrimoine bâti » au Parc naturel régional du Perche, Région Centre-Val de Loire, Inventaire général, Vanessa Lamorlette-Pingard, « L’apport de la dendrochronologie dans l’étude de trois manoirs de la vallée de la Berthe (Eure-et-Loir) », sur inventaire-patrimoine.regioncentre.fr, (consulté le ).
  28. « Cloche », notice no PM28000599, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.