Tsalka — Wikipédia
Tsalka წალკა | ||||
Héraldique | Drapeau | |||
Église grecque à Tsalka. | ||||
Administration | ||||
---|---|---|---|---|
Pays | Géorgie | |||
Subdivision | Basse Kartlie | |||
Indicatif téléphonique | +995 | |||
Démographie | ||||
Population | 2 326 hab. (2014[1]) | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 41° 35′ 00″ nord, 44° 05′ 00″ est | |||
Histoire | ||||
Statut | Ville | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Géorgie Géolocalisation sur la carte : Géorgie Géolocalisation sur la carte : Basse Kartlie | ||||
modifier |
Tsalka (en géorgien წალკა, en arménien Ծալկա, en grec Τσάλκα) est une petite ville du sud de la Géorgie, dans la région de Basse Kartlie.
Au recensement de 2002, elle comptait 20 888 habitants, dont 11 484 Arméniens (55%), 4 589 Grecs (22%) et 2 510 Géorgiens (12%)[2].
Littérature
[modifier | modifier le code]Dans la nouvelle « L'éternel Retour »[3], Sylvain Tesson raconte l'histoire d'un homme qui réussit à faire asphalter la route menant de Tsalka à Batoumi pour réduire de six heures à une seule le temps requis pour aller de l'une à l'autre, sortant ainsi le petit village montagnard de son isolement complet.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « მოსახლეობის საყოველთაო აღწერა 2014 », საქართველოს სტატისტიკის ეროვნული სამსახური, (consulté le )
- (en) « General Population Census of 2002: Ethnic groups by major administrative-territorial units », sur National Statistics Office of Georgia (consulté le ).
- Sylvain Tesson, Une vie à coucher dehors, Gallimard (folio), 2009, pp. 11-34.