Université de Perpignan — Wikipédia
Via Domitia
Fondation | |
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Dates-clés | 1979 (statut universitaire) |
Dissolution | 1793 (ancienne université) |
Type | |
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Forme juridique | Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d) |
Président | Yvan Auguet (d) (depuis 2020) |
Recteur | Sophie Béjean (depuis ) |
Membre de | |
Site web |
Étudiants | 10 165 () |
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Pays | |
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Campus |
L’université de Perpignan, dite université Via Domitia (UPVD), est un établissement d'enseignement supérieur français dont le siège est à Perpignan. Elle est une université pluridisciplinaire qui regroupe 8 945 étudiants[1], répartis dans quatre unités de formation et de recherche (UFR ou « facultés ») et trois Instituts.
Elle comprend l'une des 204 écoles d'ingénieurs françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur[2].
Historique
[modifier | modifier le code]Origines
[modifier | modifier le code]Le roi Pierre IV d'Aragon fonde une première université à Perpignan en 1349, alors nommée Estudi Major et située rue Petite la Monnaie[3] et une autre qui prolongeait la rue Derroja[4]. Il s'agit de la seconde université crée dans la principauté de Catalogne et la couronne d'Aragon, après Lérida, fondée en 1300. La ville de Perpignan est la capitale du royaume de Majorque jusqu'en 1344, date à laquelle la région est rattachée à la couronne d'Aragon. La création de l'université peut donc être interprétée comme une compensation de la perte d'importance de la ville. L'université de Perpignan, alors une des vingt-cinq universités du monde[réf. nécessaire], enseigne la médecine, le droit, la théologie et les arts à plus de 400 étudiants avec une aire de recrutement essentiellement catalane. Cette université n'arrive jamais à s'imposer dans la région, concurrencée par les universités de Toulouse, de Montpellier et de Lérida, plus anciennes et plus prestigieuses.
Malgré sa relative discrétion, l'université continue de fonctionner tout au long du Moyen Âge et de l'époque moderne. Le rattachement de Perpignan au royaume de France par le traité des Pyrénées en 1659 affecte son recrutement en le limitant au Roussillon.
Reconstruction de la deuxième moitié du XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]Les bâtiments subissent un incendie ravageur en 1648 ce qui n'empêchera pas l'Université de subsister jusqu'au début du XVIIIe siècle dans ses premiers locaux[4].
Dans les années 1760, les bâtiments de l'université sont reconstruits. Franc-maçon du XVIIIe siècle, militant de la pensée des Lumières, Augustin-Joseph de Mailly rénove l'université entre 1760 et 1763. Il fait construire de nouveaux bâtiments à Perpignan pour pallier la ruine de l'ancienne université.
Le , une déclaration du roi Louis XV précise les principes et les modalités de réalisation de la rénovation de l'université. Puis, une ordonnance du énumère les dispositions matérielles décidées pour financer les travaux. Enfin, la même année, la construction d'un nouveau bâtiment est décidée.
La façade du bâtiment, réalisée par un maître d'œuvre franc-maçon, est construite sur le modèle d'un temple maçonnique. Les travaux sont entièrement financés par le maréchal qui trouve là un bon moyen de s'attirer la sympathie des étudiants. Cet établissement est doté d'un jardin des plantes (bastion des Capucins), d'un jardin des arbustes (bastion de France), d'un cabinet d'histoire naturelle, cabinet de physique, d'un amphithéâtre d'anatomie et d'une bibliothèque publique. Car, par la même occasion il convertit l'ancienne bibliothèque en bibliothèque de l'école centrale. Elle est d'ailleurs en partie alimentée grâce aux dons du maréchal, qui lui lègue tous ses livres[5]. Elle s'enrichit de 3 000 ouvrages, dons particuliers d'Augustin-Joseph de Mailly, qui obtient en outre qu'un exemplaire de tous les ouvrages qui s'impriment au Louvre soit acheminé et déposé dans ce lieu[6]. Augustin-Joseph de Mailly, omnipotent et omniprésent, a donné l'impulsion nécessaire pour concrétiser de nouveaux foyers de sociabilité, n'hésitant pas à contribuer de ses propres deniers pour faciliter leur exécution[7].
Le recteur Louis Marigo-Vaquer exprime le , devant l'assemblée générale de l'université réunie pour l'inauguration du buste d'Augustin-Joseph de Mailly, la reconnaissance de l'institution à l'égard de son bienfaiteur et sa fierté de détenir d'importantes collections d'objets naturels, vifs ou conservés. L'université cesse de fonctionner en 1794. Après avoir accueilli la bibliothèque communale et le musée des Beaux-arts, l'édifice est affecté depuis 1980 aux archives communales[8].
De la Révolution à la création de l'université Via Domitia
[modifier | modifier le code]En 1808, Perpignan n'est pas présente dans le décret napoléonien qui institue des facultés dans la plupart des villes ayant une université, ce qui est sans doute dû à la petite taille de la ville et de son université avant 1794. Elle n'est pas plus concernée par la loi du qui crée sous le nom d'« université » des établissements formés par la réunion des facultés d'une même ville. La permanence du souvenir de l'université perdue a joué un rôle essentiel dans le rétablissement de l'enseignement supérieur à Perpignan, dans les années 1950.
L'assemblée de la faculté des lettres de Montpellier accepte « un projet tendant à la création d'une annexe à Perpignan ». Durant cette période, le Conseil général assure un rôle moteur en décidant d'acquérir un terrain de vingt hectares et de le céder ensuite à l'État pour la construction d'un campus. L'actuel lieu d'enseignement supérieur et de recherche est créé en 1971 comme centre universitaire. C'est à compter de 1979 que le centre universitaire devient une université au sens juridique et accède à l'autonomie à la fois financière, administrative et pédagogique. Depuis, elle est administrée par un Conseil d'administration et dirigée par le président élu.
L'université de Perpignan est implantée dans un site principal à Perpignan (52 avenue Paul Alduy), ainsi que dans six antennes délocalisées à Narbonne, Carcassonne, Tautavel, Mende, Le Barcarès et Font-Romeu.
L'université de Perpignan réinvestit son campus originel situé au cœur de la ville de Perpignan. À la rentrée de 2017, 550 étudiants de Licence 3 et de Master de la faculté de droit s'installent dans le campus Mailly[9]. En 2022 tous les étudiants de la composante (environ 1500) rejoignent le campus du centre-ville[10]. Cette deuxième phase du chantier voit notamment l'ouverture de la bibliothèque dans les anciens locaux de la Bourse du travail de Perpignan.
Elle adopte le nom de Via Domitia, pour rappeler le chemin antique qui reliait l'Espagne à l'Italie.
Présidents de l'université
[modifier | modifier le code]Le premier président de l'université de Perpignan est Yves Serra, professeur de droit privé et de sciences criminelles. Il exerce cette fonction du au , après avoir été élu président du centre universitaire le , succédant alors à Georges Riéra. Pendant le mandat d'Yves Serra, le centre universitaire est transformé en université, par le décret no 79-149 du [11], avec effet à compter du . Un laboratoire de recherche de l'université porte aujourd'hui son nom[12].
Portrait | Identité | Période | Durée | |
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Début | Fin | |||
Yves Serra[13] ( - ) | 1 an | |||
Louis Constans (d)[14] ( - ) | 1 an | |||
Daniel Bodiot (d)[15] (né en ) | 5 ans | |||
Henri Got (d)[16] (né en ) | 5 ans | |||
Jean Sagnes[17] (né en ) | 5 ans | |||
Jean-Michel Hoerner (d)[18] ( - ) | 5 ans | |||
François Féral (d)[19] (né en ) | 5 ans | |||
Jean Benkhelil (d)[20],[21] (né en ) | 5 ans | |||
Fabrice Lorente (d)[22] (né en ) | (démission) | 7 ans | ||
Xavier Py (d)[23] (né en ) | 1 an | |||
Yvan Auguet (d)[24] (né en ) | En cours | 4 ans |
Composantes de l'Université Perpignan Via Domitia
[modifier | modifier le code]L'université est composée de quatre UFR et de trois instituts :
UFR des Sciences Juridiques et Économiques : "Faculté de droit et des sciences économiques"
[modifier | modifier le code]L'UFR des Sciences juridiques et économiques, plus connue sous l'appellation de faculté de droit et des sciences économiques, est principalement située à Perpignan (campus principal avenue Paul Alduy et dès la rentrée 2017, campus Mailly). Elle dispose d'une antenne importante à Narbonne (avenue Pierre de Coubertin) et d'une antenne à Mende. Par convention, la faculté de droit et des sciences économiques développe également ses activités à Paris et au Maroc.
- Nombre d'étudiants : 2.200 au .
- Directeur de l'UFR : Doyen Jacobo Rios[25], maître de conférences en droit public
Elle compte neuf départements :
- Département sciences juridiques et politiques (1er cycle) ;
- Département administration économique et sociale (1er cycle) ;
- Département justice, procès et procédures (2e cycle) ;
- Département droit des affaires (2e cycle) ;
- Département droit comparé (2e cycle) ;
- Département administration publique (2e cycle) ;
- Département droit de l'immobilier (2e cycle) ;
- Département droit de l'environnement et de l'urbanisme (2e cycle) ;
- Département Institut d'études judiciaires (préparation CEJ, pré-CAPA et ENM).
Elle compte un laboratoire de recherche : le Centre de droit économiques et du développement (CDED, EA no 1943), composé de deux équipes, le Centre de droit de la concurrence Yves Serra (CDCYS) et le Centre d'études et de recherches sur les transformations de l'action publique (CERTAP).
UFR des Lettres et Sciences Humaines : "Faculté des lettres et des sciences humaines"
[modifier | modifier le code]L’UFR des Lettres et Sciences humaines est située à Perpignan (campus principal : avenue Paul Alduy).
- Nombre d'étudiants : 2.398, au .
- Directeur de l'UFR : Doyen Henry Tyne[26], enseignant-chercheur HDR en sciences du langage
Elle compte huit départements :
- Lettres et Français Langue Etrangère
- Études anglophones
- Études hispaniques
- Langues étrangères appliquées
- Sociologie
- Histoire
- Histoire de l'art et archéologie
- Géographie et aménagement
UFR des Sciences exactes et expérimentales : "Faculté des sciences"
[modifier | modifier le code]L'UFR des Sciences exactes et expérimentales est située à Perpignan (campus principal : avenue Paul Alduy)
- Nombre d'étudiants : 1.404, au .
- Directeur de l'UFR : Doyen Frédérick Thiery[27], maître de conférences en SPI (Sciences Pour l'Ingénieur)
Elle compte cinq départements :
- Physique-chimie
- Mathématiques-Informatique
- Biologie-Écologie
- Sciences de la Terre et de l'Environnement
- Sciences pour l'ingénieur
UFR des Sciences et techniques des activités physiques et sportives : "STAPS"
[modifier | modifier le code]L'UFR des Sciences et techniques des activités physiques et sportives (antenne de Font-Romeu[28]) est plus connue sous l'appellation UFR STAPS.
- Nombre d'étudiants : 492, au
- Directeur de l'UFR : Doyen Anne-Fleur Gaston[29], maître de conférences en physiologie de l'exercice
Institut universitaire de technologie (IUT)
[modifier | modifier le code]L'Institut universitaire de technologie est situé à Perpignan (campus principal Chemin de la Passio Vella entrée secondaire), ainsi qu'une antenne à Narbonne (avenue Pierre de Coubertin) et à Carcassonne (Domaine Universitaire d'Auriac)
- Nombre d'étudiants : 1293, au
- Directeur de l'Institut : David Duval, Professeur des universités[30]
Il compte huit départements :
- Génie biologique (site de Perpignan)
- Gestion des entreprises et des administrations (site de Perpignan)
- Gestion logistique et transport (site de Perpignan)
- Génie industriel et maintenance (site de Perpignan)
- Carrières juridiques (site de Narbonne)
- Génie chimique, Génie des procédés (site de Narbonne)
- Statistique et traitement informatique des données (site de Carcassonne)
- Techniques de commercialisation (site de Carcassonne)
Institut d'administration des entreprises (IAE)
[modifier | modifier le code]L'Institut d'administration des entreprises (IAE) est situé à Perpignan (campus principal : chemin de la Passio Vella)
- Nombre d'étudiants : 1.292, au
- Directeur de l'Institut : Fabienne Villeseque-Dubus[31], professeure des universités en Sciences de Gestion
Institut franco-catalan transfrontalier IFCT)
[modifier | modifier le code]L'Institut franco-catalan transfrontalier (IFCT) est situé à Perpignan (campus principal Chemin de la Passio Vella entrée secondaire)
- Nombre d'étudiants : 67, au
- Directeur de l'Institut : Joan Peytaví Deixona[32], enseignant-chercheur en études catalanes
École d'ingénieurs sup'ENR
[modifier | modifier le code]Elle est spécialisée dans le domaine des énergies renouvelables[33]. Elle est membre du groupe INSA en tant qu'INSA Partenaire[34].
Recherche
[modifier | modifier le code]Écoles doctorales
[modifier | modifier le code]L'UPVD possède deux écoles doctorales[35].
Équipes de recherche
[modifier | modifier le code]- Les équipes de recherche du domaine "Droit et Sciences Économiques" :
- CDED - Centre du Droit Économique et du Développement (ÉA no 4216), composé de deux équipes, le Centre de droit de la concurrence Yves Serra (CDCYS) et le Centre d'études et de recherches sur les transformations de l'action publique (CERTAP).
- GEREM - Groupe d'Étude et de Recherche en Économie et Management(Équipe d'Université)
- IFDCM - Institut Français de Droit Comparé et de Droit Musulman (Équipe d'Université)
- Les équipes de recherche du domaine "Lettres et des Sciences humaines" :
- VECT - Mare Nostrum, - Voyages, Échanges, Confrontations, Transformations (Équipe d'Accueil)
- CRILAUP - Centre de recherches ibériques et latino-américaines de l'Université de Perpignan (Équipe d'Accueil)
- CRHiSM - Centre de recherches historiques sur les sociétés méditerranéennes (Équipe d'Accueil)
- CREC - Centre de Recherches et Études Catalanes (Équipe d'Accueil)
- MEDI-TERRA - Groupe d'études de géographie physique (Équipe d'Accueil)
- MTE - Mutation des Territoires en Europe (Formation de Recherche en Évolution)
- HNHP - Histoire Naturelle de L'Homme Préhistorique (UMR avec le CNRS) ([Tautavel - Caune de l'Arago])
- Les équipes de recherche du domaine des "Sciences" :
- PROMES - Laboratoire des PROcédés Matériaux Énergie Solaire (UPR du CNRS) avec une antenne à Font-Romeu (Four solaire d'Odeillo)
- CEFREM - Centre de formation et de recherche sur l'environnement marin (UMR avec le CNRS)
- IHPE- [36]Interactions Hôtes-Pathogènes-Interactions (UMR avec le CNRS)
- CRIOBE - Centre de Recherches Insulaires et OBservatoire de l’Environnement (USR CNRS-EPHE)
- LGDP - Laboratoire Génome et Développement des Plantes (UMR avec le CNRS et l'IRD)
- LAMPS - Laboratoire Mathématiques Physique et Systèmes (Équipe d'Accueil)
- IMAGES - Institut de Modélisation et d'Analyses en Géo-Environnements Marins et de Santé (Équipe d'Accueil)
- LCBE - Laboratoire de Chimie des Biomolécules et de l'Environnement (Équipe d'Accueil)
- LIRMM - Laboratoire d'Informatique, de Robotique et de Microélectronique de Montpellier (Équipe DALI)
- LIPSEM[37] - Laboratoire Interdisciplinaire Performance Santé Environnement de Montagne basé sur l'antenne de Font-Romeu
Vie étudiante
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]Vie associative
[modifier | modifier le code]L'Université de Perpignan Via Domitia possède une vie étudiante animée par un Bureau des étudiants et une multitude d'associations [1].
Personnalités liées à l'université
[modifier | modifier le code]Enseignants
[modifier | modifier le code]Étudiants
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- SISE, ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, au )
- Arrêté du 25 février 2021 fixant la liste des écoles accréditées à délivrer un titre d'ingénieur diplômé.
- Jean Villanove, Histoire populaire des Catalans : des origines au XVe siècle, t. 1, J. Villanove, , XII-339 p. (BNF 34685697).
- Roland Serres-Bria, Saint-Mathieu : quartier historique de Perpignan., Toulouse, Éditions de l'Ixcéa, , 233 p.-VIII p. de pl. (ISBN 2-84918-034-3), p. 63.
- La saga des francs-maçons de Perpignan, Marie Barbier, l'Express, .
- Archives nationales, série K1221, Mémoire sur les différents établissements que le maréchal de Mailly a fait en Roussillon. Il s'agit d'une description historique et géographique de la province du Roussillon réalisée en 1717, revue et corrigée en 1742 par l'abbé Xaupi, archidiacre de la cathédrale de Perpignan.
- Rosa mystica, L'espace maçonnique entre circulation fraternelle et frontières profanes.
- Mairie de Perpignan.
- « L’Université de Perpignan réinvestit le cœur de ville », sur Made In Perpignan, (consulté le ).
- « Perpignan : la deuxième phase du campus Mailly terminée à l'été 2021 »
- Décret no 79-149 du sur le site legifrance.gouv.fr.
- Site du Centre du droit de la concurrence Yves Serra.
- « https://www.lemonde.fr/archives/article/1975/12/19/m-yves-serra-est-elu-president-du-centre-universitaire-de-perpignan_2586255_1819218.html »
- « https://www.lemonde.fr/archives/article/1981/03/30/deux-nouveaux-presidents-d-universite_2712179_1819218.html »
- « https://www.lemonde.fr/archives/article/1982/02/11/m-daniel-bodiot-est-elu-president-de-l-universite-de-perpignan_2885276_1819218.html »
- « https://www.lemonde.fr/archives/article/1987/01/28/m-henri-got-elu-president-de-l-universite-de-perpignan_4029634_1819218.html »
- « https://www.lemonde.fr/archives/article/1992/01/10/m-jean-sagnes-elu-president-de-l-universite-de-perpignan_3879914_1819218.html »
- « https://www.midilibre.fr/2022/01/28/disparition-jean-michel-hoerner-ancien-president-de-luniversite-de-perpignan-est-decede-10074576.php »
- « https://www.ladepeche.fr/article/2002/05/17/540427-changement-de-president-a-l-universite-de-perpignan.html »
- « https://www.aefinfo.fr/depeche/385132-jean-benkhelil-elu-president-de-luniversite-de-perpignan »
- « https://www.aefinfo.fr/depeche/324761-universite-de-perpignan-jean-benkhelil-confirme-a-la-presidence »
- « https://objectif-languedoc-roussillon.latribune.fr/decideurs/2019-05-06/fabrice-lorente-quitte-l-universite-de-perpignan-816283.html »
- « https://www.lindependant.fr/2020/10/13/universite-de-perpignan-un-duel-pour-la-presidence-9136816.php »
- « https://objectif-languedoc-roussillon.latribune.fr/carrieres/ecoles-universites/2021-01-14/yvan-auguet-nouveau-president-de-l-universite-de-perpignan-promet-une-gouvernance-apaisee-872237.html »
- « Contacts & organigrammes de l'UFR SJE », sur Sciences Juridiques et Economiques - SJE (consulté le )
- « Contacts & organigrammes de l'UFR LSH », sur Lettres et Sciences Humaines - LSH (consulté le )
- « Contacts & organigrammes de l'UFR SEE », sur Sciences Exactes et Expérimentales - SEE (consulté le )
- Elodie Varraine, « STAPS - L'UFR STAPS », sur staps.univ-perp.fr (consulté le ).
- « Contacts & organigrammes de l'UFR STAPS », sur Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives - STAPS (consulté le )
- UPVD, « David Duval nouveau directeur de l'IUT », sur UPVD, (consulté le )
- « Contacts & organigrammes de l'IAE », sur Institut d'Administration des Entreprises - IAE (consulté le )
- « Contacts & organigrammes de l'IFCT », sur Institut Franco Catalan Transfrontalier - IFCT (consulté le )
- « L'INSA et l'Université de Perpignan unissent leurs forces », ladepeche.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « Sup’ENR, la dernière née des écoles d’ingénieurs », L’Étudiant, (lire en ligne, consulté le ).
- https://www.univ-perp.fr/fr/menu/recherche/ecoles-doctorales/ecoles-doctorales-47.kjsp
- « Interactions Hôtes-Pathogènes-Environnements », sur ihpe.univ-perp.fr (consulté le ).
- LIPSEM, « Laboratoire Interdisciplinaire Performance Santé Environnement de Montagne », sur Laboratoire Interdisciplinaire Performance Santé Environnement de Montagne (consulté le )
- Comité national d'évaluation 2003, p. 11.
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010.
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010.
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011.
- Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- [1891] Marcel Fournier, « Université de Perpignan : XIVe et XVe siècles », dans Statuts et privilèges des universités françaises : Depuis leur fondation jusqu'en 1789, t. 2, 1re partie : Moyen Âge, Paris, L. Larose et Forcel (d), , XI-833 p., 33 cm (OCLC 491267105, BNF 33851872, SUDOC 023806699, présentation en ligne, lire en ligne), p. 651-716.
- [1993] Comité national d'évaluation, L'Université de Perpignan, rapport d'évaluation, Paris, CNE, coll. « Rapport d'évaluation - CNE (ISSN 0983-8740) » (réimpr. 2003) (1re éd. 1993), 108 p., 30 cm (OCLC 470352411, BNF 35624576, SUDOC 12079750X, présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
- [1996] Jean Sagnes (dir.), L'université de Perpignan au XVIIIe siècle, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, , 311 p., 31 cm (ISBN 2-908912-38-4, OCLC 260102453, BNF 36156803, SUDOC 003943658, présentation en ligne).
- [2001] Paul Carmignani (d) (dir.), L'Université de Perpignan, 1350-2000 : tradition humaniste et modernité scientifique, Perpignan, Presses Universitaires de Perpignan, , 503 p., 31 cm (ISBN 2-908912-90-2, OCLC 1120599157, BNF 37646194, SUDOC 055772641, présentation en ligne).
- [2013] Jean Sagnes (dir.), Paul Carmignani (dir.), Didier Baisset (d), Michel Cadé (d) et Aymat Catafau (ca) (préf. Fabrice Lorente (d)), L'Université de Perpignan : l'une des plus anciennes université d'Europe, Perpignan, Presses Universitaires de Perpignan (PUP), , 299 p., 31 cm (ISBN 978-2-35412-190-7, OCLC 869556762, BNF 43759573, SUDOC 176003606, présentation en ligne, lire en ligne).
- [2019] Didier Baisset (d), L'Université de Perpignan sous l'Ancien Régime : contribution à l'histoire d'une vieille dame de plus de 660 ans, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, , 119 p., 23 cm (ISBN 978-2-35412-358-1, OCLC 1104156678, BNF 45752304, SUDOC 236352601, présentation en ligne).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la recherche :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à la vie publique :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :