Vacances sur ordonnance (film, 1950) — Wikipédia

Vacances sur ordonnance

Titre original Last Holiday
Réalisation Henry Cass
Scénario John Boynton Priestley
Acteurs principaux
Sociétés de production Associated British Picture Corporation
Watergate Films
Pays de production Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre comédie noire, comédie romantique
Durée 88 minutes
Sortie 1950

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Vacances sur ordonnance (Last Holiday) est un film britannique en noir et blanc réalisé par Henry Cass, sorti en 1950.

George Bird, un représentant célibataire sans famille ni ami, rend visite à son docteur pour un examen de routine et apprend qu'il est atteint de la maladie de Lampington, et qu'il ne lui reste donc plus que quelques semaines à vivre. Sur les conseils du docteur, il décide de profiter du peu qui lui reste à vivre et part vivre ses derniers jours dans un hôtel où réside une clientèle d'élite. Là-bas, son attitude désinvolte attise l'intérêt des résidents, qui cherchent à résoudre cette énigme, spéculant sur son identité, voire sur son appartenance à l'aristocratie. Seule une des femmes de ménage devine la vérité et Bird lui avoue son secret. Il se fait des amis, gagne de l'influence, tombe amoureux, répare des injustices, et on lui propose même des affaires lucratives. Mais tous ses succès ne font que lui rappeler l'ironie de sa situation.

Durant une grève du personnel de l'hôtel, il rencontre Sir Trevor Lampington, celui qui a découvert cette maladie, qui lui jure qu'il ne peut pas en être atteint. Bird retourne alors chez lui, où on lui confirme qu'il a été mal diagnostiqué. Rasséréné, il est prêt à commencer une nouvelle vie avec son nouvel amour mais, alors qu'il revient à l'hôtel, il est tué dans un accident de voiture.

Fiche technique

[modifier | modifier le code]

Distribution

[modifier | modifier le code]

Autour du film

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b « Vacances sur ordonnance » (fiche film), sur Allociné
  2. Vincent Porter, The Robert Clark Account, Historical Journal of Film, Radio and Television, Vol 20 No 4, 2000 p. 492

Liens externes

[modifier | modifier le code]