Vallon-Pont-d'Arc — Wikipédia
Vallon-Pont-d'Arc est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont appelés les Vallonais.
Vallon-Pont-d'Arc est un haut lieu de la préhistoire et du tourisme culturel. Ce petit village, paisible en hiver, voit sa population multipliée par 10 en été. Son importance touristique vient surtout de ce qu'il est le point de départ de la descente des gorges de l'Ardèche (du pont d'Arc à Saint-Martin-d'Ardèche). La commune abrite également la Grotte Chauvet, classée au patrimoine mondial, ainsi que sa réplique, la Grotte Chauvet 2.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation et description
[modifier | modifier le code]Vallon-Pont-d'Arc se situe aux portes de l'un des plus beaux sites touristiques de France : les gorges de l'Ardèche. Le célèbre pont d'Arc, arche naturelle de plus de 60 mètres de hauteur creusée par la rivière Ardèche et classé « Grand Site de France », lui a donné son nom.
Vallon-Pont-d'Arc est accessible par les Cars Rhône-Alpes depuis les gares de Valence-TGV et de Montélimar ; ainsi que par les autocars départementaux de l'Ardèche depuis Avignon et Aubenas.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Vallon-Pont-d'Arc est entourée de six communes[1], toutes situées dans le département de l'Ardèche et appartenant à la communauté de communes des Gorges de l'Ardèche, à savoir :
- Lagorce, Ruoms, Salavas, Sampzon et Labastide-de-Virac, communes du canton de Vallon-Pont-d'Arc ;
- Saint-Remèze, commune du canton de Bourg-Saint-Andéol.
Elles sont réparties géographiquement de la manière suivante :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 966 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 3,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 004,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1 | 1 | 3,7 | 6,3 | 10 | 13,6 | 15,7 | 15,4 | 12,2 | 9,3 | 5 | 1,8 | 7,9 |
Température moyenne (°C) | 4,9 | 6,1 | 10 | 13 | 16,8 | 20,9 | 23,5 | 23,2 | 18,7 | 14,1 | 8,9 | 5,5 | 13,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,9 | 11,1 | 16,3 | 19,6 | 23,7 | 28,2 | 31,4 | 31 | 25,2 | 18,9 | 12,7 | 9,2 | 19,7 |
Record de froid (°C) date du record | −10,5 04.01.1993 | −10,2 25.02.05 | −12,5 02.03.05 | −3,6 08.04.21 | −0,8 06.05.1991 | 5,9 21.06.1992 | 7,1 11.07.1993 | 7,6 30.08.1998 | 2,1 27.09.10 | −2,9 26.10.03 | −8,6 23.11.1998 | −10,3 30.12.05 | −12,5 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record | 19,7 28.01.02 | 22,2 28.02.19 | 29,1 18.03.1997 | 31,2 29.04.05 | 35 30.05.01 | 40,8 28.06.19 | 41,4 22.07.22 | 43 22.08.23 | 36,6 03.09.05 | 30 02.10.11 | 21,9 15.11.15 | 18,7 30.12.21 | 43 2023 |
Précipitations (mm) | 77,7 | 51,8 | 56,6 | 78,1 | 85,6 | 55,5 | 49 | 62,3 | 137,5 | 134,7 | 140,8 | 75,1 | 1 004,7 |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est traversé par l'Ibie, rivière qui prend sa source dans la commune voisine de Saint-Jean-le-Centenier et parcourt 32,9 km[7] avant de rejoindre l'Ardèche au sud.
Le sud du territoire communal est donc longé par l'Ardèche, affluent droit du Rhône de 125,1 km de longueur[8], qui a donné son nom au département où est implanté la commune.
Voies de communication
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Vallon-Pont-d'Arc est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vallon-Pont-d'Arc, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), cultures permanentes (11,8 %), zones urbanisées (6,6 %) et eaux continentales[Note 1] (1,5 %)[14].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]L'ensemble du territoire de la commune de Vallon-Pont-d'Arc est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées à proximité de la vallée du Rhône, mais non loin de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[15].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
---|---|---|
Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]De nombreuses grottes témoignent de l'occupation importantes, depuis plus de 30 000 ans[17], des sites de la commune[18],[19] :
- Grottes inscrites sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques :
- Grotte de la Vacheresse (préhistoire)[20] ;
- Grotte de Louoï (préhistoire)[21] ;
- Grotte de Mézelet (préhistoire)[22] ;
- Grotte du Colombier (préhistoire)[23] (Azilien[24]) ;
- Grotte du Déroc (préhistoire)[25].
- Grottes classées au titre des monuments historiques :
- Grotte d'Ebbou dite de Chamas (Paléolithique supérieur ; Néolithique ; Âge du fer ; Âge du Bronze moyen ; Chalcolithique)[26] ;
- La grotte Chauvet est une grotte ornée paléolithique[27] située sur la commune de Vallon-Pont-d'Arc. Elle se trouve au lieu-dit de la Combe d'Arc (le cirque d'Estre), qui constitue l'ancien méandre de la rivière Ardèche, avant l'érosion du pont d'Arc. La grotte a été découverte le par Jean-Marie Chauvet, Éliette Brunel et Christian Hillaire. Avec Lascaux (1940), Cosquer (1991) et Cussac (2000), la grotte Chauvet est l'une des grottes françaises majeures par les qualités esthétiques de ses œuvres. Elle présente également un très grand intérêt scientifique, tant d'un point de vue paléontologique que de celui de l'art pariétal. Les peintures de l'époque aurignacienne témoignent de la maîtrise de techniques très diversifiées (préparation des parois, gravures, tracés digités, mains positives, peintures, estompes et recherche de la perspective). Les thèmes abordés sont essentiellement animaliers, comme c'est généralement le cas dans l'art paléolithique[28]. Le site comporte un millier de peintures et de gravures, dont 447 représentations d'animaux (peintures, gravures) montrant 14 espèces différentes[29]. De nombreuses datations directes par la méthode du carbone 14 ont donné des résultats cohérents proches de 31 000 ans BP. La communauté scientifique admet quasi unanimement que les œuvres de la grotte Chauvet datent de l'Aurignacien et comptent parmi les plus anciennes au monde. La diversité et la maîtrise des techniques dont elles témoignent ont profondément remis en cause l'idée d'un art préhistorique évoluant très lentement et de manière linéaire et ascendante.
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]Le régime de Vichy applique sa politique rapidement, y compris dans le domaine du symbolique et des noms de rue allant à l’encontre de ses valeurs. Une campagne est menée par l’hebdomadaire Gringoire : utilisant diffamation et l’intoxication, donnant aussi une grande publicité aux dégradations de plaques et aux lettres de lecteurs signalant les plaques indésirables[30], ce qui provoque des actions isolées comme celle où, en décembre 1940, les plaques de la rue Roger Salengro sont souillées. Ces incidents, dont celui de Vallon, permettent au secrétaire d’État à l’Intérieur Marcel Peyrouton de prendre une circulaire le 22 octobre 1940 poussant à la chasse aux noms de rues contraires à l’idéologie vichyste : « il est inconvenant […] que cette manière d’hommage public continue à être rendu à la mémoire de ceux qui par leurs erreurs ou leurs fautes ont contribué à précipiter notre patrie dans la ruine ». C’est le seul cas où l’État français a mené une épuration odonymique[31].
Le : Vallon devient Vallon-Pont-d'Arc.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de Vallon est la francisation de l’occitan Valon, issu d'un mot gaulois, avallo, qui signifiait la pomme[32]. Ce mot accompagné du suffixe -one, désignait une pommeraie.
Vers 1243, certains actes mentionnent le nom de Castrum de Avalone[33]. Au XVe siècle, Vallon est San Saornin de Avalone[34] ; puis le nom s'est simplifié en Avalone (ou Avallone dans une Table de décimes ecclésiastiques de 1516)[33].
Au fil des siècles, la référence à la pomme n'étant plus comprise, le nom de Avalone a évolué en Valon en occitan, puis Vallon[34].
En 1948, pour des raisons touristiques, Vallon prit le nom de Vallon Pont d'Arc.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Huit maires se sont succédé depuis 1945 :
Budget et fiscalité
[modifier | modifier le code]Les comptes 2005 à 2013 de la commune[37],[38]
En [Quand ?], les taux de la fiscalité propres à la commune étaient de :
- Taux d’imposition Taxe d’habitation : 15,14 % ;
- Taxe foncière sur propriétés bâties : 13,38 % ;
- Taxe foncière sur propriétés non bâties : 81,90 % ;
- Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- Cotisation foncière des entreprises : 0,00 % ;
- Montant total des dettes dues par la commune : 4 789 000 €, soit 1 981 € par habitant.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2021, la commune comptait 2 443 habitants[Note 2], en évolution de +4,31 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Médias
[modifier | modifier le code]La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :
- Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
- Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas.
Cultes
[modifier | modifier le code]L'église de Vallon-Pont-d'Arc (propriété de la commune) et la communauté catholique sont rattachées à la paroisse Saint Martin du Sampzon, elle-même rattachée au diocèse de Viviers[43].
Économie
[modifier | modifier le code]L'économie locale est essentiellement liée au tourisme estival.
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'Hôtel de Ville (un château construit de 1630 à 1639 sous Louis XIII) abrite sept tapisseries d'Aubusson figurant les croisades, exposées dans la salle d'honneur. Le château, acquis par la famille Merle de Lagorce en 1748, fut acheté en 1847 par la commune de Vallon pour 42 000 Francs.
- La place couverte, place de la Halle-aux-Grains ; c'est la plus ancienne place de Vallon.
- Chapelle Saint-Martin de Chames.
- L'église Saint-Saturnin[44]. Selon la tradition, un seigneur de retour de la première croisade fit construire une chapelle dédiée à saint Saturnin sur une éminence qui dominait la plaine de Vallon couverte de chênes. À la fin de la guerre de Cent Ans, les habitants du vieux Vallons vinrent s'installer autour de cette chapelle. Cette chapelle fut remplacée par une église de style roman qui fut en partie détruite par les protestants dès le début des guerres de Religion. La pratique de la religion catholique fut alors interrompue pendant 61 ans, de 1560 à 1621, jusqu'à l'intervention des troupes catholiques de Henri II de Montmorency. Jusqu'au début du XIXe siècle, l'église était entourée de son cimetière. Au milieu du XIXe siècle, la population catholique étant importante, le conseil municipal fit construire, de 1862 à 1866, l'église actuelle, en partie sur les fondations de l'ancienne.
- Le temple protestant[45],[46] et son orgue inauguré les 11 et . Un premier temple exista entre 1601 et 1629 dans une autre partie de la ville. Le temple actuel fut terminé en 1823. Il était alors au milieu des vergers et des vignes. Les immeubles cossus qui l'entourent datent du milieu du XIXe siècle.
- Raveyron - Le mas Gonthier. Ce hameau est mentionné aux XIVe et XVe siècles dans des reconnaissances paysannes et aux Estimes de 1464, était très nettement séparé de Vallon jusqu'au XIXe siècle.
- La place Armand-Puaux, anciennement place du Verger. En 1773, la commune acheta cet espace pour créer, hors les murs de la ville, un champ de foire.
- La grotte Chauvet. Découverte en 1994 la grotte ornée paléolithique de par le nombre de ses oeuvres pariétales et ses qualités esthétiques n'est pas visitable[47]. Un site d'exposition, la Grotte Chauvet 2 - Ardèche, copie conforme de la grotte, est ouvert au public depuis 2015 qui peut ainsi découvrir les plus anciennes peintures paléolithiques (32 000 av. J.-C.) et les modes de vie des Homo sapiens durant la période de l’Aurignacien (de 43 000 à 29 000 ans AP).
- Les gorges de l'Ardèche.
- Le Pont d'Arc.
- La Réserve naturelle nationale des gorges de l'Ardèche.
Événements
[modifier | modifier le code]Le village est très vivant, surtout l'été, avec en son centre de nombreux commerces ainsi que ses marchés du jeudi matin et mardi en nocturne, qui connaissent un succès.
Pour le week-end de Pâques se déroule le Raid Nature du Pont d'Arc[48], environ 1 000 concurrents s'élancent par équipes de deux pour un raid multisport (course à pied, canoë et VTT).
Chaque été, nombre d'événements y sont organisés :
- la fête de l'olivier ;
- le festival jeune public « Môme Z'émerveille » début juillet ;
- la fête de la lavande ;
- les journées de la préhistoire avec expositions, ateliers, conférences et projections qui se déroulent sur une semaine après le 15 août ;
- Aluna Festival en juin dans la commune voisine de Ruoms : les campings de Vallon sont utilisés lors de l'occasion.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Isidore Valladier, né le à Vallon (Ardèche) et mort le dans la même ville, homme politique, député de l'Ardèche de 1848 à 1849.
- L'historien du protestantisme français, Noé Antoine François Puaux, pasteur de l'église réformée, né à Vallon le 24 décembre 1806, mort à Paris le 20 février 1895[49],[50].
- L'homme de science et pionnier de la préhistoire, Jules Ollier de Marichard, né et mort à Vallon-Pont-d'Arc (1824-1901).
- Le peintre René Aberlenc, né à Alès en 1920 et décédé à Vallon-Pont-d'Arc en 1971.
- Le peintre d'origine espagnole Evaristo.
- La dirigeante et entrepreneure Delphine André, née en 1966 à Vallon-Pont-d'Arc.
- Le kayakiste Benoît Peschier champion olympique en kayak en 2004 à Athènes.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Vallon-Pont-d'Arc se blasonnent ainsi : |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Direction départementale de l'équipement (DDE), « Carte en relief de l'Ardèche avec limites communales »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur ardeche.equipement.gouv.fr, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vallon Sa » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Vallon Sa » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Ibie (V5050540) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Ardèche (V50-0400) » (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vallon-Pont-d'Arc », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Vallon et son histoire.
- Vallon-Pont-d'Arc, sur « Patrimoine de France ».
- Les communes d'Ardèche : Vallon-Pont-d'Arc.
- « Grotte dite de la Vacheresse », notice no PA00135640, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Grotte de Louoï », notice no PA00135639, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Grotte de Mézelet », notice no PA00135638, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Grotte du Colombier », notice no PA00135637, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Collectif, La Recherche archéologique en France : Bilan 1990-1994 et programmation du Conseil national de la recherche archéologique, Paris, Maison des Sciences de l'Homme, , 460 p. (lire en ligne), p. 68.
- « Grotte du Déroc », notice no PA00135636, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Grotte d'Ebbou dite de Chamas », notice no PA00116842, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Grotte ornée du paléolithique supérieur située au lieu-dit « Combe d'Arc » dite grotte Chauvet », notice no PA00135635, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La grotte Chauvet sur le site culture.gouv.fr.
- Jean Clottes, La grotte Chauvet : l'art des origines, Seuil, , p. 203.
- Richard Vassakos, « Une revanche symbolique dans le Royaume du maréchal. La toponymie urbaine sous Vichy : premiers bilans d’une recherche », Nouvelle revue d’onomastique, 2019, no 61, p. 246.
- R. Vassakos, op. cit., p. 247-248.
- Le mot gaulois abalo-, aballo- (pomme, pommier), apparaît dans le glossaire de Vienne sous la forme avallo ; source : Xavier Delamarre - Dictionnaire de la langue gauloise - Éditions Errance - 2003 (ISBN 2 87772 237 6), p. 29. Vallon (Ardèche) est cité dans : Les noms d'origine gauloise - La Gaule des dieux - Jacques Lacroix - Éditions Errance - 2007 (ISBN 978-2-87772-349-7) § Les pommiers de l'Autre Monde, p. 35-36 ; voir à ce sujet Avalon.
- Vallon-Pont-d'Arc : Castrum de Avalone (1243, Donation d'Agnès de Brissac) ; Avallone (1516, Table de décimes ecclésiastiques) ; source : Dupraz et Fraisse, Carte archéologique de la Gaule, 07, p. 416.
- Vallon et son histoire, sur le site de l'Office de Tourisme de Vallon Pont d'Arc.
- « Liste des maires du département de l'Ardèche »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
- Procès-verbal de la réunion du conseil municipal du 23 juin 2023.
- « Les Comptes des Communes, Analyse des équilibres financiers fondamentaux »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Vallon-Pont-d'Arc.
- Vallon-Pont-d'Arc : la dette en 2013.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site de la paroisse de Saint Martin du Sampzon, page sur l'horaire des messes.
- Église Saint Saturnin
- Vallon Pont d'Arc : le temple, l'intérieur du temple, l'orgue, les pasteurs depuis 1802.
- Vallon Pont d'Arc, église réformée.
- Guide du patrimoine en France : 2500 monuments et sites ouverts au public, Éditions du patrimoine - Centre des monuments nationaux, , 957 p. (ISBN 978-2-7577-0695-4), p. 30.
- Le Raid Nature du Pont d'Arc
- Dictionnaire biographique : Puaux (Noé, Armand, François)
- Robert Helmling, « Noé Antoine François Puaux (1806-1895), pasteur, historien : dans cahier consacré aux Ardéchois à l'honneur - Bicentenaire de la Légion d'honneur », Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, no 76, .
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Revue « Ardèche Archéologie » de la Fédération Ardéchoise de la Recherche Préhistorique et Archéologique (FARPA)
- 25 ans d’Ardèche Archéologie : 1984 - 2008
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Vallon-Pont-d'Arc, p. 1198
- Histoire du protestantisme, par Puaux Noé, Antoine, François, Pasteur de l’Église réformée de France, historien du protestantisme français.
- Joëlle Dupraz et Christel Fraisse, L'Ardèche, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, coll. « Carte archéologique de la Gaule » (no 07), , 496 p. (ISBN 2-87754-069-3).
- Jean-François Modat, Frédéric Loppe, Le château de Vallon-Pont-d'Arc : in Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent n° 123 consacré aux châteaux et maisons fortes au Moyen Âge, Privas, Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, .
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Office de tourisme de Vallon-Pont-d'Arc et des Gorges de l'Ardèche
- Vallon-Pont-d'Arc sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Rhône-Alpes
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Les sentiers de randonnées
- (fr + en) Liste des ZNIEFF Vallon-Pont-d'Arc