Villa Spontini — Wikipédia
16e arrt Villa Spontini | |||
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Situation | |||
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Arrondissement | 16e | ||
Quartier | Porte-Dauphine | ||
Début | 37, rue Spontini | ||
Fin | En impasse | ||
Morphologie | |||
Longueur | 50 m | ||
Largeur | 7,8 m | ||
Historique | |||
Création | 1884 | ||
Dénomination | 1884 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 8675 | ||
DGI | 9060 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris Géolocalisation sur la carte : 16e arrondissement de Paris | |||
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La villa Spontini est une voie du 16e arrondissement de Paris, en France.
Situation et accès
[modifier | modifier le code]La villa Spontini est une voie privée située dans le 16e arrondissement de Paris. Elle débute au 37, rue Spontini et se termine en impasse.
Le quartier est desservi par la ligne 9 du métro, à la station Rue de la Pompe.
Origine du nom
[modifier | modifier le code]Elle porte le nom du compositeur italien Gaspare Spontini (1774-1851), en raison de sa proximité avec la rue homonyme[1],[2].
Historique
[modifier | modifier le code]Cette voie est ouverte sous sa dénomination actuelle en 1884[3].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
[modifier | modifier le code]- No 6 : le critique d'art Marcel Nicolle (1871-1934) a vécu ici[4].
- No 10 : en mars 1899, le graveur et médailleur Daniel Dupuis (1849-1899) fait l’acquisition à cette adresse d’un hôtel particulier, doté d’un petit jardin, pour le prix de 150 000 francs. Il y réalise d’importants travaux, en y aménageant notamment un vaste atelier. Quelques mois plus tard, il y meurt dans des circonstances tragiques[5], ce qui provoque une vive émotion dans le quartier.
- No 11 : l'artiste Jean Cottenet (1882-1942) y a vécu.
Références
[modifier | modifier le code]- Bernard Stéphane, Dictionnaire des noms de rues, Paris, Mengès, , nouvelle éd. (ISBN 978-2-8562-04-832), p. 700
- Jean-Marie Cassagne, Paris : dictionnaire du nom des rues, Parigramme, (ISBN 978-2-84096-764-4), p. 522.
- Gustave Pessard, Nouveau dictionnaire historique de Paris, 1908, sur Gallica.
- Annuaire général des lettres, 1er janvier 1933, sur Gallica.
- « Un drame », L’Univers, 17 novembre 1899, sur RetroNews.