Villers-sous-Saint-Leu — Wikipédia
Villers-sous-Saint-Leu | |||||
Le château-mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Thelloise | ||||
Maire Mandat | Guy Laforest 2020-2026 | ||||
Code postal | 60340 | ||||
Code commune | 60686 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villersois | ||||
Population municipale | 2 301 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 527 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 12′ 48″ nord, 2° 23′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 26 m Max. 123 m | ||||
Superficie | 4,37 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Creil (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Montataire | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : Oise Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France | |||||
Liens | |||||
Site web | www.villerssoussaintleu.fr/ | ||||
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Villers-sous-Saint-Leu est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Villers-sous-Saint-Leu est située au bord de l'Oise et voisine de Saint-Leu-d'Esserent dont elle tient son nom. Elle est à une dizaine de km de l'agglomération de Creil-Montataire et à moins de 10 km de Chantilly. Elle est située sur la route départementale D 44.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Oise[2],[Carte 1].
L'Oise prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude, dans l'ancienne commune de Forges et se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude, au Pointil en rive droite et en aval du centre de Conflans-Sainte-Honorine dans le département des Yvelines. D'une longueur 341 kilomètres, elle est presque entièrement navigable et bordée de canaux sur 104 kilomètres[3].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : la Nacelle, d'une superficie totale de 8,7 ha (8,5 ha sur la commune)[Carte 1],[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 659 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Villers-sous-Saint-Leu est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Creil[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), zones urbanisées (21,3 %), forêts (12,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), eaux continentales[Note 5] (1,6 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 635, 649, 6203, 6206 et 6243 du réseau interurbain de l'Oise[17].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La commune a eu plusieurs noms[18] :
- en 797, Villariculum ;
- en 1224, Villaris ;
- en 1250, Villare subtus sanctus Lupum ;
- en 1380, Villers souls Saint Leu de Serans ;
- en 1794, Villers-sur-Oise[19] (nom révolutionnaire).
La commune prend ultérieurement sa dénomination actuelle de Villers-sous-Saint-Leu[19].
Villers est un appellatif toponymique français et un patronyme qui procède généralement du gallo-roman villare, dérivé lui-même du gallo-roman villa « grand domaine rural », issu du latin villa rustica. Il est apparenté aux types toponymiques Villars, Viller, Villiers, Weiler et Willer. Certains des noms de lieux Villers, comme peut-être Villers-le-Sec (Meuse), pourraient venir du latin médiéval Vidiliacus.
Villers et à l'ouest de Saint-Leu-d'Esserent.
Histoire
[modifier | modifier le code]En 2006, lors de la construction d'un lotissement, des fouilles ont mis au jour l'existence d'un village de forgerons carolingiens[20].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Creil. Celui-ci est alors scindé, et la commune rattachée au canton de Montataire[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont dépend toujours la commune, est modifié et s'étend, regroupant désormais 15 communes.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était le siège de la communauté de communes la Ruraloise., qui avait pris la suite du SIVOM de Villers.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[22],[23].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune est dénommée communauté de communes Thelloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [24].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Blaby (Grande-Bretagne) (Leicestershire)
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].
En 2022, la commune comptait 2 301 habitants[Note 6], en évolution de −1,83 % par rapport à 2016 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 152 hommes pour 1 175 femmes, soit un taux de 50,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Villers-sous-Saint-Leu compte deux monuments historiques sur son territoire.
- Château de Villers-sous-Saint-Leu, rue de l'Église (façades et toitures, cour d'honneur, douves, grille d'entrée inscrits monument historique par arrêté du [32]) : Il date des XVIIe et XVIIIe siècles[33]. Sa partie réhabilitée est occupée par la mairie depuis 2003, après 13 années de négociations avec les anciens propriétaires, qui « s'étaient surtout attachés, semble-t-il, à désosser petit à petit la demeure[34] ».
- L'aile orientale est en cours de rénovation.
- Église Saint Denis, rue de l'Église (classée monument historique par arrêté du [35]).
- Selon ce que l'on s'en approche du sud ou du nord, l'aperçu de l'église est complètement différente. Son plan est en effet dissymétrique, et l'édifice conserve sa physionomie de la fin du XIIe siècle au nord, avec une nef de trois travées épaulée par des contreforts à ressauts peu saillants, caractéristiques du style gothique primitif, mais des fenêtres en plein cintre toujours romans. Cette nef a été terminée au milieu du XIIe siècle, et s'associait alors à un chœur de deux travées se terminant par un chevet plat, la première travée servant de base au clocher.
- L'unique étage de baies du clocher, établi a faible hauteur, se voit encore le mieux depuis le nord, mais même ici, les deux baies en plein cintre richement décorées disparaissent à moitié sous les combles de la chapelle latérale nord du chœur, ajoutée à la fin du XIIe siècle : ses fenêtres en arc brisé sont déjà nettement plus grandes que celles de la nef, mais ce sont toujours des lancettes simples. Les baies du clocher sont flanquées chacune de trois colonnettes à chapiteau de chaque côté, logées dans des ressauts successifs du mur, et surmontées d'une triple archivolte torique. Au centre, une colonne plus forte est commune aux deux baies. Les murs se terminent par une corniche de modillons, et le clocher est coiffée d'une haute flèche octogonale en pierre, cantonnée de quatre pyramidons aux angles.
- À partir du milieu du XIIIe siècle, l'église connaît sa plus importante phase de modifications. La nef est voûtée d'ogives ; le chœur est refait avec reprise totale du clocher en sous-œuvre, faisant disparaître toute trace d'architecture romane à l'intérieur ; et une chapelle de trois travées est ajoutée au sud des deux travées du chœur et de la dernière travée de la nef (où elle possède un pignon et une tourelle d'escalier). Cette chapelle est un bel exemple du style rayonnant, qui se manifeste toujours par l'élégant remplage des fenêtres. La première travée de la chapelle possède un portail à gâble très élaboré, mais il est dissimulé sous un porche commune au portail méridional de la nef. Ce porche, qui remonte déjà à la fin du XIIIe siècle ou au début du XIVe siècle, évoque plutôt un bas-côté, et ses baies sont aujourd'hui vitrées. À la suite des ravages de la guerre de Cent Ans, les parties orientales sont reprises au XVIe siècle dans le style de la Renaissance, y compris une seconde fois la base du clocher. Cette campagne laisse de remarquables clés de voûte, des contreforts décorés par des enroulements et le vitrail du chevet représentant l'arbre de Jessé[36],[37].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean André Lumague (1564-1637), important banquier et homme d'affaires proche de Catherine de Médicis et de saint Vincent de Paul, fut seigneur de Villers-sous-Saint-Leu.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Villers-sous-Saint-Leu se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Creil comprend deux villes-centres (Creil et Nogent-sur-Oise) et 21 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Villers-sous-Saint-Leu » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Communes limitrophes de Villers-sous-Saint-Leu » sur Géoportail..
- « Fiche communale de Villers-sous-Saint-Leu », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « l'Oise »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villers-sous-Saint-Leu et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Creil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Villers-sous-Saint-Leu ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Villers-sous-Saint-Leu », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- « Le village »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Villers-sous-Saint-Leu (site officiel) (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- [PDF]rapport d'activité 2006 de l'Inrap page 105
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
- « Les maires de Villers-sous-Saint-Leu », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Villers-sous-Saint-Leu », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Villers-sous-Saint-Leu (60686) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Château », notice no PA00114963, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Philippe Seydoux, Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise : Tome I. Beauvaisis, Vexin, Pays de Bray, Plateau picard et Pays de Clermont, Paris, Éditions de la Morande, s.d. (2009), 323 p. (ISBN 2902091389), p. 242-243.
- Marie Persidat, « La somptueuse mairie de Villers-sous-Saint-Leu », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « Église Saint-Denis », notice no PA00114964, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Eugène Müller, « Quelques notes encore sur les cantons de Creil et Chambly », Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, années 1897-98, Senlis, Imprimerie Eugène Dufresne, 4e série, vol. II, , p. 209-211 (lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Montataire, Vallées de l'Oise et du Thérain, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours des communes du canton et l'O.T.S.I. de Saint-Leu-d'Esserent, ca. 1998, 24 p., p. 22-23.