Villers (Vosges) — Wikipédia

Villers
Villers (Vosges)
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes de Mirecourt Dompaire
Maire
Mandat
Marilyna Vantini
2020-2026
Code postal 88500
Code commune 88507
Démographie
Gentilé Villerois, Villeroises
Population
municipale
193 hab. (2021 en évolution de −11,87 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 18′ 09″ nord, 6° 10′ 26″ est
Altitude 300 m
Min. 280 m
Max. 386 m
Superficie 4,97 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mirecourt
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirecourt
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Villers
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Villers

Villers est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Villerois. Le village fait partie de la communauté de communes de Mirecourt Dompaire.

Géographie

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Proche de Mirecourt, Villers reste à l'écart des grands axes. Le village ancien s'est implanté près d'un vallon creusé par le ruisseau de Talencourt. Les nouvelles constructions bordent les voies de communication, en direction de Vroville (2 km), d'Ahéville (3 km) ou de Mirecourt (4 km). Le paysage très vallonné offre une variété de panoramas de vergers, vignes, forêt, et prairies. Cette végétation luxuriante donne au village une impression de quiétude.

Communes limitrophes de Villers (Vosges)
Mazirot Avillers
Mirecourt Villers (Vosges) Vroville
Vroville Vroville

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Talencourt[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Villers.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[2].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 973 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 2],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Villers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mirecourt, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,7 %), forêts (22,4 %), terres arables (20,1 %), zones urbanisées (6,6 %), cultures permanentes (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'ancienne communauté de Rabiémont a été réunie à Villers entre 1790 et 1794.

La première mention de Villers apparaît en 1248 dans un acte du duc de Lorraine remettant les terres de Villers à Jean le Fauche.

  • Viller près Mirecourt, 1558 (archives départementales de Meurthe-et-Moselle, B 810, n° 32).
  • Villers, 1597 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 812, n° 3).
  • Veley, Villers, 1656 (Sanson, Vosges).
  • Viller-devant-Mirecourt, 1753 (Durival).
  • Villers et Rabiémont, 1835 (ord. du 23 nov.).
  • Villers-Rabiémont (Ordo).

En 1842, les trois villages sont érigés en paroisses distinctes, et l’église de Rabiémont est abandonnée, son presbytère vendu en 1848.

Particularisme historique

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Dans sa thèse pour le doctorat en droit, Charles Sadoul, cite Villers parmi les villages dont le juge de proximité était le curé, hormis les cas de sang et plaies ouvertes. Le curé avait alors la qualité de seigneur du village[15].

Personnage historique

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Parmi ses personnalités historiques, la Lorraine compte Valentin Jamerey-Duval. Cet érudit du XVIIIe siècle issu du plus bas de l'échelle sociale, s'est hissé à la cour ducale de Lorraine puis à la cour impériale d'Autriche.

Il est généralement admis qu'il soit né à Arthonnay aujourd'hui dans le département de l'Yonne. Cependant, dans le livre intitulé Lunéville, promenades et excursions dans les communes des six cantons paru en 1838 et réédité en 1993, l'auteur affirme que Jamerey-Duval s'appelait simplement Duval et qu'il est né non pas à Arthonnay mais « à Viller près de Mirecourt » (il écrit bien Viller). Pour appuyer sa thèse, M. Guerrier se fonde sur une pièce signée par Duval lui-même et contresignée par un ermite nommé frère Martinien. Cette pièce fut, selon l'auteur, déposée chez Cognel, notaire à Lunéville dont l’étude fut ensuite reprise par un nommé Guibal[16].

Cet acte semble authentique et a été publié dans le journal de la société d'archéologie lorraine en 1860, page 41. C'est donc Jamerey-Duval qui aurait voulu masquer ses origines, à ce moment précis. Il n'en parle plus du tout de Villers par la suite[17].

M. Guerrier affirme également que Dominique Duval se serait absenté de la cour d'Autriche pour faire un voyage à Paris. En repartant, il aurait fait un détour par Villers. Il racheta la chaumière de son père et fit bâtir à la place une maison qu’il donna à la commune pour y loger l’instituteur[16]. Dans sa correspondance, Jamerey-Duval parle effectivement de la construction d'une école mais rien ne prouve qu'elle se situe à Villers[17].

ERUDHiLOR est un site qui recense les érudits lorrains. Un page est consacrée à Valentin Jamerey-Duval.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune a intégré la communauté de communes de Mirecourt Dompaire à sa création, le .

Par arrêté préfectoral du , la commune est retirée le de l'arrondissement d'Épinal et rattachée à l'arrondissement de Neufchâteau[18].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 1983 Fernand Maillard DVG  
1983 ? Lucien Jouvenot    
  mars 2001 Jean-Paul Morizot    
mars 2001 mai 2020 Jean-Luc Cousot DVD  
mai 2020 En cours Marilyna Vantini[19]    

Politique environnementale

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Ville fleurie : trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 193 habitants[Note 4], en évolution de −11,87 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
192191205239269290292283240
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
254270236213205191206198181
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
180152137138142142137124125
1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
118186231214215214224219196
2021 - - - - - - - -
193--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le bâti ancien est encore bien présent. Les maisons traditionnelles lorraines côtoient l’église, les anciens lavoirs et les fontaines. Les alentours offrent également un riche passé historique : la voie romaine, l’église de Rabiémont, le sentier de randonnée.

  • L'église est dédiée à saint Menge (appellation locale de saint Memmie de Châlons), premier évêque de Châlons et protecteur de sainte Menne. Elle est construite en 1842-1846, à l'occasion de l'abandon définitif de la cure de Rabiémont et de la création de la paroisse de Villers. Elle est d'une architecture néoclassique inspirée du XVIIIe siècle.
  • L'école est construite en 1848. Elle comprend deux travées : l'école, sur deux niveaux et le logement de l'instituteur.
  • Croix monumental, du XVIIe siècle, classée au titre des monuments historiques par arrêté du [24].
  • Statue de saint Menge.
  • La mairie-lavoir
Le lavoir a été construit en 1858. Le bâtiment est de plan rectangulaire avec montée d'escalier en décrochement latéral, une maçonnerie de moellons enduits, des encadrements des baies et décor de la façade en pierre de taille et un toit à longs pans et croupes couvert de tuiles mécaniques. L'étage sert de mairie tandis que le rez-de-chaussée abrite le lavoir.
  • La chapelle de Rabiémont
Villers dépendait à l’origine de la paroisse de Vroville, puis, à partir du XVe siècle, de celle de Rabiémont, village disparu. La paroisse regroupait, en plus des habitants de Villers, les paroissiens des villages voisins d'Avillers et d'Ahéville. L'église s'est dégradée progressivement et a fait l'objet de réparations jusqu'en 1822.
  • Les châteaux
Il est fait mention d'une ancienne seigneurie et d'un ancien château fort[25][réf. incomplète] dit « fief de Villers » mais pas de vestiges visibles. Il semblerait qu'il y ait eu deux châteaux. L'un du XIIIe siècle détruit en 1945, l'autre du XVIIIe siècle. En 1715, les droits utiles et honorifiques de la terre de Villers sont donnés à Charles Mesgnien, prévôt de Mirecourt, qui aurait fait construire selon la tradition le « château » su XVIIIe siècle, également connu comme ancien presbytère (réf. Dictionnaire des châteaux de Lorraine).. C'est un bâtiment d'allure simple. Il est rectangulaire avec simplement deux avant-corps latéraux, perpendiculaire à la voirie.

Patrimoine naturel

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Sentier de randonnées des 3-Fontaines.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Villers » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Villers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Villers et Mirecourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villers ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mirecourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Charles (1872-1930) Auteur du texte Sadoul, Essai historique sur les institutions judiciaires des duchés de Lorraine et de Bar avant les réformes de Léopold Ier / thèse pour le doctorat en droit... par Charles Sadoul,... ; Université de Nancy. Faculté de droit, (lire en ligne), p. 18
  16. a et b Guerrier, Lunéville, promenades et excursions dans les communes des six cantons, 100, rue de l'Ouest - 75014 Parie, SEBM, , 367 p. (ISBN 9782742800100), p. 212-213
  17. a et b Société académique de l'Aube Auteur du texte, « Mémoires de la Société d'agriculture, sciences et arts du département de l'Aube », sur Gallica, (consulté le ), p. 9-23.
  18. Préfecture de la région Grand Est, « Arrêté préfectoral no 2023/488 portant modification des limites territoriales des arrondissements du département des Vosges », Recueil des actes administratifs Édition du ,‎ , p. 71-83 (lire en ligne [PDF], consulté le )
  19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Croix monumentale », notice no PA00107314, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Atlas des châteaux forts de Lorraine