Voilà l'été — Wikipédia

Voilà l'été

Single de Les Négresses vertes
extrait de l'album Mlah
Sortie 1988
Genre musette-guinguette, world-folk

Voilà l'été est une chanson du groupe Les Négresses vertes parue en 1988.

C'est le premier single de l'album Mlah[1].

Il s'agit du premier succès du groupe[2] qui le rend célèbre dès le premier album, en France mais aussi en Angleterre[3],[4].

Thème des paroles

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Le titre évoque les citadins restées en ville (« Le métro sue, tout devient purulent/Dans ses souliers, le passager abruti ») qui se console comme il peut de ne être parti dans le sud ( « Rillettes sous les bras, j’avance dans la rue/J’pense à ces cons qui s’font chier dans l’Midi/ […] La mer quelle saloperie/Et sur les routes le danger, ça vous tue »[5].

Notes et références

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  1. « Les Negresses Vertes - Voilà L'été », sur Discogs (consulté le )
  2. Louis-Jean Calvet, Cent ans de chanson française, 2006 (Lire en ligne)
  3. Jacques Pessis, Émilie Leduc, Chronique de la chanson française, 2003, p. 101
  4. Céline Fontana, La chanson française, 2007, p. 181
  5. Stéphanie Binet, « Voilà l’été des Négresses vertes, mêle joies des terrasses et galères des citadins », sur Le Monde,